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Home is not a place, it's a feeling - Sat'
2 participants
Sebastian Prince Amundsen
Sebastian Prince Amundsen
TRØBBEL För att nå toppen av trädet måste du sikta mot himlen
I
Home is not a place, it's a feeling
Il n'a pas fallu longtemps à Sebastian pour fuir la demeure familiale, à peine une semaine en vérité. A peine une semaine que les cours étaient terminés, et déjà il semble étouffer dans le domaine pourtant vaste des Amundsen. Le fait que sa belle fratrie a décidé de venir s'impo... rendre visite pour une durée indéterminée joue certainement, pour être honnête, mais il y a également sa fin d'année qui a été plutôt compliquée pour le jeune homme. Les examens de la fin de son cycle de C.E.R.F pour lesquels il a du fournir un travail acharné, bon grès, mal grès, son stage de fin d'année, le tournoi des Trois Clans qui a fait son petit effet également, le Quidditch qu'il n'est pas prêt à abandonner malgré le surplus de travail que lui impose sa place d'Héritier étranger... Il est sorti exténué de son année et ne rêvait que d'un repos bien mérité avant d'entamer un nouveau cycle, mais bien entendu c'était bien trop demandé.
Et puis il y a sa sœur, également. Normalement, c'est son tour de venir ici, en Scandinavie, mais elle n'a toujours pas donné de date ou autre, et cela, rajouté au reste, commence sérieusement à lui peser sur le moral.
Et donc, il a fui, pour la préservation de sa santé mentale – et aussi pour éviter de commettre un meurtre. Ça n'est pas qu'il ne s'entend pas avec sa fratrie, c'est simplement que... Oui, non, clairement ça pourrait être mieux.

Soufflant légèrement, il rejette une mèche sombre hors de sa vision avant de considérer avec soulagement le Nouveau Göteborg dans lequel il vient de transplaner, laissant derrière lui les récriminations et autres reproches en série dont on essaie de l'accabler – sans aucune raison, vraiment. Au moins est-il sûr d'avoir un endroit dans ce fichu pays où il peut trouver refuge et c'est déjà  un poids qui s'enlève de ses épaules à cette pensée.
Il se décide finalement à bouger, se mêlant à la foule qui profite largement des premiers jours de beau temps que leur offre l'été. Il est d'ailleurs sûr que s'il cherchait bien, il pourrait facilement croiser des visages connus, aussi soulagés que lui d'être enfin en vacances. A la place, il continue sa route sans hésitation, traçant son chemin à travers les sorciers sans leur prêter attention. Ça n'est qu'une fois arrivé presqu'en vue de sa destination qu'il daigne ralentir le pas, sa main glissant dans l'une de ses poches à la recherche d'un trousseau familier. Le contact de la clef lui tire un léger sourire qu'il fait disparaître tout aussi vite alors qu'il s'engouffre dans l'immeuble luxueux, ses pas le guidant directement vers la porte bien connue. Par pur politesse – on lui a tout de même donné une certaine éducation, voyons – il frappe brièvement au battant avant de le déverrouiller, pénétrant dans l'appartement de sa meilleure amie.  « Satiiiine, devine qui vient te sortir le nez de ton boulot ? » Lâche-t-il, enthousiaste, son corps se détendant naturellement maintenant qu'il est, il le sait, dans un endroit sûr et connu.
…. Enfin, presque connu, est-ce que c'était lui ou cet endroit est bien plus... Rose, que d'habitude ? Ça n'était pas si marquant, si on ne connaît pas l'endroit comme lui le connaît, mais... Ses sourcils se froncent brièvement alors qu'il fait quelques pas, un miaulement attirant son attention vers le bas. Le félin propriétaire des lieux avait reconnu sa voix et se dirigeait tranquillement vers lui, se faisant ramasser par le Britannique qui commence à le papouiller dans la foulée  «Heyy, beau gosse. Où ta maîtresse a encore disparue, dis moi ? Est-ce que par hasard elle me fuirait ?» Interroge-t-il, les ronronnements étant sa seule réponse. Non parce qu'il peut tout de même se poser la question, après tout, ça n'est pas comme s'il avait la sérieuse impression de ne plus voir la jeune femme qu'en coup de vent, mh ? Élevant le ton il repris, « Satine ? Si tu es là et que tu ne te montre pas, sache que je vais allégrement piller ton frigo avec l'aide d'Yggie et tu ne pourras t'en prendre qu'à toi même ! » De quoi, sans gêne ? Hey, il était presque bien plus chez lui ici que dans sa propre maison, alors...

Codage par Libella sur Graphiorum
Satine Falkenberg
Satine Falkenberg
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Home is not a place. It's a feeling.
@Sebastian Prince Amundsen  
Elle fait la sieste Satine, visage relaxé, cheveux un peu dans tous les sens, coincé dans le genre de sommeil dont tu te réveilles la bave au coin des lèvres. La jeune adulte ne l’aurait jamais avoué à voix haute, mais elle était crevée. Un peu plus que d’habitude, qu’elle avançait à quiconque lui fais la réflexion, tout en battant cette dernière de la main. Résultat de son occupation quasi-constante, qui la remplissait de joie. Relaxation trouvée dans les choses bien faites, le mouvement qui éloignait les pensées parasites qui l’assaillent régulièrement. 
Nouveaux souvenirs, nouvelles inquiétudes qu’elle collectionne depuis des années. Pression familiale et personnel qui viennent se mélanger à l’environnement de Durmstrang et les évènement récents. Ça avait été dur, anxiété bordélique qu’elle avait ignoré de toutes ses forces pour rester fonctionnel, comme d’habitude.
Changement de quotidien, nouvelle distraction heureuse qui lui permets de s’activer.

C’était de la bonne fatigue, entre ces journées au bureau et ses soirées partagées avec la jeune blonde nouvellement incrustée dans sa vie. Une enfant dragonne qu’elle redécouvre et qui prends petit à petit possession de son appartement. Comme pouvait en témoigner la basse délaissée au bout du canapé, les photos et autres souvenirs laissés sur les murs, les paillettes sur le bureau et les vêtements laissés en vrac dans son appartement.
Le bordel aurait dû la faire tiquer, enfant droite qui a évolué dans un environnement constamment rangé pour elle, pour sa famille. Sauf qu’elle s’y est habituée à ce bazar ambiant qui apporte une preuve de vie dans son appartement. Passage, occupé l’espace comme est aussi occupé son esprit.
Même Yggi l’avait accepté, jeune chat qui trouve souvent sa place sur les piles de vêtements des deux jeunes femmes.
Cependant ce tours d’événement puisé une énergie constante. Satine qui se débat pour ester au-dessus de la tempête qu’elle à elle-même provoquer. Elle se fatiguait de jour en jour jusqu’à, au final, ne plus pouvoir donner. D'où son état léthargique en cette fin d’après-midi.
Pause gracieusement offerte par son maître de stage qui commençait à s’inquiéter du nombre de cafés auquel elle tournait. 
Puis la porte claque, et ça la réveil un petit peu. Esprit encore enfumé qui s’éveille au doux son de la voix de son meilleur ami. Sebastian Prince. En personne, homme qu’elle n’avait pas vu depuis trois longtemps. Qui lui manquait sans qu’elle ne puisse vraiment y faire quoi que ce soit.
Encore une fois là où l’incruste aurait pu l’agacer ou la stresser venant d’une quelconque autre personne. La présence un jeune sang pur était la bienvenue, occurrence régulière comme pouvait l’en témoigner les clés qu’elle peut entendre teinter avec les pas du garçon.
Elle laisse retomber sa tête alors que Seb l’appel depuis le salon. Une seconde puis deux et elle se relèvent le sourire aux lèvres, l’héritière Falkenberg. Une légère transformation pour éradiquer tout gonflement et rougeur lié à son coma et elle se dirige vers son salon. Satine Falkenberg toujours à la recherche de la perfection. Malgré un léger sommeil placé dans son regard. « Comme si ma présence ne t'empêchait pas de vider mon frigo ? » Elle sourit légèrement à la vue, Sebastian comme un poisson dans l’eau à l’intérieur de son appartement. Yggi à ses côtés, chat précieux aussi caractériel que sa maîtresse, qui ne se laissait pas faire par n’importe qui. « Ceci dit, tu ferais mieux d’y jeter un œil. » Pâtisserie favorite du jeune Prince qui trône dans le frigo de l’héritière Falkenberg. Connaissance de la brune utilisait à bon escient. Elle avait prévu de l’invité, mais ne trouvé pas le temps. « Installe-toi, j’ai pris ton préféré » Au final l’incruste de l’autre sorcier n’était pas une mauvaise chose.




 
The whole world or nothing. ☩
The girl is born amongst the biggest, but mere family fames isn't enough for her.
Sebastian Prince Amundsen
Sebastian Prince Amundsen
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La chatte dans les bras, Sebastian évolue dans l'appartement de sa meilleure amie comme s'il s'agissait du sien – s'il en avait eut un, évidemment. Habitué des lieux depuis un moment maintenant, il vient régulièrement trouver refuge ici quand il n'en peut plus d'afficher le masque de l'Amundsen parfait en tout point : Gentiment docile face aux aînés, délicieusement traditionaliste et parfaitement fidèle aux préceptes familiaux. Un enfer, vraiment. Ici, il sait au moins qu'il peut laisser tomber tout ceci et être simplement qui il est vraiment, que cela n'offusquera pas la jeune héritière, bien au contraire. Il est heureux de l'avoir trouvée dans ce pays parce qu'il ne sait absolument pas comment il aurait survécu en terre étrangère sans une alliée sur place, sans quelqu'un sur qui compter, sur qui se reposer parfois, une alliée qui connaît, qui plus est, le poids qui pèse sur les épaules de celui – ou celle, en l’occurrence - qui doit reprendre la famille en main, à un moment ou un autre.
Grattouillant joyeusement et généreusement l'arrière des oreilles d'Yggi, il se dirige sans honte vers la cuisine, un sourire large étirant ses lèvres alors qu'il entend sa meilleure amie bouger dans sa chambre. Sa menace aurait-elle fonctionné ? Jetant un coup d’œil vainqueur vers la féline – il est presque sur qu'elle a levé les yeux au ciel, d'ailleurs, ce chat vraiment... - il se tourne vers la porte de la pièce renfermant la Falkenberg, haussant un sourcil quand il la voit émerger de là, au premier abord parfaitement disposée, un sourire sur les lèvres qui pourrait presque faire oublier le sommeil qu'il perçoit derrière les pupilles de la jeune femme. Oui, définitivement, il a bien fait de débarquer : si elle se permet une sieste en pleine journée, c'est qu'elle doit être épuisée et que donc, évidemment, elle a besoin de se changer les idées. Logique. « Comme si ma présence ne t'empêchait pas de vider mon frigo ? »  Il ricane légèrement à ses mots et lui offre un large sourire, haussant seulement une épaule, nullement dérangé par ce qu'elle vient de dire. « Effectivement, ça ne me dérange absolument pas. Que veux-tu, je suis en pleine croissance, je dois manger. » Espoir vain de gagner quelques centimètres alors que cela fait déjà un moment qu'il a fini de grandir, les illusions ont la vie dure...  « Ceci dit, tu ferais mieux d’y jeter un œil. » Il laisse échapper un murmure interrogateur et s'approche réellement du frigo, laissant la maitresse des lieux – il parle d'Yggi, bien sûr – sauter sur le comptoir, non loin. « Installe-toi, j’ai pris ton préféré »  Cette fois, son regard pétille bel et bien d'intérêt et d'impatience, la gourmandise étant certainement l'un de ses pires défauts. Vous voulez soudoyer Sebastian Prince ? Proposez lui des bonbons et vous vous le mettez dans la poche. Sans plus de gêne que quelques instants auparavant, il jette effectivement un œil au frigo, son regard scannant l'ensemble d'un rapide coup d'oeil. Il plisse un peu les yeux en tombant sur quelque chose dont il sait parfaitement que Satine ne l'aime pas... Et que lui non plus. Curieux. Bon, il n'est pas non plus le seul à venir la voir, alors c'est sans doute pour quelqu'un d'autre, voilà tout. Son interrogation s'envole vite quand il tombe sur le précieux gâteau et un claquement de langue satisfait lui échappe. « Et c'est pour ça que tu es ma préférée. » Commente-t-il, attrapant la pâtisserie avec précaution. Il en retire une autre dont il sait que la jeune femme l'adore et emmène tout ça avec lui, près de la table. « Ça me rassure, au moins tu avais l'intention de m'inviter un jour ou l'autre, et non pas de disparaître de la circulation pour toujours et à jamais. » Il commence, dramatique, avant de poser un regard scrutateur sur elle, les deux gâteaux posés sur la table et lui appuyé contre cette dernière, « Une sieste en pleine après midi, Sat' ? Tu es malade ? Tu as l'air... » Il plisse les yeux et penche la tête légèrement sur le côté. « ...Fatiguée ? Tu n'en fais pas trop, comme d'habitude, n'est-ce pas ? »  Il ne veut pas être intrusif, il est juste inquiet... Et il a un peu de mal à ne pas franchir la frontière entre les deux. Le fait de ne pas l'avoir vu depuis longtemps contribue à cela aussi, il faut bien l'avouer. Il fait partie de ces gens dont l'inquiétude pour ses proches augmente proportionnellement en fonction du temps qui sépare deux visites, il n'y peut rien même s'il essaie de se contrôler un minimum.
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