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Paris in the rain - Satan (flashback)
2 participants
Satine Falkenberg
Satine Falkenberg
TRØBBEL För att nå toppen av trädet måste du sikta mot himlen
Paris in the rain
@Vanja Brynjolf  
Elle a la tête haute Satine, le regard droit alors que ses talonnettes claquent contre la pavé français. La jeune sorcière reprend ses marques dans le petit théâtre. Héritage culturel de sa mère. Elle revient inlassablement entre les petites rues sorcières de la capital, tous les étés, routine à laquelle elle n’échappe pas. Retour aux racines, auprès de ses grands-parents et de leurs pratiques de banquier. Cette maison trop parfaite, blanche, lumineuse.
Et son entraînement encore et toujours pour maîtriser son pouvoir. Et ses cours d’économie et politique donner par ses aïeuls. Un emploie du temps colossal, qui ne laisse qu’une petite place journalière à ses escapades. Escapade si chère à ses yeux découverte de la ville des Lumière et de ce qu’elle a à offrir. Côté magique comme côté moldu. Elle dévoile tout à pleines dents la petite Falkenberg, lorsqu’elle le peu. Lorsque sa tête n’est pas sur le point d’exploser sous les informations qu’elle doit ingérer. Cerveau qui frôle le surplus d’information. Ou que ses courbatures ne l’empêche pas de se lever, corps irrité par son pouvoir et ses différents changements.
Les choses n’étaient pas si terribles, mais il fallait avouer que Satine aurait bien fait sans la fatigue qui pèse sur ses épaules quotidiennement. Elle peut encore entendre sa mère qui lui avait presque ordonné de faire une sieste. Et elle qui s’était contenté de rire en passant le pas de la porte. Papi avait était appelé, ce qui lui assurait une demie journée de liberté. Enfin.
Elle ignore la fatigue et joue avec son apparence. Pratique qu’elle réitère régulièrement. Elle teste ses limites, les repoussent à l’occasion. Légères modifications d’apparence, qu’elle maintiendra le plus longtemps possible. Prête à reprendre ses marques au cœur de la ville, elle vaque de magasin en magasin. Elle sait ce qu’elle veut, ou elle va. Le monde magique et puis le monde moldu.
Elle tourne au coin d’une rue et rentre violemment dans un corps. Elle en tomberait presque à la renverse. Injure française, à l’accent légèrement défiguré au bout des lèvres. Regards effarouchés qu’elle lance à la masse devant elle. Elle se stabilise. Et découvre la peine de son existence avec un râle. Vanja, une carte à la main. « Putain, tu me lâches jamais toi, hein ? » Qu’elle sache dans sa barbe. « Qu’est-ce que tu fais là Brynjolf ? Un peu loin de tes dragons non ? » Elle la scanne de haut en bas. De ses chaussures de marche à sa chemise de vacances et sa carte toujours coincée entre ses mains. Peut-être que son regard avait un peu trop traîné, sur la remonte, mais personne ne serait là pour lui en tenir rigueur.
« T’es perdue ou quoi ? » Qu’elle ricane avant de passer devant elle. Stupide moquerie, la raison était évidentes, ce passage était l’un de ceux qui menait aux monde moldu. Dédale de pavé sans fin si on n'en connaissait pas le secret. Satine elle-même c’était perdu plus d’une fois. N’importe qui l’aurait fait. "J'espère que ta carte est bien fiable." Qu'elle ricane en s 'éloignant un peu plus dans la rue. Très peu existaient, les jeunes sorciers étaient supposés arriver par le côté magique et se débrouiller à partir de là. La blonde n'avait sûrement pas eu le mémo.




 
The whole world or nothing. ☩
The girl is born amongst the biggest, but mere family fames isn't enough for her.
Vanja Brynjolf
Vanja Brynjolf
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
(( paris in the rain ))
Les mains enfoncées dans les poches, Vanja déambule dans les rues pavées. Sa casquette protège ses yeux bleus des rayons agressifs du soleil français mais elle plisse malgré tout le regard, peu habituae à une telle luminosité. En Scandinavie, l'été est d'un bleu profond, coloré par le orange des flammes des dragons. Dans la capitale française, où la blonde a décidé de passer quelques jours en touriste, la saison estivale est d'un blanc éclatant qui se reflète sur les toits chromés des bâtiments et les vitres des magasins.
Vanja s'arrête à un croisement et tourne la tête, à droite, puis à gauche. Sa bouche se tord en une adorable grimace. Elle se penche et réitère l'opération : un coup d’œil à droite, un autre à gauche. L'une de ses mains se glisse hors de la poche de son pantalon et elle se gratte la tempe, attrapant au passage une mèche de cheveux qui lui chatouille désormais l'oreille. Un sourire contrit finit par étirer ses lèvres et elle se résout à l'inimaginable : elle sort la carte du petit sac à dos qu'elle a sur les épaules. Un soupir grognon accompagne le mouvement mais, dès qu'elle a déplié le plan, son sourire se fait à nouveau aussi lumineux que l'astre solaire et elle se remet à déambuler vaillamment, à pas un peu trop grands.
Elle a déjà exploré le Paris sorcier la veille. L'objectif du jour est autrement plus excitant et c'est pour ça que Vanja sautille presque comme une grenouille. Aujourd'hui, elle cherche le passage qui mène chez les moldus. A Göteborg, la transition se fait aisément, surtout pour elle qui connaît la ville comme sa poche. Elle pourrait passer d'une rue sorcière à une rue moldue les yeux fermés. Mais les Français sont visiblement bien plus précautionneux, ou du moins l'organisation de la ville est-elle différente, si bien que cela fait au moins vingt minutes que, alors qu'elle est censae être arrivae au bon endroit, Vanja tourne en rond à la recherche de l'impasse que lui a indiqué le tavernier.
Heureusement, sa bonne étoile ne la quitte jamais. L'humour de sa bonne étoile non plus, car c'est encore en rentrant droit dans Satine Falkenberg que Vanja retrouve son chemin. Un sourire goguenard s'inscrit immédiatement sur les lèvres de la dragonne, qui enfonce à nouveau les mains dans les poches en observant la jeune femme qui ne perd pas un instant pour l'insulter. Putain, tu me lâches jamais toi, hein ? Vanja ferme les yeux quelques secondes et se délecte du chant de cette voix.
C'est que c'en deviendrait presque agréable, de se faire incendier, quand c'est Satine qui le fait. Qu’est-ce que tu fais là Brynjolf ? Un peu loin de tes dragons non ? Immédiatement, elle soulève les paupières et les sourcils, narquoixe. Oh pardon, miss Falkenberg, je ne savais pas que vous autres de la royauté, z'aviez l'exclusivité sur Paris ! Puis c'est au tour de Satine de la dévisager et le rapport de force... s'inverse. Comme toujours entre elles. Balançoire jamais à l'arrêt. T’es perdue ou quoi ? Vanja se renfrogne. Elle, perdux ? Jamais ! Bon, sauf aujourd'hui.
J'espère que ta carte est bien fiable. Et Satine lui tourne le dos et s'éloigne. La blonde passe quelques secondes à observer son pas raide, les souliers claquant sur le sol irrégulier, les cheveux se balançant de part et d'autre du cou... ce cou dont Vanja connait désormais bien le goût et l'odeur. Ce cou auquel elle a soudainement très envie de goûter, encore et encore, sous ce ciel si particulier de l'été parisien. Satine ! appelle-t-elle, en se faisant violence pour ne pas enchaîner immédiatement sur une remarque sarcastique. Tu connais bien Paris, non ? continue Vanja en se mettant à trottiner pour rattraper la brune. Une fois à son niveau, elle approche un peu le visage de celui de l'autre sorcière et souffle, les yeux brillant : Tu veux pas me faire visiter ?

@Satine Falkenberg  Paris in the rain - Satan (flashback)  824436727


life if beautiful - - I know that it hurts sometimes, but it's beautiful Workin' every day, now you bleedin' through your cuticles Passin' through a portal as you're just sittin' in your cubicle