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arrêtez un peu avec toute cette mascarade (sans noms)
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Vanja Brynjolf
Vanja Brynjolf
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
samedi 18 novembre 2023, début d'après-midi Vanja jette un coup d’œil derrière elle. Trois silhouettes se dessinent dans le contre-jour généré par la nouvelle colonne de lumière qui a émergé dans une ruelle sale de Völva Havegang. Il y a  @Alfhild Mørk qui tient la carte entre ses doigts crispés et qui observe le fruit de son travail d'un air mi-émerveillé et mi-apeuré - c'est grâce à elle et à son travail sur le document que Vanja s'est précipité dans les rues de Göteborg pour vérifier les prédictions de la blondinette. Il y a  @Venceslas Lund, celui de l'expédition que Van' connait le moins, qui fixe l'entrée vers la Ville Étrange d'un air déterminé - Vanja avait passé des heures, depuis les événements de l'été précédent, à discuter avec lui de leurs expéditions respectives de l'autre côté des brèches, et elle restait admirative du fait qu'il avait fait partie du tout premier groupe à revenir avec an disparux, vivanx qui plus est. Enfin, il y a @Viktor Brynjolf qui ferme la marche.
Cette silhouette-là est familière.
Vanja la connait par cœur, elle pourrait en dessiner les contours les yeux fermés, un sourire enfantin aux lèvres. Pourtant, dans ce contexte - c'est étrange. Rien n'y fait, c'est étrange. Cela fait pourtant quelques mois désormais qu'als se sont croisaes en réunion, qu'als savent leur implication respective dans le mouvement, qu'als participent même à des sessions d'organisation en commun. C'est notamment ce qui mène à leur présence à tous les quatre, en ce début d'après-midi pâlichon, dans une ruelle aux pavés délabrés promettant moult croche-pattes aux inattentixs. Avec un dernier sourire à ses camarades (oui, décidément, c'est étrange de considérer son père comme un camarade de lutte), Vanja se détourne de leurs trois silhouettes, et avance vers la lumière.
Il n'y a pas vraiment de raison à ce qu'elle entre la première dans le vortex d'énergie brillante, sinon qu'elle a toujours été impulsive et prompte à sauter au-devant du danger. Sans plus se poser de questions, avec un seul battement de cœur en décalage, elle pose le pied sur la limite floue - indéterminée - elle ne sait pas vraiment à quel moment elle a quitté Göteborg et pénétré Cittagazze. Elle continue d'avancer de quelques mètres pour que ses compagnon.ne.s ne lui marchent pas dessus en avançant à leur tour, et observe le lieu où elle se trouve désormais. Ca n'a rien à voir avec la maison de poutres branlantes qu'elle avait découvert la première fois qu'elle avait franchi une brèche. Ca ressemble plutôt à la tour que Viktor a décrit à plusieurs reprises, mais Vanja espère que ce n'est pas là qu'als ont atterri. Pour une exploration, il serait quand même dommage de se retrouver coincaes dans une pièce hermétique dès le début.
Avec joie, elle repère une fenêtre sur sa droite. Mais pas de porte. Elle s'approche du trou dans le mur, un peu haut, et se met à sautiller sous le regard consterné de Chien. C'est pas comme ça que tu vas mieux voir, tête de nœud ! Attends papa et monte sur ses épaules, nan ? Mais, contaminé par l'impatience de sa sorcière, le fylgia change de forme et devient un petit dragon replet aux teintes arc-en-ciel pâles et effervescentes. Avec ses petites ailes, il parvient à s'élever légèrement et à flotter au niveau du bas de la fenêtre. Alors ? Tu vois quoi ? Bad news, kiddo. Ughhhh. Bon, als pourront au moins essayer de situer la tour dans la ville en observant ce qui est visible par la fenêtre, mais elle espère vraiment qu'als vont trouver un moyen de sortir de là. Elle se détourne pour se concentrer sur la lumière d'où ses camarades vont émerger d'un instant à l'autre ; et Chien, au moment où la première tête se fait visible, se laisse tomber au sol tel un ballon dégonflé. Waf.


life if beautiful - - I know that it hurts sometimes, but it's beautiful Workin' every day, now you bleedin' through your cuticles Passin' through a portal as you're just sittin' in your cubicle
Viktor Brynjolf
Viktor Brynjolf
LÆRERTEAM Den som talar mycket säger sällan vad som är bra
Viktor sentait le regard, quelque peu déstabilisé, de Vanja sur lui. Il avait envie d’aller vers ael, mais il se retenait. Il n’était pas là pour faire le papa poule. Il était là en tant que partie intégrante des Sans-Noms. Il se devait d’agir comme tel. Pour lui. Pour Vanja. Alors, secouant légèrement la tête comme l’Ours à ses côtés, s’ébrouant presque, il se concentra à nouveau sur le présent, sur ce qu’il se passait, sur ce qu’ils étaient entrain de faire.

Il garde un œil sur leurs arrières, concentré. Il garde un œil sur Alfhild et Venceslas, paternel. Il regarde son enfant, disparaître petit à petit dans le faisceau de lumière, dans cette brèche, une parmi tant d’autre qu’il avait déjà franchi. Un franchissement, un seul simple pas, qui le galvanisait au plus haut point. Quel mystère encore pouvait renfermer ces « Cittagazzes » ? Il y avait encore tant de questions sans réponses ; malheureusement, en ce moment, il se retrouvait toujours au même endroit, à chaque franchissement : cette foutue tour, déjà connue, reconnue et notée dans les avis de recherches magiques. Il ne put s’empêcher de soupire très très très fort quand, dernier, il arriva dans la salle de la tour. Toujours la même, avec sa haute fenêtre, presque impossible à atteindre sans Fylgia volante. Sur cette pensée, Chandler se transforma en sa forme ailée, prenant de la place dans la pièce assez étroite pour quatre sorciers et leurs Fylgjur. Chandler s’envola haut dans la pièce, touchant le plafond de ses écailles, ne réussissant pourtant pas à abimer, railler, écailler, griffer, de ses griffes et cornes, la moindre partie du plafond de bois ; la tour semblait réelle mais immatérielle à la fois.

« Je suis toujours autant surpris par cette tour » gronda Chandler, s’ébrouant, faisant claquer ses ailes, ébouriffant les sorciers en-dessous de lui.

Viktor se contenta de hocher la tête. Lui aussi. Il se devait pourtant de laisser sa surprise de côté, et chercher, analyser, découvrir, ce qui se passait autour de lui. D’un sourire, il fit Alfhild se concentrer sur lui.

« Peux-tu t’occuper de dessiner l’intérieur de la tour, avec le plus de détails possibles ? Venceslas, Vanja et moi allons nous occuper d’en faire le tour pour te dire ce qu’il en est. » D’un regard, il questionne les deux autres, voir s’ils seraient d’accord. Ce n’est pas parce qu’il était le plus vieux – soupir intérieur, ricanement de Chandler – d’eux tous, qu’il devait forcément prendre les rennes. Puis Viktor se rapproche des murs, et sans faire attention à la goutte de sueur perlant doucement sur son front, posa les mains sur les murs et se mit en quête d’une sortie.



(C) ETHEREAL


Alfhild Mørk
Alfhild Mørk
TRØBBEL För att nå toppen av trädet måste du sikta mot himlen

Arrêtez un peu avec toute cette mascarade

  @Viktor Brynjolf  @Vanja Brynjolf  @Venceslas Lund - Samedi 18 novembre - début d'après-midi




Les mains serrées sur la carte, les yeux rivés dessus, Alfhild passe une dernière fois en revue tout ce qu'elle a inscrit dans les coins. Elle connait par cœur les étranges symboles même si elle n'a pas totalement encore réussi à en percer les secrets. L'échec ne la frustre pas, il alimente sans fin le feu de sa curiosité insatiable concernant Cittagazze. Cette ville qui émerge de brèche lumineuse, donnant à voir des maisons délabrées comme des plages sans fin, ou des parcs fleuris. Une étrangeté de monde qui ne cesse de la surprendre et de titiller ses envies profondes d'en percer les mystères. Elle n'est évidemment pas la seule Alfhild à partager cette soif de découverte et de compréhension, et avec les trois autres compagnons d'aujourd'hui, iels forment un des premiers groupes non officiels d'exploration. Non officiel parce qu'iels ne sont mandatés par aucune instance ministérielle, mais par une motivation commune venue d'un militantisme commun. Après tout, avec Vanja et Vence, elle a déjà eu l'occasion de mener quelques batailles, dont cette fameuse explosions de feux d'artifices dans le manoir Amundsen. Un léger rire roule dans ses poumons à ce souvenir et elle lève un regard complice au Lund à ses côtés. Une fois de plus, elle est particulièrement heureuse de mener cette nouvelle aventure avec lui. Son regard dérive ensuite vers Viktor avec une certaine gêne mêlée de tendresse. Elle l'apprécie beaucoup lui aussi, différemment, mais elle est étonnamment rassurée de l'avoir à leurs côtés, comme si son caractère d'adulte lui conférait immédiatement un bouclier magique que les autres sorciers n'avaient pas. Elle tique sur cette pensée, ça l'amuse de remarquer qu'elle songe à lui comme un adulte, alors qu'iels le sont également, Vanja, Vence, et elle. Mentalement elle ajoute l'étiquette mature derrière adulte pour plus de précision, avant d'hocher la tête, convaincue. Oui, avec cet adulte mature à leurs côtés il ne fait aucun doute que l'expédition sera une réussite. Et qu'il pourra contre-carrer toutes ses erreurs à elle et sauver les situations désastreuses.

Plongée dans ses pensées rêveuses, elle laisse le père et la fille entrer en premier dans le puits de lumière avant de s'engouffrer à son tour dans celui-ci. Une fraction de seconde, une bouffée d'angoisses s'éparpille dans ses nerfs et elle est fugacement tentée d'attraper le bras de Vence. Heureusement pour elle, ce dernier est légèrement trop loin, il faudrait qu'elle fasse un pas de côté, et cela suffit à chasser l'envie saugrenue qui l'aurait mise sans doute plus mal à l'aise qu'autre chose.

De l'autre côté, l'obscurité jure avec l'ambiance lumineuse du passage. Elle cille plusieurs fois Alfhild, avant de mettre des noms sur les images du mur qui se dessinent autour d'elle. La tour Son sourire se tord dans une grimace amère tandis que ses yeux plongent immédiatement sur sa carte mouvante. D'un doigt doux elle effleure le parchemin à l'endroit où la dite tour est matérialisée et un soupir soulève sa poitrine. Elle aurait aimé tomber sur la plage la Mørk. Elle a toujours aimé les plages. Il ne lui reste plus qu'à espérer que des spectres ne se décideront pas à venir les chercher ici. Dans la pièce fermée qui les entour, ils seraient à l'étroit tous les quatre pour se défendre efficacement. Un frisson glacé court dans son échine alors que les images de son dernier affrontement avec l'un d'entre eux émerge de ses souvenirs. La voix de Viktor la tire avec soulagement hors de ceux-ci et elle fixe ses yeux bleus sur lui. Dessiner l'intérieur de la tour ? Voilà une mission largement à la hauteur de ses capacités. Aussitôt, elle opine de la tête, s'empressant de sortir de son fidèle sac de cuir son carnet fétiche et un crayon finement taillé. Elle ouvre l'ouvrage, trouvant difficilement une page vierge, et commence immédiatement à faire les contours de l'endroit en commençant par l'ouverture offerte par la fenêtre. « Tomber sur la tour, c'est quand même pas de chance. Si seulement j'arrivais à mieux décoder les symboles qui apparaissent en même temps que les brèches, je suis sûre qu'on pourrait arriver à savoir vers quel endroit elles mènent. » Elle marmonne plus pour Dreymir et elle-même que pour les autres tout en continuant à faire courir son crayon sur la feuille et de remplir le blanc d'informations qu'elle juge importante. « Vous pensez qu'on peut passer par la fenêtre ou bien elle est fermée par une barrière magique ? » Sa voix s'est faite aussi flottante que son regard qui s'est accroché à carré de ciel qu'elle aperçoit avec une certaine envie d'aller y voir de plus près.



Venceslas Lund
Venceslas Lund
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
On n'échange pas un mot alors que la brèche s'étend devant nous, aussi mystérieuse que la première fois que j'ai pu en traverser une avec mes adelphes, il y a quelques mois de ça. Sauf que cette fois-ci, on est toustes ici en connaissances de cause. Le regard un peu plissé, j'observe intensément le phénomène comme si je pouvais voir à travers juste avec la force de mon esprit. Sans beaucoup de succès, mais on ne peut pas me reprocher de ne pas avoir tenté !
J'ai un sourire satisfait au lèvre, fasciné et impatient aussi, et je resserre la prise de mes mains sur la lanière du sac à bandoulière que j'ai attrapé en vitesse alors que nous nous précipitions sur les traces de Vanja, à la poursuite de ces fameuses brèches.
J'sais p't'être pas où on va atterrir, mais au moins j'ai essayé de venir préparé ! … Un minimum.
Alfhi échappe un rire et j'échange un sourire complice avec elle. Je pourrais m'habituer à faire équipe avec elle. Avec Vanja, aussi. On fonctionne pas trop mal ensemble, je crois !

Dailleurs, Vanja s'enfonce lae premier.ère à l'intérieur de la lumière et je ne peux pas m'empêcher de retenir ma respiration, comme si à tout moment iel pouvait se faire recracher brutalement par … Peu importe ce que c'est. Comme un signe que Haha, vous aviez vraiment cru que je vous laisserez faire ? Petit.e.s naif.ve.s
Mais rien ne se passe. Vanja est vraiment passé au travers et mes épaules se rabaissent d'un soulagement étrange.. Parce que, oui, malgré le danger que cela peut représenter... On va vraiment pouvoir explorer... Ça. Peu importe ce qui se trouve derrière, on peut y retourner. Peut-être que je vais pouvoir en savoir plus sur ce qui a provoqué l'état de mes proches, ceux qui avaient été pris de forces par ces lumières … ?

Un pincement au niveau de la nuque me tire un couinement de douleur étouffé et, tournant la tête, je tente comme je peux de jeter un regard noir à Rainbow Dash, perché sur mon dos. Insensible à ça, il lâche plutôt avec agacement, « Bouge toi, t'as l'air stupide, planté là, tout seul...  Surpris je regarde autour de moi et jure soudain en constatant que tout le monde s'est barré sans que je ne m'en rendre compte. Grommelant à voix basse, je me précipite vers la brèche et y pénètre peut-être un peu brusquement, déboulant de l'autre côté avec un élan qui n'était clairement pas nécessaire. Manquant de me casser la gueule, je me ratrappe de justesse et observe les environs, tanguant légèrement sur mes jambes.
Une pièce, circulaire . Fermée, à part une fenêtre trop haute même pour moi. Plissant un peu le nez je tourne sur moi même en essayant de repérer quelque chose qui pourrait nous permettre de sortir de là. Ça risque d'être la plus courte expédition de l'histoire des expéditions si nous ne pouvons pas bouger d'ici.
Viktor prend la parole et je me tourne vers lui, acquiesçant légèrement à sa proposition. C'est d'ailleurs seulement maintenant que je constate que sa Fylgja a pris une forme bien plus massive, me faisant légèrement pencher la tête sur le côté, un peu fasciné par la créature. J'écoute les marmonnements de Alfhild d'une oreille distraite et secoue légèrement la tête,   « T'as déjà fait un boulot formidable, t'inquiète. Même si j'avoue que je préfère encore le cimetière à ...Cette pièce. » Plissant un peu le nez je m'écarte de la jeune femme pour faire le tour de ladite pièce,   « C'est ici que tu es arrivé la première fois, c'est ça Viktor ? Il n'y a aucun changement par rapport à cette fois là... ? »  J'interroge le plus âgé du groupe mais le plus jeune dans notre organisation, le front plissé par la réflexion. Mes doigts effleure les murs alors que j'arrive à un angle, appuyant de ci, delà. Je jette un nouveau coup d’œil à Chandler, en hauteur,   « Eeeeeh... Si il crache du feu vers la fenêtre vous croyez que ça pourrait exploser le mur et nous libérer une porte de sortie... ? » J'entends immédiatement Rainbow Dash soupirer très fort alors qu'il fini par se décrocher de mon dos, le tiraillement plusi ntense sur notre lien indiquant qu'il a pris sa forme physique de Furêt changeur de couleur, « Ça sera soit ça, soit le feu se retournera contre nous et nous finirons tous brûlé vi... »  Le furet s'interrompt tout seul, conscient trop tard de ce qu'il vient de dire alors que mon corps tressaille un peu trop à mon goût. Me raclant la gorge, je ne répond pas et continue mon inspection.   «  Les murs ne présentent aucune faille, c'est … Ca donne l'impression que c'est neuf et très ancien à la fois. » Une pièce entièrement fermée ne peut servir à personne, il y a forcément une sortie quelque part, et je fini par extirper la baguette de ma poche de jeans, plissant légèrement les yeux avant de tenter un sort pour révéler ce qui est caché,   « Revelio ! »
Le sortilège quitte ma baguette avec succès et sa lumière semble effleurer les murs de la pièce, cherchant comme nous une quelconque porte de sortie. Quelque chose brille soudain, fort. Une porte ? Une autre fenêtre ? Des runes ? Une pancarte Hahahaa je vous ai bien eu ?

@Alfhild Mørk  @Viktor Brynjolf  @Vanja Brynjolf
Völuspá
Völuspá
UKJENT Alla vill ha välstånd, men få vet hur de kan njuta av det
cittagazzeDoomsday
Revelio !
Immédiatement l'air au centre de la pièce vibre, vibre, gronde, et bientôt distord l'image, puis l'espace se met à briller. En quelques secondes, avant même que l'équipe n'ait le temps de réaliser que quelque chose s'est passé, la chose est arrivée.
Un vieux meuble finement sculpté occupe le centre de la pièce où iels se trouvent. Tiroirs, miroirs, papiers, et même un pot à crayons dans lequel on ne trouve que des plumes d'oiseaux colorées aux pointes acérées et noircies par l'encre.
A vous de découvrir les secrets du secrétaire.
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