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Magni Hammarskjöld
Magnus Skogr
Noen
7 participants
Noen
Noen
UKJENT Alla vill ha välstånd, men få vet hur de kan njuta av det
20 juin 2023 L’effervescence est incontestable, alors que les jouereuses du club se préparent dans les vestiaires pour leur dernier entraînement avant le match final de la saison. Certaines personnes sont confiantes, bruyantes, arrogantes même, tandis que d’autres restent en retrait, plus concentré.es et pensif.ves, ressentant probablement la tension qui n’a fait qu’enfler au cours des dernières semaines. Toustes, cependant, sont motivé.es à l’idée de gagner leur dernier match et de compter un nouveau trophée dans leur vitrine, aussi symbolique soit-il. Peu importe qu’il n’y ait pas de qualification ou de championnat à la clé, la simple fierté d’ajouter une victoire à leur longue liste leur suffit amplement et leur donne tous les droits de se vanter pendant les mois à venir.

Une fois prêt.es, les joueureuses regagnent le terrain, balai en main, ajustant encore leur équipement, certain.es avec plus d'entrain que d'autres. Leur coach les attend un souafle sous le bras, un sourire confiant aux lèvres. Dans son autre main une bourse, accessoire familier utilisé pour déterminer comment seront divisés les équipes. Tout à tour, iels plongent leur main à l’intérieur et en tire une petite balle colorée, soit orange soit verte, et au même moment, un enchantement change la couleur de leur robe de quidditch pour refléter leur choix. Après quelques dernières exclamations de joie de s’être retrouvé dans la même équipe qu’un.e ami.e, le sérieux regagne l’ensemble des joueureuses et iels s'élèvent peu à peu dans les airs. Le silence plombant flotte un instant, alors qu'iels sont toustes dans l'attente, jusqu'à ce que leur coach libère les cognars, puis le vif d’or, et lance finalement le souafle en jeu. Son coup de sifflet résonne dans leurs oreilles, strident, marquant le début du match, le début de leur dernier entraînement.

hors-jeu
Ce sujet met en jeu un entraînement du club de quidditch Tanngrisnir & Tanngnjóstr, basé à Göteborg (plus d'informations ici). Le sujet est libre et ouvert à tout personnage n'étant pas élève à Durmstrang (libre) you’re not obligated to win, you’re obligated to keep trying 575574566 La seule condition étant que le personnage joué fasse officiellement partie du club. Si vous voulez participer sans avoir déjà de personnage membre, vous pouvez poster dans ce sujet pour inscrire un personnage existant, ou jouer Noen pour participer avec un personnage inventé pour l'occasion. Vous pouvez choisir quel poste vous occupez, ils seront réservés en fonction de l'ordre des réponses. Si vous avez des questions avant de poster, n'hésitez pas à les poser dans le flood de groupe du club (libre) you’re not obligated to win, you’re obligated to keep trying 2302509866 Et si vous êtes plutôt intéressé.es par un "vrai" match, celui en question devrait être organisé dans quelques temps, après ce premier topic (libre) you’re not obligated to win, you’re obligated to keep trying 3076121147

Merci de privilégier des réponses courtes, le but étant de répondre rapidement et d'avancer vite dans le sujet (libre) you’re not obligated to win, you’re obligated to keep trying 362035032 Le match faisant simplement office d'entraînement, il peut être interrompu à tout moment (libre) you’re not obligated to win, you’re obligated to keep trying 1380751274 N'hésitez pas à utiliser le dé du hasard ou double-face pour toute action effectuée. Les équipes ont d'ailleurs été tirées au sort, Magnus a été changé d'équipe par rapport au résultat pour laisser le même nombre de places libres.

équipe Tanngrisnir (orange)
Attrapeuse - @Vigga Mørk
Poursuiveur - @Andres Hammarskjöld
Poursuiveureuse - libre
Poursuiveureuse - libre
Batteuse - @Ina Falkenberg
Batteur - @Markus Falkenberg
Gardien - @Ásvaldr Baardsen
équipe Tanngnjóstr (vert)
Attrapeur - @Nyx Adelsköld
Poursuiveur - @Magni Hammarskjöld
Poursuiveur - @Magnus Skogr
Poursuiveureuse - libre
Batteureuse - @Vanja Brynjolf
Batteur - @Ozymandias Mørk
Gardien.ne - libre

Coach du club - @Viktor Brynjolf
Magnus Skogr
Magnus Skogr
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
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 La team
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Magnus Skogr prend une inspiration profonde et instinctivement ses paupières closes tressaillent. Un rictus vient étendre ses lèvres fines résolues à l'immobilisme. Le quidditch ? Un ami d'antan avec lequel le sorcier avait cru bon de renouer au dernier souffle de l'année passée. Ce sport lui avait apporté tant lorsque ses pas avaient foulé le sol de l'Institut ; bien plus qu'il ne le reconnaitrait de prime abord. Batteur vedette de l'équipe d'Heidrun, champion comme tant d'autre avant lui ! Une étrange fierté pour celui qu'il avait été dans ses jeunes années l'embaumait et à ces quelques souvenirs le tireur d'élite sentait l'apaisement gagner chacun de ses muscles. Voilà de parfaites dispositions pour profiter efficacement et pleinement de ce match d'entraînement ! Le sang-pur affermissait son emprise sur son balai et c'est d'un pas serein qu'il prenait la direction de ses coéquipiers. Devant ses yeux azurés ne tardait pas à se dresser Viktor et la fameuse bourse aux dés. Lyccka, qui jusque-là furetait dans le crin du destrier boiser de son sorcier, déployaient ses ailes sanguines pour conquérir le cuir des lunettes de protections de Magnus alors que celui-ci s'avançait vers le coach. En guise de salut le sorcier opinait du chef et après un vif regard entendu sa battoir gantée plongeait dans la bourse. Des tintements, semblables à ceux que feraient un amas de breloques agité par un vénal niffleur en quête d'or, s'élevaient. "Je mise un galion anglais sur ..." Entre son index et son pouce se coince un dé et Magnus suspend son geste en soufflant au coach : "Tanngnjóstr" Il retire vivement son gant en cuir de dragon de la bourse...Irrévérencieuse fortune ! Un clin d’œil et un rictus faussement fier gagnait ses lèvres. Brièvement, Magnus laissait l'objet rouler au creux de sa paume avant que ne lui succède un équipier. La répartition se faisait d'elle-même jusqu'à-ce que l'heure vienne de noircir les lisses contours de l'empyrée scandinave, à eux les hauteurs ! Tout en maîtrise le Skogr s'élevait, son index tirait sur ses lunettes de protection pour que la coccinelle s'y glisse tandis que concomitamment ses traits se durcissaient avec sa concentration grandissante.

Le sorcier balayait l'ensemble de ses coéquipiers d'un regard attentif. Viktor libérait une à une les clefs de cet affrontement amical ! Les cognards vrillaient dans sa vue périphérique...Il ne comptait plus le nombre de fois où lui et eux s'étaient voué à des valses agitées. Le vif d'or traçait de complexes arabesques avant de disparaitre...Enfin le souaffle surgissait sous yeux perçant le cercle des joueurs. Le cri strident du sifflet...Ni une, ni deux, Magnus s'élançait vers la sphère de cuir jetant son bras vers lui comme il aurait abattu sa batte sur un cognard il y avait de cela quelques longues années.

Trop d'entrain ? Certainement que le dosage lui avait manqué, car son geste se voulant souple s'était mué en un a-coup un poil abrupt pour une récupération de souaffle rapide ! Aussitôt la bête récupérée, il la calait contre son flanc droit.


Spoiler:

Magni Hammarskjöld
Magni Hammarskjöld
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Tanngrisnir & Tanngnjóstr team | 20 Juin 2023 - Soirée


L'excitation creuse ses rires sur mes lèvres alors que j'ajuste ma tenue de Quidditch. Le dernier match de la saison approche à grand pas, et l'entrainement du jour est essentiel. La dernière fois que l'équipe à affronté nos futurs adversaires, j'avais mon balai de toujours entre les mains. Du moins mon balai de ces cinq dernières années. De nombreux vols, de nombreux entrainements et une complicité parfaite. Mais depuis mars, et sa destruction tragique lors d'une mission qui m'avait coûté de nombreux maux de crâne et une soirée inattendue chez Andres, je dois composer avec un balai tout neuf. Plus performant, certes, sa gestion de sa stabilité en cas de bourrasque est appréciable, mais plus jeune dans notre expérience commune. Une entente moindre de laquelle avait résulté quelques passes manquées lors de notre dernier match. Chaque entrainement est une occasion de plus de nouer des contacts fort entre ce balai et moi. Et espérer décrocher la victoire qui pourrait nous mener en tête du classement de cette saison loisirs.

Balai sous le bras, le regard pétillant d'impatience, je profite d'avoir tout le monde sous le coude avant de rejoindre l'extérieur pour lancer quelques phrases d'encouragement, tout en sachant pertinemment qu'iels n'en n'ont pas réellement besoin. « Eh parce ! » Une première exclamation juste pour attirer l'attention au milieu du bruit ambiant commun à tout vestiaire tout en terminant d'attacher les protections du poignet. « C'est l'un des derniers entrainements de la saison, on se donne à fond. Le coach a décidé de le faire sous forme de match, je veux pas voir de complaisance parce que la personne en face c'est votre pote ou votre frère. » Clin d’œil amusé en direction du principal intéressé, avant de déloger le manche du balai de sous mon bras et de le faire sauter dans ma paume qui se referme, serrée, contre le bois chaud.« Maintenant qu'on est clair sur ça, on oublie pas de jouer collectif et de tenter le plus possibles nos nouvelles combinaisons. C'est le moment de tester tout ce que le coach nous a fait bosser cette année. » D'une claque sur l'épaule de la personne qui se trouve par hasard à ma gauche, je termine cette petite introduction à la séance du jour avant de prendre la direction de l'extérieur.

La douceur du soir de juin m'englobe de ses odeurs chaudes. Un soleil couchant déverse ses couleurs rouges dans un ciel faiblement nuageux et je lève rapidement les yeux vers ce spectacle écarlate avant de les reporter sur Viktor et sa bourse coutumière. Les coéquipiers s'avancent, file encore bruyante et des corps arnachés de leurs tenues sportives de cuir qui chuintent à chaque mouvement. Un fin sourire espiègle flotte sur mes lèvres quand j'arrive à sa hauteur à mon tour. « Coach. » Rapide salut de la tête dans une voix enthousiaste. La main plonge, attrape la première boule qui roule sous ses doigts et dévoile une couleur verte qui fait scintiller des étincelles dans mes iris. « Tanngnjóstr ! » Une exclamation tout aussi enthousiaste que le reste, et je rejoins l'équipe correspondante choisie par le hasard, désormais affublé des couleurs vertes de celle-ci. Quelques clin d’œils amusés, des tapes sur les épaules des équipiers présents avec moi pour ce soir, avant que les balais ne soient enfourchés et que le vent ne s'engouffre dans mes cheveux. Mjöll s'extirpe des boucles des cheveux pour se loger dans le cou, accroché au tissu de la tunique, avide d'adrénaline et de sensations fortes.

Les balles sont libérées, le coup de sifflet retenti, et les corps s'élancent dans les airs à la conquête du stade, chacun poursuivant son but distinctif. Lancé à vive allure derrière Magnus je viens me positionner rapidement en soutien lorsqu'il parvient à prendre le souafle entre ses mains et à entamer la poursuite vers les anneaux adverses. Légèrement en arrière, en formation serrée, attentif aux couleurs oranges qui s'approchent de nous, je déloge le premier poursuiveur venu contester la possession de Magnus d'un lourd coup d'épaule en attendant la prochaine attaque. La vitesse monte aussi vite que l'adrénaline et mes doigts se serrent un peu plus contre le manche de bois.



résumé de l'action:



Although I felt like giving up It's not the road I chose
Nyx Adelsköld
Nyx Adelsköld
UKJENT Alla vill ha välstånd, men få vet hur de kan njuta av det
Je souris en voyant Magni s'agiter. Un sourire sincère, un sourire excité, l'un des seuls que j'ai réussi à faire depuis plusieurs mois. Malgré Février, malgré la tension entre notre Capitaine et moi, malgré le boulot, malgré Durmstrang, malgré tout le reste... Je suis heureux d'être là. J'avais oublié ce que cela faisait, d'être heureux, ces derniers mois.
Mon sourire s'agrandit à son discours et je ricane fortement en l'entendant parler d'une quelconque complaisance. Il a aucun doute que ceux qui hésiteront à faire une quelconque actions à cause de la personne en face vont se prendre la pire soufflante de leur vie. P't'être bien qu'on est un club amateur, mais le Quidditch, c'est du sérieux. Moi je vais jouer Atrappeur, ce soir. Mon rôle à Durmstrang, celui où je me sens le plus à l'aise.
Celui que j'ai peur de devoir abandonner à cause de... Mon problème de champ de vision. Mon sourire se crispe un peu et je passe distraitement ma main gantée devant mon œil gauche. Je ne la vois pas, évidemment. Je vais devoir faire preuve d'encore plus de concentration, encore plus de sérieux et d'attention pour prouver au coach et à Magni que je peux encore tenir ce rôle. Je n'ai pas envie de garder les buts et je sais que je ne suis pas suffisamment... Calé travail d'équipe pour le reste, alors... Je vais tout donner ce soir !
Je réplique à la claque sur mon épaule d'une bourrade dans les côtés du capitaine avant de suivre le reste de l'équipe à l'extérieur, tout en bruit et en chahut. Le club de Quidditch de Göteborg, c'est un souffle d'air frais dans ma vie. Heureusement que je l'ai.

Salutation au Coach, taquineries entre coéquipier, et c'est mon tour de tirer mon équipe au sort. Aussitôt mes doigts entourent-t-ils la boule de couleur que mes vêtement changent la leur pour prendre la charmante teinte verte qui compose nos couleurs. Je lève bien haut la boule en question, un rictus aux lèvres, avant de trottiner pour rejoindre mon équipe de ce soir, ravi. Il ne se passe pas longtemps avant que le début du match ne commence. Mes doigts agrippent mon balai, le bois lustré glissant sous mes membres protégés de cuir. La sensation me gonfle de joie et, dans le fond, un autre sentiment essaie de prendre la place sans que je n'y fasse attention. Une sorte d'appréhension qui me tord l'estomac, de plus en plus. Mon pied frappe le sol et je rejoins les airs avec les autres. Mon estomac se serre plus fort, j'y prends pas attention. Vassilis a pris une forme brumeuse et le serpent rode au dessus de moi, étrangement nerveux. Les balles sont libérées, mon regard attrape immédiatement la balle dorée qui vient me narguer et  - comme de fait exprès – elle reste particulièrement longtemps sur mon côté gauche, comme testant avec un peu trop d'intensité mon angle mort. Le coup de sifflet, et je me jette en avant, les mains bien serrées sur le manche du balai. L'estomac se retourne, un voile blanc passe brièvement devant mon œil, j'ignore du mieux que je peux. J'ignore les hurlements canin de peur panique dans mon crâne, j'ignore les sueurs froides qui coulent dans mon dos.
C'est le Quidditch, c'est ma bouffée d'air, j'en ai besoin.

Spoiler:
Viktor Brynjolf
Viktor Brynjolf
LÆRERTEAM Den som talar mycket säger sällan vad som är bra
Il avait toujours aimé ce sport. Il lui trouvait une certaine beauté, dans les arabesques crées par les balais, un ballet sans fin jusqu’à ce que la plus belle balle du jeu, le vif d’or, soit attrapé. Ce jeu auquel on jouait par tout les temps, quitte à y risquer sa vie. Ce jeu, qui parfois, n’en était pas un pour certain. Ce jeu, qui pouvait devenir compétition, à en faire perdre des amitiés le temps d’une bataille consacrée à prouver qui était le meilleur à ce jeu-là.

Il en avait déjà failli perdre des amitiés à cause de ce jeu. Il avait aussi déjà failli perdre un œil, un doigt à force d’être cassé par les cognars, mais aussi un souaffle envoyé à toute blinde, avec un peu trop de volonté de nuire aussi. Dans sa jeunesse, il était passé par tout les postes, trop curieux pour ne pas tout essayer. Pour finir, un temps, attrapeur, puis enfin, gardien. Il aimait le poste de gardien, là où il pouvait tout voir, sans jamais cesser de bouger. Pour être honnête avec lui-même, il avait aimé tous les postes. C’est surement pour ça, qu’il avait fini par devenir coach de cette belle équipe, de ce beau club.

Il y avait vu tout d’abord sa fille s’inscrire, avec fierté. Puis, l’envie vint. La jalousie peut-être aussi un peu. Mais il se voyait mal retourner sur le balai, du moins, pas tout de suite, du moins, par pour jouer. Alors il se fit coach. Se disant, que, peut-être, il pouvait leur apprendre certains trucs et astuces, du fait d’avoir joué à tout les postes, du fait de son âge aussi. Et puis, il y avait sa femme, qui l’avait poussé, à y aller.

Alors il était là, parmi eux, avec sa petite bourse en cuir, que les joueurs avaient fini par connaître par cœur, que les joueurs affectionnés tout autant que lui. Plutôt que d’utiliser un sort, pour définir les équipes, il utilisait ça, comme les moldus. Mais il y avait ajouté un petit enchantement en plus, qui changeait tout de suite la couleur des robes des joueurs, enchantement qui ne manquait jamais de les faire rire ou sourire.

Il sourit, hoche la tête, devant chacun d’entre eux. Il avait réussi à se faire une petite place dans ce club, et il leur en était reconnaissant. Il laissa Magni faire son petit discours puis enfin, siffle un grand coup dans son sifflet.

Puis il les laissa faire leur truc. Il enfourcha son balai, puis commença à voleter parmi eux, recherchant d’un œil aguerri les moindres petites fautes, le moindre petit faux mouvement, n’hésitant pas à le rectifier d’un coup de sifflet ou d’un claquement de doigt dont le son était amplifié par ses gants magiques.


par alcara


Vanja Brynjolf
Vanja Brynjolf
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Un sourire de satisfaction perché au coin des lèvres, Vanja finit de nouer son équipement : les gants qui protègent ses phalanges. Elle serre et desserre les doigts pour vérifier leur ajustement puis, satisfaitx, elle attrape son balai d'une main et sa batte de l'autre, avant de quitter le vestiaire pour rejoindre le terrain où, déjà, les rires et les interjections s'emmêlent en un joyeux brouhaha. Silhouette fine et agile, elle se fraie un chemin jusqu'au premier rang, où elle assiste aux préparatifs de son père, en arrière plan (@Viktor Brynjolf) et d'où elle écoute le discours de @Magni Hammarskjöld d'une oreille distraite. Elle doit être la plus jeune du club ; elle est surtout celle qui semble le prendre le moins au sérieux, même s'iels sont toustes là avant tout pour passer de bons moments. Pour elle, gagner n'a vraiment pas d'importance, et elle a du mal à suivre les compétitions auxquelles iels participent. Tout ce qui compte, c'est le rush d'adrénaline, le plaisir du vent dans ses cheveux et le dénouement que représente chaque choc de sa batte contre un Cognard. Déjà, l'excitation frémit au bout de ses doigts et, quand vient son tour, c'est avec une impatience ni feinte ni masquée qu'elle plonge le bras dans la poche de cuir. Vert.
Son sourire s'étire et se durcit. Quand elle joue au Quidditch, Vanja ne se ressemble plus tout à fait, elle abandonne toute image de nonchalance et gagne une intensité rare, qu'on ne lui trouve sinon qu'au cœur de la mêlée dans les manifestations les plus violentes, avant qu'elle ne se reprenne et ne récupère l'étincelle de malice au fond des yeux. Aux côtés de ses camarades, qu'elle identifie d'un rapide coup d’œil panoramique, elle prend place pour former l'une des figures qu'iels ont travaillé au cours des entraînements précédents. Bientôt, le sifflet résonne et elle s'envole. Les premières secondes lui font l'effet d'un shot euphorisant ; et ses poumons s'emplissent, et son sourire grandit, et ses yeux se ferment. Quelques secondes seulement. Puis elle est de retour. Elle a prit de la hauteur et déjà, à peine deux mètres sous elle, le jeu prend forme autour du Souaffle. Elle observe la chorégraphie parfaite des deux équipes se pourchassant, avant d'entrer dans la danse. Les deux Cognards sifflent et elle prend le temps d'analyser la situation avant d'en choisir un.
Tanngnjóstr, son équipe, a pour le moment la possession de la balle. En théorie, elle pourrait rester en arrière, filer un Cognard pour l'avoir sous la main et jouer défensif dès que nécessaire. Mais ce n'est pas son style de jeu, elle qui n'est pas moins aggressixe sur le terrain qu'ailleurs. Elle file vers le côté du terrain, perdant en hauteur, où elle a repéré l'une des deux balles noires. Elle repère l'un.e des poursuiveureuses vêtu.e d'orange, en parfaite position pour intercepter la passe du Souaffle. Elle lâche le manche de son balai pour tenir sa batte à deux mains, sans se soucier de l'équilibre qu'elle va perdre une seconde plus tard, dans un temps parfaitement calculé ; juste assez pour bander les muscles et lancer le Cognard sur les Tanngrisnir.
Le Cognard fuse vers un.e membre de l'équipe opposée, sans lea toucher.


life if beautiful - - I know that it hurts sometimes, but it's beautiful Workin' every day, now you bleedin' through your cuticles Passin' through a portal as you're just sittin' in your cubicle
Vigga Mørk
Vigga Mørk
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Tanngrisnir & Tanngnjóstr team | 20 Juin 2023 - Soirée

C'est bien parce qu'Andres l'y a poussée qu'elle a rejoint le club ; de leur ancien couple, il a toujours été le plus sociable et le plus disposé à s'amuser en groupe. Elle, Vigga, a l'esprit de corps, pas l'esprit d'équipe, les deux se ressemblent mais ne se confondent pas : dans un bataillon, le groupe se bat pour vivre surtout ; dans le sport, le groupe se bat pour gagner avant tout. L'armée a su accueillir ses excès et son intensité, personne ne s'offusquait de la voir si impliquée. Elle est plus mal à l'aise dans ce cadre plus léger, où les enjeux lui semblent parfois dérisoires mais qu'elle ne peut s'empêcher de prendre avec un sérieux démesuré, dès qu'elle grimpe sur son balai. C'est plus fort qu'elle, elle ne sait pas s'amuser diraient les mauvaises langues ; ou bien, diraient de plus doux observateurs, s'amuser pour elle implique de ne pas se renier, de ne pas se limiter à "jouer"... de jouer, bien plus.

Vigga se tait tout le long du tirage au sort, se range au destin sans moufter, mais dès que la boule orange surgit du panier, elle rejoint son équipe d'un pas décidé. Enfourche son Comète 380, qu'elle a acquis spécialement pour ce type d'occasion - les balais militaires ne sont évidemment pas autorisés pour ce type de loisirs. S'envole à toute allure, sans sembler prêter attention aux autres joueureuses - sembler étant le mot central, puisqu'elle a déjà soigneusement repéré chacun d'entre elleux et que ses yeux d'aigle lui font rarement défaut.

L'attrapeuse entame de longs cercles concentriques à différentes hauteurs de terrain, à l'affût, en chasse. Au-dessus ou au-dessous d'elle, les poursuiveureuses commencent à s'agiter... un cognard la charge, elle l'évite sans difficulté, à peine perturbée. Mais en elle, l'adrénaline commence doucement à monter et, un léger sourire éclot sur son visage froid : elle veut bien avouer parfois savoir s'amuser.

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