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Crawling in my skin - Dax
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Einar Bråthen
hekseri
muggler
Gif :
Âge : vingt-sept ans [18 janvier 1997]
Statut de sang : Mêlé
Statut civil : If it's never officially started, you don't have to worry about it ending : endless potential (S.L)
Occupation : Deuxième année de Chien à l’Institut des Langues (oups les redoublements). Fan de runes, bidouilleur de sorts, musicien invétéré et créatif anxieux.
Fylgia : Myr, une hase au pelage brun, qui se transforme parfois en harfang des neiges
Alignement : Autre
Allégeance : Skjerme à Durmstrang – En secret et depuis toujours, les Nornes, Urðr, Verðandi et Skuld
Particularité : devin
Pseudo : Floppy
Serment le : 23/11/2022
Parchemins : 638
Noises : 1109
Gallions : 4
TW : anxiété – crises d'angoisse – psychophobie
Double : Alex Høgh Andersen
Crédits : Ruby Rider (gif)
Multi-comptes : A brat (Siggy)
Fear is how I fall Confusing what is real There's something inside me that pulls beneath the surface Confusing This lack of self-control I fear is never-ending
C
RAWLING
IN
MY
SKIN
IN
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SKIN
Étrangement, plus Einar s’agace, plus cela semble amuser Dax. Ce dernier arbore d’ailleurs un grand sourire à la fin du coup d’éclat du plus jeune. Lorsqu’il le remarque, Einar reste un peu interdit. « T’as dit tout à l’heure que c’était juste comme ça. Les gens qui tiennent ce genre de discours ne constatent parfois pas qu’il y a un problème sur lequel ils peuvent agir. » lance le sorcier en haussant les épaules, avant d’ajouter : « Mais tant mieux, si c’est pas ton cas. ». Einar note la pointe de moquerie dans sa voix et serre les dents. Clairement il n’est pas en état de débattre avec Dax aujourd’hui, surtout que ce dernier semble avoir un don pour le faire sortir de ses gongs malgré lui. Mais ce n’est pas impossible qu’il pense à lui dès qu’il sera derrière sa batterie, pour se défouler enfin. En attendant, il se contente de croiser à nouveau ses bras en silence et de fixer Dax, refusant de répondre. Il ne rentrera pas dans son petit jeu, c’est décidé. Maintenant il faut trouver un moyen qu’il lui fiche la paix… Pas évident !
Le plus âgé ne semble pas avoir de souci avec sa réaction, puisqu’il continue, visiblement amusé : « Je bosse en pédiatrie. Pas en psychomagie, au cas où c’était pas clair, malgré mes judicieuses et efficaces interventions. ». Un sourcil surpris se lève sur le visage d’Einar, teinté d’une pointe de perplexité moqueuse : ce type ? En pédiatrie ? Il a du mal à l’imaginer au contact d’enfants… Ou même de gens. Quoi que, il lui semble l’avoir vu traîner avec quelques personnes dans les couloirs de Durmstrang. Mais Dax ne lui semble clairement pas le genre de personne ouverte et sympathique qu’Einar visualise quand on lui parle de s’occuper d’enfants. Peut-être qu’il lui raconte n’importe quoi, juste pour l’agacer ? Il en serait bien capable. Mais un coup d’œil vers sa fylgia lui rappelle sa forme très… mignonne, il faut l’avouer. Et il repense à la façon dont le panda l’a tiré de sa panique, comme s’il était habitué à réagir à ce genre de choses… « Heureusement que t’es pas en psychomagie , commente-t-il enfin. Je pense que tes patients seraient super mécontents, vu ton incroyable tact. ». Il sourit presque malgré lui à la fin de sa remarque, tournant un peu la tête pour le masquer. Ça ne ferait probablement qu’encourager Dax à continuer à le chercher.
Dax continue : « Tu parviens à savoir ce qui provoque ça, ou c’est simplement la vue d’une feuille blanche dans la bibliothèque ? – Comme je disais : tact légendaire ! » marmonne Einar en direction de sa fylgia, qui agite les oreilles d’un air amusé. « La dernière partie de ma phrase était une plaisanterie, t’emballe pas. Quoique…J’aime bien quand tu t’emballes. Je ne t’en pensais pas capable. ». Il ne peut clairement pas s’empêcher de le provoquer donc. Einar roule des yeux avec exagération avant de pousser un long soupir. « Tu vas pas me lâcher avant de m’avoir totalement interrogé, hein ? » finit-il par lâcher en s’installant sur une des chaises, un léger sourire sur les lèvres. Il prend le temps de jauger le plus âgé, essayant de comprendre ce qu'il cherche à accomplir... en vain. Einar finit par détourner le regard avant de reprendre la parole : « C’est… compliqué. Je comprends un peu mieux les signes que ça arrive, mais je n’arrive pas à cibler précisément ce qui le cause. Ça dépend de tellement de choses. Certains jours je n’ai aucun souci à monter sur scène devant toute une foule pour jouer, alors que d’autres l’idée de sortir la moindre note devant quelqu’un me terrifie. » Il a un nouveau soupir avant de continuer : « Je crois que c’est juste mon cerveau qui est comme ça… et que l’anxiété fait partie de moi. ». Myr se blottit contre son épaule, toujours installée sur les bureaux. Einar tourne la tête vers elle et il peut lire dans le regard de la hase la fierté de l’entendre avouer ça, à un inconnu qui plus est ! Il lui adresse un petit sourire gêné avant de tourner de nouveau son attention vers le sorcier en face de lui. « Donc non, ce n'est pas la vue d'une feuille blanche à la bibliothèque, navré de te décevoir... » précise-t-il, laissant une pointe d'amusement pointer dans sa voix. « Et toi du coup ? Tu as l'habitude de stalker les gens et de les interroger à mort en espérant qu'iels t'en collent une ? ». Il lève un sourcil moqueur à la fin de sa question, essayant d'imiter le flegme de Dax.
Le plus âgé ne semble pas avoir de souci avec sa réaction, puisqu’il continue, visiblement amusé : « Je bosse en pédiatrie. Pas en psychomagie, au cas où c’était pas clair, malgré mes judicieuses et efficaces interventions. ». Un sourcil surpris se lève sur le visage d’Einar, teinté d’une pointe de perplexité moqueuse : ce type ? En pédiatrie ? Il a du mal à l’imaginer au contact d’enfants… Ou même de gens. Quoi que, il lui semble l’avoir vu traîner avec quelques personnes dans les couloirs de Durmstrang. Mais Dax ne lui semble clairement pas le genre de personne ouverte et sympathique qu’Einar visualise quand on lui parle de s’occuper d’enfants. Peut-être qu’il lui raconte n’importe quoi, juste pour l’agacer ? Il en serait bien capable. Mais un coup d’œil vers sa fylgia lui rappelle sa forme très… mignonne, il faut l’avouer. Et il repense à la façon dont le panda l’a tiré de sa panique, comme s’il était habitué à réagir à ce genre de choses… « Heureusement que t’es pas en psychomagie , commente-t-il enfin. Je pense que tes patients seraient super mécontents, vu ton incroyable tact. ». Il sourit presque malgré lui à la fin de sa remarque, tournant un peu la tête pour le masquer. Ça ne ferait probablement qu’encourager Dax à continuer à le chercher.
Dax continue : « Tu parviens à savoir ce qui provoque ça, ou c’est simplement la vue d’une feuille blanche dans la bibliothèque ? – Comme je disais : tact légendaire ! » marmonne Einar en direction de sa fylgia, qui agite les oreilles d’un air amusé. « La dernière partie de ma phrase était une plaisanterie, t’emballe pas. Quoique…J’aime bien quand tu t’emballes. Je ne t’en pensais pas capable. ». Il ne peut clairement pas s’empêcher de le provoquer donc. Einar roule des yeux avec exagération avant de pousser un long soupir. « Tu vas pas me lâcher avant de m’avoir totalement interrogé, hein ? » finit-il par lâcher en s’installant sur une des chaises, un léger sourire sur les lèvres. Il prend le temps de jauger le plus âgé, essayant de comprendre ce qu'il cherche à accomplir... en vain. Einar finit par détourner le regard avant de reprendre la parole : « C’est… compliqué. Je comprends un peu mieux les signes que ça arrive, mais je n’arrive pas à cibler précisément ce qui le cause. Ça dépend de tellement de choses. Certains jours je n’ai aucun souci à monter sur scène devant toute une foule pour jouer, alors que d’autres l’idée de sortir la moindre note devant quelqu’un me terrifie. » Il a un nouveau soupir avant de continuer : « Je crois que c’est juste mon cerveau qui est comme ça… et que l’anxiété fait partie de moi. ». Myr se blottit contre son épaule, toujours installée sur les bureaux. Einar tourne la tête vers elle et il peut lire dans le regard de la hase la fierté de l’entendre avouer ça, à un inconnu qui plus est ! Il lui adresse un petit sourire gêné avant de tourner de nouveau son attention vers le sorcier en face de lui. « Donc non, ce n'est pas la vue d'une feuille blanche à la bibliothèque, navré de te décevoir... » précise-t-il, laissant une pointe d'amusement pointer dans sa voix. « Et toi du coup ? Tu as l'habitude de stalker les gens et de les interroger à mort en espérant qu'iels t'en collent une ? ». Il lève un sourcil moqueur à la fin de sa question, essayant d'imiter le flegme de Dax.
MADE BY @ICE AND FIRE.
Dax Tcherkassov
hekseri
muggler
Gif :
Âge : 30 ans
Statut de sang : Né moldu
Statut civil : Célibataire
Occupation : Médicomage à l'hôpital Sindri Sjukhus en pédiatrie ; il est aussi fossoyeur au cimetière de Fòlkvang Vej le weekend (faut bien se divertir).
Fylgia : Panda roux et lori paresseux, prénommé Styx
Alignement : Autre
Allégeance : Trøbbel.
Pseudo : Cappuccino
Serment le : 04/08/2021
Parchemins : 678
Noises : 1240
Gallions : 3
TW : Violence physique et psychologique, mort
Double : Ben Nordberg
Crédits : oldmiserunt
Multi-comptes : Le con n.1 (Fred) et le con n.2 (Markus)
« Heureusement que t’es pas en psychomagie, commente-t-il enfin. Je pense que tes patients seraient super mécontents, vu ton incroyable tact. » La réplique m’arrache un léger sourire, que je ne cherche pas à camoufler. Mes iris s’éclairent brièvement d’une lueur malicieuse, alors qu’Einar tourne un peu la tête. Si j’avais été en psychomagie, j’aurais probablement été mis à la porte dès le premier jour – ou j’aurais servi moi-même d’objet d’analyse à un stagiaire un peu trop motivé. J’ai certains collègues, lors de mes deuxième année à l’hôpital, qui avaient organisé dans mon dos un pari sur le département que je choisirais pour faire ma carrière. J’avais suivi à distance les suppositions pas si secrètes de gens peu habitués à camoufler leur mépris, et j’avais découvert avec amusement leurs théories. La plupart pensaient que j’opterais pour l’étage des blessures par potions et poisons. Quelques-uns, tout aussi réalistes, avaient pariés sur la morgue. Ce qui n’est pas totalement con, en fait. Entre les vivants et les morts, je préfère sans hésiter ceux de la seconde catégorie. Ça n’empêche pas que j’appartiens à la première et que je suis encore sensible parfois, malgré moi, à la détresse de ceux qui m’entourent.
Je relance mes questions, mon sourire s'étirant davantage lorsque l'étudiant marmonne « Comme je disais : tact légendaire ! » en direction de sa fylgia. À quoi sert le tact, outre faire traîner certaines situations ? Je ne l’utilise qu’en contrat ou pour manipuler, jamais dans une conversation réelle et sincère. Ce n’est pas moi, tout simplement. Je reprends de nouveau la parole, observant celui qui roule exagérément des yeux puis puisse un long soupir. Ma présence provoque globalement des réactions variées, mais je dois admettre que je ne parviens pas toujours à exaspérer aussi rapidement quelqu’un, sans en avoir l’intention. « Tu vas pas me lâcher avant de m’avoir totalement interrogé, hein ? » Je ne vais pas le lâcher avant d’être certain qu’il va mieux, surtout. Le laisser en plan dans cette salle, seulement pour lui faire plaisir, sans trop savoir s’il va se taper une autre crise juste après…Je me soucie peut-être peu de ce que ressentent mes semblables, mais lorsque j’interviens, je ne le fais pas à moitié. Il s’assoit sur une chaise et je note son léger sourire, avant qu’il ne détourne le regard. « C’est… compliqué. Je comprends un peu mieux les signes que ça arrive, mais je n’arrive pas à cibler précisément ce qui le cause. Ça dépend de tellement de choses. Certains jours je n’ai aucun souci à monter sur scène devant toute une foule pour jouer, alors que d’autres l’idée de sortir la moindre note devant quelqu’un me terrifie. » Musicien. Est-ce que je connaissais cette information ? Probablement, mais elle ne m’a visiblement pas marqué. J’ai une vision positive des gens qui parviennent à jouer d’un instrument, même si j’en suis moi-même incapable : mon petit préférait qu’on apprenne à taper sur les gens que sur les touches d’un piano. « Je crois que c’est juste mon cerveau qui est comme ça… et que l’anxiété fait partie de moi. ». [/color] Je n’essaie même pas de prendre un air compatissant. J’entends ce qu’il me dit, mais ça n’éveille aucune compréhension chez moi. Je n’ai jamais vécu une telle chose et je ne peux que tenter d’imaginer ce que c’est, sans y parvenir très efficacement. Ce qu’on doit éprouver face à ça, je n’en connais que les notions théoriques et les signes cliniques, observables sur mes patients. La fylgia du type se blottit contre son épaule et j'asiste à leur échange de regards, les sourcils légèrement froncés avec intérêt, mais sans malice. Je ne comprends non, mais je sais que mettre des mots sur ce genre de problèmes n’est pas chose aisée. Certains refusent de le faire et mon travail est toujours plus complexe, lorsque je dois expliquer à des parents – avec mon tact légendaire - que le déni n’aide personne à avancer. « Donc non, ce n'est pas la vue d'une feuille blanche à la bibliothèque, navré de te décevoir... » Mes yeux se plissent légèrement sous l’amusement. Je ne suis pas déçu, non. Peut-être un peu rassuré, plutôt. Ce serait plutôt chiant, de devoir me taper fréquemment les implorations de ma fylgia, à chaque fois que je croise ce type à la bibliothèque. La pointe d’amusement ne m’échappe pas et je me demande s’il n’est pas, enfin, en train de se détendre. « Et toi du coup ? Tu as l'habitude de stalker les gens et de les interroger à mort en espérant qu'iels t'en collent une ? ». La réplique m’arrache un sourire plus large, qui sans être joyeux, éclaire mes traits. « J’espère toujours que les gens m’en collent une et j’adore stalker. » Ce qui est totalement vrai. C’est toujours plus divertissant lorsqu’il y a des coups à donner, lorsque toute la rage accumulée, toute la tension retenue, peut être évacuée. Je reprends d’une voix légèrement amusée : « Mais je n’ai pas l’habitude d’interroger les gens avec un réel intérêt, non. Je m’intéresse généralement peu à leurs réponses. » Sauf si je peux en tirer quelque chose. Sauf que ce n’est pas le cas, dans cette conversation. Je ne questionne pas pour apprendre des choses que je pourrais ensuite utiliser contre Einar, mais plutôt parce que les réponses m’intriguent réellement.
Le panda roux, de sa démarche trop joyeuse, me rejoint sur la table et se niche sur mes genoux. Provocateur, forcément. Je lui jette un regard de biais, me retenant pour ne pas rouler des yeux, avant de glisser machinalement ma main dans son pelage, sans réfléchir. La voix un peu moins neutre, mais pas entièrement chaleureuse, faut pas exagérer, je reprends : « T’es pas obligé de répondre à mes questions Einar. Je sais que je peux paraître rude – et je le suis. Mais je reste seulement pour m’assurer que tu seras ok…et pour te changer un peu les idées. » En lui rappelant précisément quel est son problème et en l’interrogeant sur le sujet. Une bonne méthode, vraiment. Mon sourire revient à la commissure de mes lèvres, alors que je rajoute : « L’agacement, ça fonctionne souvent bien. Et, je me demande vraiment pourquoi, je provoque souvent cette réaction chez les gens.» Je prends un air faussement perplexe, alors que mes doigts continuent de glisser dans la fourrure orangée. Ce type a un peu plus de mordant que ce que je supposais, avant de l’accompagner dans cette pièce. Et c’est une bonne chose. Je poursuis : « Tu prends des potion pour ton anxiété ou tu parviens généralement à te calmer seul ? » Ma voix s’est adoucie au mot qu’il a prononcé tout à l’heure. Je considère certaines choses comme des faiblesses, mais être en mesure de nommer devant un tier ce qui nous pourri la vie sera toujours pour moi du courage.
Einar Bråthen
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Âge : vingt-sept ans [18 janvier 1997]
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Statut civil : If it's never officially started, you don't have to worry about it ending : endless potential (S.L)
Occupation : Deuxième année de Chien à l’Institut des Langues (oups les redoublements). Fan de runes, bidouilleur de sorts, musicien invétéré et créatif anxieux.
Fylgia : Myr, une hase au pelage brun, qui se transforme parfois en harfang des neiges
Alignement : Autre
Allégeance : Skjerme à Durmstrang – En secret et depuis toujours, les Nornes, Urðr, Verðandi et Skuld
Particularité : devin
Pseudo : Floppy
Serment le : 23/11/2022
Parchemins : 638
Noises : 1109
Gallions : 4
TW : anxiété – crises d'angoisse – psychophobie
Double : Alex Høgh Andersen
Crédits : Ruby Rider (gif)
Multi-comptes : A brat (Siggy)
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Einar regarde son aîné avec un sourire qu’il ne parvient plus vraiment à retenir. Visiblement, Dax a l’air de bien s’amuser, et le jeune musicien commence à comprendre vaguement que plus il va le taquiner, plus l’autre va apprécier la situation. Pour une fois qu’il n’a pas à maintenir ses filtres en place, ça pourrait être amusant… s’il n’avait pas l’impression que Dax serait tout à fait capable de lui en coller une sans préavis au moindre pas de travers. « J’espère toujours que les gens m’en collent une et j’adore stalker. » lui répond d’ailleurs tranquillement son aîné « Mais je n’ai pas l’habitude d’interroger les gens avec un réel intérêt, non. Je m’intéresse généralement peu à leurs réponses. ». Einar lève un sourcil sceptique face à cette dernière remarque. Du peu qu’il arrive à décrypter de Dax, celui-ci lui semble retenir et rebondir sur ce qu’il lui raconte… Après, retenir ce que les gens disent et s’y intéresser sont deux choses distinctes, donc pourquoi pas… Et Einar ne prétend pas être quelqu’un de spécialement intéressant. Ni comprendre de manière intuitive n’importe quelle personne qui croise sa route. Quoi qu’il en soit, ce type reste donc un mystère pour lui.
Pendant que le jeune homme cogite une fois de plus sur le sujet, la fylgia de Dax le rejoint de sa démarche dandinante et s’installe sur ses genoux. Cela intrigue toujours Einar, de voir la forme que peuvent prendre ces créatures et le type de relation qui les lient à leur sorcier. Tout le monde ne s’entend pas forcément avec sa fylgia, tandis que certains sont très dépendants des leurs. En ce qui les concernent, passé les quelques mois d’ajustement, Myr et Einar s’entendent désormais plutôt bien et ont appris à se sentir à l’aise l’un avec l’autre, à former une petite équipe. Et la hase l’aide lors des crises les plus… importantes, en mémorisant et lui répétant les propos qu’il a pu tenir durant ses visions les plus fortes, celles lors desquelles il ne se souvient plus de rien. Puis elle essaie de les décrypter avec lui une fois qu’elle lui a tout raconté. Le jeune homme remarque que Dax semble hésiter un instant avant de toucher le panda. Ou peut-être qu’il s’imagine juste des choses.
Puis Dax reprend la parole, tirant le plus jeune de ses réflexions : « T’es pas obligé de répondre à mes questions Einar. Je sais que je peux paraître rude – et je le suis. Mais je reste seulement pour m’assurer que tu seras ok…et pour te changer un peu les idées. » Einar doit probablement mal dissimuler sa surprise, car il précise : « L’agacement, ça fonctionne souvent bien. Et, je me demande vraiment pourquoi, je provoque souvent cette réaction chez les gens. » Sa mimique faussement perplexe à ces mots arrache un petit rire à Einar. « Aucune idée, réellement ? » parvient-il à répondre avant de l’imiter : « Monsieur ‘’J’espère toujours que les gens m’en collent une et j’adore stalker’’. Je ne vois pas du tout ce qui pourrait agacer les gens. » Il le taquine mais il réalise aussi que le sorcier n’a pas tort : depuis le début de leur échange, la panique a reflué petit à petit, pour laisser place à tout un panel d’autres émotions –frustration, agacement, fatigue, et enfin amusement… En tout cas, plus de trace d’anxiété pour le moment. Si son but était réellement de lui changer les idées, la confusion que sa personnalité très étrange a créée dans l’esprit d’Einar atteste de sa réussite ! « Mais j’avoue qu’étrangement, ça va mieux. Merci pour ça. » souffle-t-il timidement. Il devrait se sentir un peu plus gêné d’avoir été une fois de plus surpris par un parfait inconnu en pleine panique, mais pour l’instant il n’est pas mortifié. Est-ce que ça compte comme un progrès ? se demande-t-il distraitement.
Dax le tire de ses pensées une fois de plus : « Tu prends des potions pour ton anxiété ou tu parviens généralement à te calmer seul ? ». Einar se mâchonne l’intérieur de la joue, considérant la question, avant de marmonner : « Non, je suis pas terrible en potion et certains des effets secondaires… Enfin disons que je limite au maximum. Donc généralement, je me débrouille tout seul. » Il n’ose pas parler du coût de ces potions, ni du fait qu’il préfère clairement acheter du matériel créatif avec cet argent que des potions qui l’assomment à moitié. « Après, pour être honnête, c’est plus simple depuis que Myr est apparue, confie-t-il avec un sourire vers sa fylgia. Et mes ami·e·s savent et sont habitué·e·s à m’aider si ça m’arrive en public. Je suis bien entouré» conclue-t-il avec un sourire vers Dax.
Pendant que le jeune homme cogite une fois de plus sur le sujet, la fylgia de Dax le rejoint de sa démarche dandinante et s’installe sur ses genoux. Cela intrigue toujours Einar, de voir la forme que peuvent prendre ces créatures et le type de relation qui les lient à leur sorcier. Tout le monde ne s’entend pas forcément avec sa fylgia, tandis que certains sont très dépendants des leurs. En ce qui les concernent, passé les quelques mois d’ajustement, Myr et Einar s’entendent désormais plutôt bien et ont appris à se sentir à l’aise l’un avec l’autre, à former une petite équipe. Et la hase l’aide lors des crises les plus… importantes, en mémorisant et lui répétant les propos qu’il a pu tenir durant ses visions les plus fortes, celles lors desquelles il ne se souvient plus de rien. Puis elle essaie de les décrypter avec lui une fois qu’elle lui a tout raconté. Le jeune homme remarque que Dax semble hésiter un instant avant de toucher le panda. Ou peut-être qu’il s’imagine juste des choses.
Puis Dax reprend la parole, tirant le plus jeune de ses réflexions : « T’es pas obligé de répondre à mes questions Einar. Je sais que je peux paraître rude – et je le suis. Mais je reste seulement pour m’assurer que tu seras ok…et pour te changer un peu les idées. » Einar doit probablement mal dissimuler sa surprise, car il précise : « L’agacement, ça fonctionne souvent bien. Et, je me demande vraiment pourquoi, je provoque souvent cette réaction chez les gens. » Sa mimique faussement perplexe à ces mots arrache un petit rire à Einar. « Aucune idée, réellement ? » parvient-il à répondre avant de l’imiter : « Monsieur ‘’J’espère toujours que les gens m’en collent une et j’adore stalker’’. Je ne vois pas du tout ce qui pourrait agacer les gens. » Il le taquine mais il réalise aussi que le sorcier n’a pas tort : depuis le début de leur échange, la panique a reflué petit à petit, pour laisser place à tout un panel d’autres émotions –frustration, agacement, fatigue, et enfin amusement… En tout cas, plus de trace d’anxiété pour le moment. Si son but était réellement de lui changer les idées, la confusion que sa personnalité très étrange a créée dans l’esprit d’Einar atteste de sa réussite ! « Mais j’avoue qu’étrangement, ça va mieux. Merci pour ça. » souffle-t-il timidement. Il devrait se sentir un peu plus gêné d’avoir été une fois de plus surpris par un parfait inconnu en pleine panique, mais pour l’instant il n’est pas mortifié. Est-ce que ça compte comme un progrès ? se demande-t-il distraitement.
Dax le tire de ses pensées une fois de plus : « Tu prends des potions pour ton anxiété ou tu parviens généralement à te calmer seul ? ». Einar se mâchonne l’intérieur de la joue, considérant la question, avant de marmonner : « Non, je suis pas terrible en potion et certains des effets secondaires… Enfin disons que je limite au maximum. Donc généralement, je me débrouille tout seul. » Il n’ose pas parler du coût de ces potions, ni du fait qu’il préfère clairement acheter du matériel créatif avec cet argent que des potions qui l’assomment à moitié. « Après, pour être honnête, c’est plus simple depuis que Myr est apparue, confie-t-il avec un sourire vers sa fylgia. Et mes ami·e·s savent et sont habitué·e·s à m’aider si ça m’arrive en public. Je suis bien entouré» conclue-t-il avec un sourire vers Dax.
MADE BY @ICE AND FIRE.
Dax Tcherkassov
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Gif :
Âge : 30 ans
Statut de sang : Né moldu
Statut civil : Célibataire
Occupation : Médicomage à l'hôpital Sindri Sjukhus en pédiatrie ; il est aussi fossoyeur au cimetière de Fòlkvang Vej le weekend (faut bien se divertir).
Fylgia : Panda roux et lori paresseux, prénommé Styx
Alignement : Autre
Allégeance : Trøbbel.
Pseudo : Cappuccino
Serment le : 04/08/2021
Parchemins : 678
Noises : 1240
Gallions : 3
TW : Violence physique et psychologique, mort
Double : Ben Nordberg
Crédits : oldmiserunt
Multi-comptes : Le con n.1 (Fred) et le con n.2 (Markus)
C’est plutôt cool, de le voir rire. Pas que je me soucie de son humeur ; mais c’est quand même mieux que son état initial, lorsque je suis entré dans cette pièce. « Aucune idée, réellement ? » Je souris, sincèrement amusé. « Monsieur ‘’J’espère toujours que les gens m’en collent une et j’adore stalker’’. Je ne vois pas du tout ce qui pourrait agacer les gens. » La répartie est bien trouvée et m’arrache un léger ricanement. Ce qui agace les gens généralement, ce sont principalement mes répliques, mon absence de tact et ma compassion très limitée. Je suis très loin de m’en soucier : au moins, lorsqu’ils sont emmerdés par ma présence, les gens ne sont globalement pas trop chiants et se limitent dans leur bavardage. Ça s’applique moins auprès de ceux avec qui je joue un rôle. Dans les réceptions ou dans les rues, lorsqu’on m’engage, j’arbore facilement le masque du jeune homme affable et charismatique. Le temps d’une soirée ou de quelques heures, seulement. Parce qu’au-delà de ça, je manque généralement de patience et j’en viens à être rapidement tenté d’enfermer quelques personnes dans des placards.
« Mais j’avoue qu’étrangement, ça va mieux. Merci pour ça. » J’hausse les épaules, l’air de dire que ce n’est rien. Et ce n’est rien. Je ne suis pas un bon samaritain qui espère avoir des remerciements ou qui veut se prouver qu’il est altruiste. Je n’étais pas non plus plongé dans une compassion qui me dépasse et me fait ressentir les mêmes choses que lui. C’était simplement pas envisageable, de le voir ainsi, sans rien faire. Et puis, je n’avais rien de mieux à l’horaire. Je reprends la parole pour lui demander s’il prend une médication, attendant sa réponse en plongeant toujours distraitement ma main dans le pelage de Styx. Il marmonne : « Non, je suis pas terrible en potion et certains des effets secondaires… Enfin disons que je limite au maximum. Donc généralement, je me débrouille tout seul. » Je fronce les sourcils, alors qu’une idée germe aussitôt dans mon esprit. Je râlerais presque contre ma conscience, si je n’avais pas assez d’introspection pour comprendre que ce sera probablement toujours plus fort que moi, dans ce genre de situation. Ce n’est pas que je veux vraiment l’aider ; c’est seulement que j’adore faire des potions. Du moins, c’est l’excuse que je me donne –mon incroyable introspection et mon immense orgueil me camoufle les vraies raisons. « Après, pour être honnête, c’est plus simple depuis que Myr est apparue. Et mes ami·e·s savent et sont habitué·e·s à m’aider si ça m’arrive en public. Je suis bien entouré» Myr. Mes yeux s’égarent vers sa fylgia, qui me semble tout aussi pacifique que la mienne. De fait, Styx est plutôt…Joueuse, en fait. Et taquine. Je ne l’ai vue agressive que sous sa forme de paresseux. J’hoche la tête dans un signe de compréhension, répliquant : « Paraît qu’avoir un bon entourage c’est pratique. » Mais je ne connais que la théorie sur le sujet. Tous les bouquins que j’ai dû me coltiner sur la santé psychologique et les méthodes d’intervention parlaient de l’importance d’un réseau de soutien. Auprès de mes patients, au-delà des blessures, c’est l’une des principale chose qui est vérifiée. Oui, c’est primordial, il paraît. Personnellement, je me suis toujours débrouillé entièrement seul. Je ne compte sur personne, et ça ne changera pas. Je n’ai confiance qu’en moi et en ma sœur.
Mes yeux cherchent les siens, alors que mon sourire disparaît. Mes traits redeviennent plus sérieux, tandis que je poursuis d’une voix neutre : « Je suis plutôt doué en potion. La majorité de mon équipement est à mon appartement à Göteborg, mais j’y dors souvent à cause de mes stages. Si tu veux que je te concocte un truc…J’suis certain que je te pourrais te trouver une décoction aux effets secondaires plus limités, et qu’au moins t’aurais avec toi, si jamais tu en as besoin. » Une proposition banale. Je ne dis jamais non à un défi…Et je ne me voyais pas ne pas lui proposer. Mon sourire revient, mi-espiègle, alors que je rajoute avec un clin d’œil : « Je te suivrai pas toujours dans des pièces vides. » Et une potion est sûrement plus efficace que le battement de queue d’un panda. Ceci dit, sur le sujet, je ne suis pas objectif. J’aime trop faire des mélanges et les expérimenter et s’il existe quelque chose pour ne pas souffrir, que ce soit mentalement ou physiquement, je ne vois pas l’intérêt de ne pas le prendre. Mon superviseur a d’ailleurs tenté un jour de changer mon opinion sur le sujet, sans grand succès. Il s’est pris un c’est con en guise de réponse, qui ne lui a pas beaucoup plu. Je reprends, les yeux plus taquins : « Et pas besoin de me remercier. Énerver les gens, je fais ça gratuitement. » Du moins, en règle générale. Parfois, je les fais payer, mais ça dépend du contexte et de qui me fait signer le contrat. Styx quitte mes genoux pour sauter sur le sol, tandis que je demande : « Plus sérieusement…C’est bien, que ça aille mieux. Est-ce que y’a des risques que la crise reprenne plus tard aujourd’hui ou normalement ça ira ? » J’imagine qu’il aura le temps d’aller rejoindre ses amis, en cas de problème. Ou peut-être que la perspective de potentiellement devoir se taper un autre moment avec moi le calmera.
Einar Bråthen
hekseri
muggler
Gif :
Âge : vingt-sept ans [18 janvier 1997]
Statut de sang : Mêlé
Statut civil : If it's never officially started, you don't have to worry about it ending : endless potential (S.L)
Occupation : Deuxième année de Chien à l’Institut des Langues (oups les redoublements). Fan de runes, bidouilleur de sorts, musicien invétéré et créatif anxieux.
Fylgia : Myr, une hase au pelage brun, qui se transforme parfois en harfang des neiges
Alignement : Autre
Allégeance : Skjerme à Durmstrang – En secret et depuis toujours, les Nornes, Urðr, Verðandi et Skuld
Particularité : devin
Pseudo : Floppy
Serment le : 23/11/2022
Parchemins : 638
Noises : 1109
Gallions : 4
TW : anxiété – crises d'angoisse – psychophobie
Double : Alex Høgh Andersen
Crédits : Ruby Rider (gif)
Multi-comptes : A brat (Siggy)
Fear is how I fall Confusing what is real There's something inside me that pulls beneath the surface Confusing This lack of self-control I fear is never-ending
C
RAWLING
IN
MY
SKIN
IN
MY
SKIN
C'est très étrange de se retrouver à rire dans une salle de cours vide en compagnie de Dax Tcherkassov. Absurde, étrange, mais pas déplaisant, songe Einar en regardant le sorcier ricaner à sa répartie bien placée. D'autant plus qu'il est sincère : Dax l'a bien aidé sur le coup et il se sent mieux –épuisé, mais mieux. Et il a comme l'impression que les barrières s'abaissent des deux côtés. En tout cas pour lui, cela devient plus facile de s'ouvrir au sujet des potions, de ses crises et de ses proches. Face à lui, Dax semble assez ouvert aussi, puisqu'il hoche simplement la tête en répondant : « Paraît qu’avoir un bon entourage c’est pratique. ». Einar hoche la tête à son tour et un petit silence s'installe entre eux tandis qu'ils méditent à cette phrase, l'ayant probablement tous les deux entendue durant leurs recherches sur le sujet.
Lorsqu'Einar relève la tête, il croise le regard du jeune homme, dont le visage semble avoir repris son sérieux tandis qu'il reprend d'un ton neutre et contrôlé : « Je suis plutôt doué en potion. La majorité de mon équipement est à mon appartement à Göteborg, mais j’y dors souvent à cause de mes stages. Si tu veux que je te concocte un truc… J’suis certain que je te pourrais te trouver une décoction aux effets secondaires plus limités, et qu’au moins t’aurais avec toi, si jamais tu en as besoin. » La proposition le laisse surpris, bouche légèrement entrouverte, tandis qu'il essaie d'assimiler ce qu'on vient de lui proposer. Peut-être qu'il s'est cogné la tête au début de sa crise et qu'il est en train de rêver ? Ou peut-être qu'il s'est fait de fausses idées sur la personne en face de lui. Quoi qu'il en soit, il a du mal à savoir comment répondre, et avant qu'il ne reprenne contrôle de son visage Dax ajoute avec un clin d’œil : « Je te suivrai pas toujours dans des pièces vides. ».
Oh, il reconnaît cette attitude, il la connaît trop bien : une petite blague bien placée et hop, la gravité du moment semble disparaître. Semble seulement. Que c'est étrange de repérer une habitude si ancrée dans ses habitudes chez quelqu'un d'autres. Comme quoi... Presque malgré lui, il répond du tac au tac sur le même ton : « J'espère pas, tu pourrais avoir des problèmes à force ! ». Il laisse échapper un sourire en coin avant de se forcer à reprendre son sérieux tandis qu'il réfléchit à toute vitesse. Depuis le début de leur interaction, tout semble absurde mais... peut-être qu'ils se sont pas si différents au fond. Enfin, très au fond. Peut-être juste quelques traits communs. Mais quoi qu'il en soit, Dax semble sincère et n'a fait rien d'autre que l'aider depuis qu'il s'est imposé dans la salle de cours. Alors... pouvoir profiter de cette aide un peu plus... D'autant plus que cette aide vient de quelqu'un qui risque d'en faire un jour sa carrière... Autant se lancer !
« Franchement... Je ne vais pas mentir, ça m'intéresse. Wow, je suis en train d'accepter de jouer au cobaye pour tester des potions, impressionnant, souffle-t-il avant de relever la tête vers Dax. Mais si tu m'empoisonnes, j'ai des ami·e·s qui te traqueront pour te le faire regretter, laisse moi te prévenir ! » Il rit pour dédramatiser la situation (décidément, il ne peut pas s'en empêcher!), mais il a du mal à cacher sa reconnaissance et le fait qu'il est profondément touché par la proposition. Dax doit le percevoir, peut-être remarquer le rouge qui lui est monté aux joues, car il le coupe alors qu'Einar allait reprendre la parole : « Et pas besoin de me remercier. Énerver les gens, je fais ça gratuitement. ». Cela arrache un nouveau rire à Einar qui lui sourit, essayant de faire passer ses remerciements de manière non verbale. « D'accord... Si jamais tu as besoin d'un truc, tu me diras ? Des... notes d'expériences, ou des retours sur les potions, euh... une amulette fait main en guise de remerciement ? Un album dédicacé ? L'âme d'une personne sans défense ? Je ne sais pas trop quoi proposer, avoue-t-il avec un rire nerveux avant de reprendre plus sérieusement : mais sincèrement... c'est vraiment cool comme proposition. ». A ses côtés, Myr semble ravie qu'il accepte cette aide, bien qu'elle garde le silence, et il la caresse à nouveau mécaniquement, cherchant à reprendre contenance.
La fylgia de Dax saute au sol, attirant son attention alors que le sorcier reprend la parole : « Plus sérieusement…C’est bien, que ça aille mieux. Est-ce que y’a des risques que la crise reprenne plus tard aujourd’hui ou normalement ça ira ? » Einar prend quelques instants pour essayer de décrypter ce qu'il ressent avant de répondre posément : « Je crois que c'est bon... Je suis crevé, clairement je ne ferai plus grand chose de ma journée, mais normalement avec du repos ça devrait le faire. ». Il relève la tête vers Dax et sourit à nouveau : « Désolé de t'avoir arraché à tes révisions, je pense que tu vas pouvoir y retourner, je devrais arriver à mon dortoir en une seule pièce, t'en fais pas. Et... Tout aussi absurde qu'ait été ce moment... C'était sympa. Rassure-toi ceci dit, je ne dirai à personne que tu es quelqu'un de cool pour ne pas nuire à ton image de bad boy ténébreux » ajoute-t-il d'un ton taquin avant de tirer la langue.
Lorsqu'Einar relève la tête, il croise le regard du jeune homme, dont le visage semble avoir repris son sérieux tandis qu'il reprend d'un ton neutre et contrôlé : « Je suis plutôt doué en potion. La majorité de mon équipement est à mon appartement à Göteborg, mais j’y dors souvent à cause de mes stages. Si tu veux que je te concocte un truc… J’suis certain que je te pourrais te trouver une décoction aux effets secondaires plus limités, et qu’au moins t’aurais avec toi, si jamais tu en as besoin. » La proposition le laisse surpris, bouche légèrement entrouverte, tandis qu'il essaie d'assimiler ce qu'on vient de lui proposer. Peut-être qu'il s'est cogné la tête au début de sa crise et qu'il est en train de rêver ? Ou peut-être qu'il s'est fait de fausses idées sur la personne en face de lui. Quoi qu'il en soit, il a du mal à savoir comment répondre, et avant qu'il ne reprenne contrôle de son visage Dax ajoute avec un clin d’œil : « Je te suivrai pas toujours dans des pièces vides. ».
Oh, il reconnaît cette attitude, il la connaît trop bien : une petite blague bien placée et hop, la gravité du moment semble disparaître. Semble seulement. Que c'est étrange de repérer une habitude si ancrée dans ses habitudes chez quelqu'un d'autres. Comme quoi... Presque malgré lui, il répond du tac au tac sur le même ton : « J'espère pas, tu pourrais avoir des problèmes à force ! ». Il laisse échapper un sourire en coin avant de se forcer à reprendre son sérieux tandis qu'il réfléchit à toute vitesse. Depuis le début de leur interaction, tout semble absurde mais... peut-être qu'ils se sont pas si différents au fond. Enfin, très au fond. Peut-être juste quelques traits communs. Mais quoi qu'il en soit, Dax semble sincère et n'a fait rien d'autre que l'aider depuis qu'il s'est imposé dans la salle de cours. Alors... pouvoir profiter de cette aide un peu plus... D'autant plus que cette aide vient de quelqu'un qui risque d'en faire un jour sa carrière... Autant se lancer !
« Franchement... Je ne vais pas mentir, ça m'intéresse. Wow, je suis en train d'accepter de jouer au cobaye pour tester des potions, impressionnant, souffle-t-il avant de relever la tête vers Dax. Mais si tu m'empoisonnes, j'ai des ami·e·s qui te traqueront pour te le faire regretter, laisse moi te prévenir ! » Il rit pour dédramatiser la situation (décidément, il ne peut pas s'en empêcher!), mais il a du mal à cacher sa reconnaissance et le fait qu'il est profondément touché par la proposition. Dax doit le percevoir, peut-être remarquer le rouge qui lui est monté aux joues, car il le coupe alors qu'Einar allait reprendre la parole : « Et pas besoin de me remercier. Énerver les gens, je fais ça gratuitement. ». Cela arrache un nouveau rire à Einar qui lui sourit, essayant de faire passer ses remerciements de manière non verbale. « D'accord... Si jamais tu as besoin d'un truc, tu me diras ? Des... notes d'expériences, ou des retours sur les potions, euh... une amulette fait main en guise de remerciement ? Un album dédicacé ? L'âme d'une personne sans défense ? Je ne sais pas trop quoi proposer, avoue-t-il avec un rire nerveux avant de reprendre plus sérieusement : mais sincèrement... c'est vraiment cool comme proposition. ». A ses côtés, Myr semble ravie qu'il accepte cette aide, bien qu'elle garde le silence, et il la caresse à nouveau mécaniquement, cherchant à reprendre contenance.
La fylgia de Dax saute au sol, attirant son attention alors que le sorcier reprend la parole : « Plus sérieusement…C’est bien, que ça aille mieux. Est-ce que y’a des risques que la crise reprenne plus tard aujourd’hui ou normalement ça ira ? » Einar prend quelques instants pour essayer de décrypter ce qu'il ressent avant de répondre posément : « Je crois que c'est bon... Je suis crevé, clairement je ne ferai plus grand chose de ma journée, mais normalement avec du repos ça devrait le faire. ». Il relève la tête vers Dax et sourit à nouveau : « Désolé de t'avoir arraché à tes révisions, je pense que tu vas pouvoir y retourner, je devrais arriver à mon dortoir en une seule pièce, t'en fais pas. Et... Tout aussi absurde qu'ait été ce moment... C'était sympa. Rassure-toi ceci dit, je ne dirai à personne que tu es quelqu'un de cool pour ne pas nuire à ton image de bad boy ténébreux » ajoute-t-il d'un ton taquin avant de tirer la langue.
MADE BY @ICE AND FIRE.
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