déité Brunhilde, déesse guerrière Origines Scandinavie Résidence Fólcvígviðr Blason Raido, la cinquième rune du futhark (ᚱ), sur fond blanc et acier Statut social et financier contestataires, agitateurs, modestes Statut du sang mêlé Clan à Durmstrang associé à Styrke Familles alliées Hammarskjöld, Blomgren Familles rivales Falkenberg, Hjermstad, Forslöf Don occlumencie (prédispositions aléatoires) Alignement possiblement Sans-Nom crédits images vocivus

Il n’y a pas d’hypocrisie chez les Brynjolf. Pas de faux semblant, pas de langue de bois. Iels ont des valeurs, iels ont des idéaux, et iels ne reculent devant rien pour les proclamer haut et fort, sans jamais avoir peur des répercussions. Famille mêlée depuis de nombreuses générations, iels considèrent la pureté du sang des sorciers comme une pratique ancestrale qu’il faut cesser de promouvoir et accueillent avec un esprit ouvert la possibilité d’un jour vivre en communion avec le monde moldu. Activistes dans l’âme, militant.e.s jusqu’au bout, on catégorise souvent les personnes de cette famille comme des guerrier.e.s de la justice sociale, des extrémistes de la bien-pensance. Néanmoins, iels n’ont que faire de ce que peuvent penser les autres à leur sujet. Iels aiment créer le débat, iels aiment attiser la foule, iels aiment agiter les mœurs, et iels n’ont d’intolérance qu’envers l’intolérance même. On dit que leurs cris de guerres résonnent jusque dans le monde moldu où, iels n’hésitent pas à murmurer des encouragements pour les revendications sociales des minorités de ce monde.

Leur soif de justice sociale n’est pourtant pas née de la dernière pluie. Depuis des décennies, depuis des siècles même, iels ont eu pour habitude d’adopter en secret des enfants né-moldu.e.s pour leur donner la chance d’étudier à Durmstrang, à l’époque où ces dernier.e.s n’étaient pas admis.e.s. Comme une ode à leur ancêtre Brunhilde dont les légendes racontent qu’elle était elle-même né-moldue, iels prennent sous leurs ailes ces sorcier.e.s rejeté.e.s par la société avant qu’iels n’aient eu l’occasion de faire leur preuve, et leur inculque des valeurs de tolérance et d’engagement. Et si ce secret a pu en rester un pendant des siècles, le monde sorcier a finalement eu vent de ce subterfuge lorsque les né-moldu.e.s ont commencé à être accepté.e.s à Durmstrang. Leur constante opposition à l’ordre et à la loi leur vaut d’avoir des ennuis avec la justice de façon quasi permanente. Iels ont un feu ardent qui brûlent en eux et motive chacune de leurs actions, à l’image des dragons qu’iels élèvent dans le centre du pays, sur les terres qu’iels gouvernent. Iels considèrent d’ailleurs cette espèce comme partie intégrante de leur communauté et n’ont pas pour vocation de les vendre ou d’en faire un marché. Contrairement aux apparences, leur élevage ressemble plutôt à un refuge pour dragons qu’iels soignent et accompagnent jusqu’à la fin de leur vie, pour s’opposer au commerce de peau de dragons qui menace cette espèce.

Dans cette famille, la succession ne se fait pas selon l’ordre de naissance mais ce sont bel et bien les femmes qui prennent le pouvoir, peu importe qu’elles aient ou non un grand frère. Iels ne se marient pas par alliance ou par intérêt – et d’ailleurs, iels n’ont que très peu d’intérêt à servir si ce n’est ceux de la communauté au sens large. Leur intégrité et franc-parler leur a valu de se faire de nombreu.se.s ennemi.e.s au sein de la communauté sorcière et, s’iels acceptent à contre cœur de s’allier à certaines familles qui partagent leurs idéaux sans pour autant accepter de perdre la pureté de leur sang, iels n’hésitent tout de même pas à pointer cette hypocrisie de temps en temps. Eternel.le.s incorruptibles, c’est sans surprise que plusieurs membres de cette famille ont développé un don pour l’occlumencie, se préservant ainsi de se faire manipuler par des personnes mal intentionnées. C’est un don qu’iels ont hérité de leur déesse-mère qui a su l’utiliser à son avantage pour se créer une place dans le royaume, et c’est également un héritage qui a permis les générations suivantes à garder secret leurs affronts envers la loi.

déité Freyja, déesse de la guerre et de la sagesse Origines Scandinavie Résidence Nāthæskjǫldr Blason Fehu, la première rune du futhark (ᚠ), sur fond rose et bleu pâle Statut social et financier famille royale, respecté.e.s, aisé.e.s Statut du sang pur Clan à Durmstrang associé à Skjerme Familles alliées Adelsköld, Forslöf, Blomgren, Falkenberg Familles rivales Amundsen, Hjermstad Don dyreånd (gène aléatoire) Alignement majoritairement Pro-Régence crédits images vocivus

Certain.e.s disent que les Baardsen tiennent la balance de la Justice entre leurs mains et que c’est pour cela qu’iels ont accédé deux fois à la couronne au cours de l’histoire magique scandinave.

En effet, iels sont la famille royale actuelle et leur héritier, le Roi Eindride IV, est monté sur le trône en 1998 suite à la révolte, prenant ainsi la couronne à la famille Amundsen. A l’origine de la loi reconnaissant les né-moldu.e.s et mettant fin aux discordes dans tout le royaume, les Baardsen sont vu comme une famille juste, mesurée et raisonnable, à l’image de leur ancêtre Freyja. Iels font partie de ces personnes dont on ne peut déceler les véritables émotions et opinions derrière leurs expressions faciales neutres ; iels ne laissent rien paraître hormis ce qui leur semble être le plus équitable. Il n’est pas rare qu’iels parviennent à trouver des compromis durant des querelles opposants deux familles ; les membres de cette famille sont de grands penseurs, bien loin de l’impulsivité de certains autres clans et cela fait d’elleux des personnes extrêmement respecté.e.s dans tout le royaume. Chaque décision est réfléchie, pensée ; grand.e.s pragmatiques, iels n’ont cependant pas encore arrêté d’opinion précise concernant les nés-moldu.e.s ; bien qu’iels éditent des lois en leur faveur, l’évolution de la société semble stagner selon la plupart. Beaucoup murmurent qu’iels n’ont accordé la reconnaissance des nés-moldu.e.s simplement pour que la paix règne de nouveau dans le Royaume. Et c’est sans doute la vérité.

Si la famille proche du Roi Eindride IV réside au palais royal, situé dans le Danemark moldu, iels possèdent comme territoire Nāthæskjǫldr. Iels exploitent les ressources de leurs sols, mais iels ont une vocation dans la Justice et les membres de cette famille deviennent bien souvent avocats ou juge.

On dit d’elleux qu’iels sont des Dyreånd ; iels possèdent la faculté d’entrer dans l’esprit d’un animal et percevoir le monde à travers ses sens, tout en aillant la capacité de le contrôler. Ce don se manifeste chez certain.e.s de ses membres autour de l’âge de huit ans et c’est pour cela qu’à cet anniversaire, les enfants Baardsen reçoivent un chaton qui deviendra leur partenaire félin, une tradition qui remonte à Thor qui en avait offert à Freyja il y avait des siècles de cela. Le Roi Eindride est un Dyreånd, reconnu publiquement et c’est pour cela qu’on dit qu'on ne peut lui mentir, puisqu’il a toujours un oeil partout dans le royaume.

L'Héritier.e des Baardsen est choisi.e selon son talent en tant que Dyreånd, via des cérémonies où les membres de la jeune génération concourent et démontrent leurs capacités. Ces cérémonies peuvent être organisées à plusieurs occasions : lorsque le Järl l'ordonne, lorsque l'Héritier.e actuel.le décède ou se retire, lorsque la majorité des personnes majeures le réclame, ou bien lorsqu'un.e Baardsen ayant le don atteint l'âge de 16 ans.

Note: Sur le forum, afin de nous laisser plus de liberté quant aux intrigues menées, il ne sera pas possible de jouer des membres de la famille nucléaire du Roi Eindride IV, âgé d’une soixantaine d’années. Néanmoins, il sera tout à fait possible de jouer d’autres personnes, telles que ses frères et sœurs, ses neveux et ses nièces. Celleux-ci résident non pas dans le palais royal mais sur le territoire des Baardsen, Nāthæskjǫldr.

déité Sif, déesse de la terre et de la fertilité Origines Scandinavie et Liban Résidence Anganrjóðr Blason Jera, la douzième rune du futhark (ᛃ), sur fond argent et bordeau Statut social et financier controversé.e.s, révolutionnaires, modestes Statut du sang pur, quoique vélanes Clan à Durmstrang associé à Skjerme Familles alliées Brynjolf, Hammarskjöld, Adelsköld, Baardsen Familles rivales Falkenberg, Hjermstad, Forslöf, Mørk Malédiction demi-vélanes (gène aléatoire) Alignement possiblement Sans-Nom crédits images vocivus

Certains disent qu’ils sont révolutionnaires, d’autres, plus conservateurs, emploient le mot d’extrémistes. Toujours est-il que les Blomgren n’approuvent plus le régime politique en place au sein de la Scandinavie magique et cela ne plait pas, à bien des égards ; en effet, iels aspirent à la fin de la monarchie, à la fin du système noble et de ses grands clans. A l’origine de leur propre parti politique prônant leurs valeurs républicaines, largement inspiré.e.s par la grande famille libanaise à laquelle iels se sont allié.e.s et avec qui iels entretiennent des relations privilégiées, iels défendent les droits des né-moldu.e.s avec ferveur et s’impliquent dans la vie politique plus populaire.

Iels résident à sur le territoire Anganrjóðr dans lequel iels ont mis en place un système de représentation de chacun.e de ses résident.e.s et ont dédié leur activité à la culture de céréales. Leur territoire est, quant à lui, constitué d’imposante plaines et de grandes étendues de champs, où des villages, parfois exclusivement sorciers, s’éparpillent à l’horizon. Iels ne cherchent pas la reconnaissance ni l’admiration ; l’aspiration de leur famille se tourne vers l’égalité de tous et la restructuration complète du système scandinave et les enfants sont élevés avec ces mêmes valeurs. Chacun.e apprend à donner son opinion tant que celle-ci est réfléchie et raisonnée ; d’une très grande tolérance, ils étaient les pionniers concernant l’acceptation, le respect et la reconnaissance des minorités.

Descendant.e.s de Sif, vélane, les Blomgren ont bien longtemps été ignoré.e.s par leurs congénères qui considéraient qu’iels n’avaient sans doute pas d’opinions valables. Considéré.e.s très longtemps comme d’incroyablement belles personnes sans grand intellect de par d’anciens grands préjugés, iels s’affirment aujourd’hui haut et fort et n’hésitent pas à remettre à sa place quiconque porterait un jugement de valeur sur la réputation ancestrale de leur famille.  Néanmoins, de par les gènes de leur ancêtre, certain.e.s d’entre elleux naissent demi-vélane, et cette malédiction familiale les empêche de trouver l’âme soeur ; en effet, nombreuses sont les personnes attirées par leur beauté mais aucune d’entre elles ne semblent les aimer pour leur personnalité. Les membres touchés par cette affliction réussissent pour la plupart à perpétuer le nom de leur famille mais finissent seuls.

Famille hétéroclite, dans laquelle chacun.e a l’occasion de s’affirmer tout en étant respecté, les Blomgren souhaitent donner à la Scandinavie une seconde chance, plus juste, plus équitable.