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poison dropping on my skin (shandar)
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Ásvaldr Baardsen
Ásvaldr Baardsen
LÆRERTEAM Den som talar mycket säger sällan vad som är bra
Ásvaldr a du mal à se concentrer, ces derniers temps. Depuis l'équinoxe, il sent l'anxiété lui enserrer le cœur, comme elle ne l'avait pas fait depuis des années. Il a l'impression qu'à chaque coin de couloir, il pourrait tomber sur quelqu'un qui sait. Ces derniers temps, les actions des enfants de Völuspá ce sont accélérées d'une façon qu'il n'avait pas réellement anticipée. Et il ne sait pas trop ce qu'il ressent à ce sujet. Ou plutôt, il sait qu'il n'est pas aussi exalté qu'il devrait l'être. Qu'il ne partage pas l'impatience et l'excitation de ses... collègues. Mais il sait également qu'il n'a pas d'autres choix que de poursuivre la mission qu'on lui a confié. Un soupir lui échappe, et il souffle la fumée de sa cigarette à l'extérieur. Il ne peut qu'observer et entendre la cascade gigantesque qui entoure Durmstrang. La vue sur le lac n'est pas si mal, mais pour une fois, les forêts du domaine familial lui manquent. Il n'a pas encore vraiment conscience d'avoir fait une bêtise. Une énorme bêtise dans laquelle il peut désormais difficilement s'extirper. Non, il ne ressent pour le moment qu'un vague inconfort. Le souvenir de la soirée repasse en boucle dans sa tête. Ce qu'il vit probablement le moins bien, c'est leur fuite, le fait de devoir échapper aux autorités, de devoir se cacher. Ásvaldr n'a certainement pas été élevé en ayant appris à craindre la police ou à devoir s'effacer face à elle. Il n'a jamais eu à se cacher, jamais eu à regretter légalement ses agissements. Jusqu'à cette nuit-là. Il a le sentiment depuis de n'être qu'un vulgaire criminel. Il essaye de se persuader que les agissements de son groupe n'ont rien de répréhensibles. Qu'ils seraient incompris, de toute façon, mais qu'au bout du compte, ils agissent pour le bien du monde sorcier. Ásvaldr y croit. Doit y croire. Parce que sinon, qu'est-ce qu'il lui reste ?

Un battement d'ailes. La vision furtive de plumes virevoltantes qu'il ne capte que du coin de l'oeil, dans sa vision périphérique. Le temps qu'il se retourne, la vision a disparue. Sietske, sa femelle corbeau, est perchée sur une étagère, la tête sous l'aile. Ses hallucinations n'arrangent en rien son état anxieux, qui se rapprocherait presque d'un état paranoïaque. Qu'ont-ils fait, cette nuit-là ? Qu'ont-ils réellement fait ?

Il a besoin... de voir quelqu'un. De ne plus être simplement seul avec ses pensées.
Il écrase son mégot de cigarette sur le bord de la fenêtre, le jette dans son cendrier et sort de son appartement. Il a beau avoir aménagé cet endroit comme il le souhaitait, il a toujours du mal à penser à sa chambre comme étant ‘‘chez lui’’. L’institut n’a jamais été chez lui.
Il ne va pas très loin. À vrai dire, il lui suffit simplement de traverser le couloir. Il frappe à la porte de l’appartement de Shandar.

« Salut Shandar, tu vas bien ? Je dérange pas j’espère ? » Lui lance-t-il une fois que celui-ci lui a ouvert la porte. Sans vraiment attendre de réponse, Ásvaldr s’invite à l’intérieur. Il jette un coup d’oeil, simplement pour vérifier que le Blomgren est bien seul dans ses appartements. On ne sait jamais. Mais a priori, Shandar étant habillé, il ne doit rien déranger de particulièrement important. « Dis-moi, qu’est-ce que tu peux faire contre les nuits sans sommeil, avec tes plantes magiques ? » Pas besoin de lui parler de l’anxiété, de sa nervosité. Ásvaldr ne vient chercher qu’une façon de plus d’ignorer ses problèmes.


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I tear apart. If brokenness is a form of art, I must be a poster child prodigy. Thread by thread I come apart. If brokenness is a work of art, surely this must be my m a s t e r p i e c e.
Shandar Blomgren
Shandar Blomgren
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TW : prise de drogue

Un épais nuage de fumée opaque s’échappe d’entre ses lèvres, alors que Shandar se penche sur son bureau, les yeux plissés, déchiffrant avec peine le parchemin qu’il a entre les mains. Il aurait préféré faire n’importe quoi d’autre que passer sa nuit à annoter des pattes de mouche.
C’est tout juste s’il ne pousse pas un soupir de soulagement lorsqu’on frappe à sa porte. Il ne prend même pas le temps de rajuster sa chemise de nuit et s’empresse d’aller ouvrir, curieux de découvrir qui peut bien lui rendre visite à une heure pareille. Il se retrouve finalement face à un Ásvaldr au teint grisâtre et aux cernes démesurées (d’après lui).
« Salut Shandar, tu vas bien ? Je dérange pas j’espère ? » L’intéressé secoue la tête. Il n’est pas connu pour être un couche-tôt, c’est même assez exceptionnel qu’il soit déjà dans sa chambre. Si ça ne tenait qu’à lui, il serait probablement sorti. Mais la pile de devoirs à corriger qui trône sur son bureau depuis plusieurs semaines ne semble pas vouloir disparaître d’elle-même. Il aurait volontiers blâmé son retard sa fatigue grandissante depuis quelques semaines et sur les rêves étranges qui lui valent des nuits agitées, dernièrement. Pas sûr que la directrice approuve, cependant.
« Pas du tout. Je cherchais justement une excuse pour faire une pause dans mes corrections. » Annonce le maître des potions avec un grand sourire, avant de s’écarter pour laisser passer Ásvaldr.
Ça fait au moins vingt bonnes minutes qu’il s’y est mis, il a bien mérité une pause, n’est-ce pas ? Peut-être même poussera-t-il le vice jusqu’à lui proposer de boire quelque chose avec lui. Ses copies peuvent bien attendre un jour de plus, vu leur médiocrité, ce ne sont certainement pas ses élèves qui vont le contredire là-dessus.
« Dis-moi, qu’est-ce que tu peux faire contre les nuits sans sommeil, avec tes plantes magiques ? » Ce n’est pas la première fois que son collègue vient le trouver parce qu’il a besoin d’un petit coup de pouce végétal pour pallier le manque de sommeil. D’ordinaire il ne se poserait pas de questions, Ásvaldr peut bien faire ce qu’il veut de ses nuits, ça ne le regarde pas. Mais cette fois-ci, il semble... différent. Ça n’a pas l’air d’être une petite insomnie banale.
« Exactement ce que je suis en train de faire présentement. » Déclare Shandar en lui mettant son joint sous le nez. Au vu de l’odeur, Ásvaldr devait déjà se douter de la réponse. Ce n’est pas la première fois qu’ils fument ensemble et sans doute pas la dernière.
« Sinon je peux toujours te préparer une décoction de lavande et de valériane, si tu préfères une méthode plus classique, ajoute-t-il, au cas où. Mais vu ta tête, je dirais que non. »
D’un coup de baguette, il déplace un fauteuil jusqu’à son invité surprise.
« Qu’est-ce qui t’arrive ? »
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Ásvaldr Baardsen
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Tout va bien. Je ne fais rien de mal. Il ne m’arrivera rien. Si tout allait réellement bien dans sa vie, Ásvaldr n’aurait sûrement pas besoin de se répéter ces mots sans arrêt. S’il était vraiment persuadé de n’avoir rien à se reprocher, il ne se sentirait pas constamment épié, les souvenirs du rituel ne seraient pas la seule chose qu’il arrive à voir lorsqu’il ferme les yeux. Ou alors, ces souvenirs devraient le remplir d’excitation et d’impatience, comme ça a l’air d’être le cas pour certains de ses… camarades. Dont les idées le rendent de plus en plus perplexe. Mais il n’en est pas encore à remettre en question son implication. Il se demande si le groupe va dans la bonne direction, certes. Mais il n’a aucun doute quant à son appartenance aux Enfants de Völuspá. Aucun. Parce que s’il commence à se poser des questions, il a peur de ce qu’il pourrait trouver comme réponse.

Il a besoin de se distraire, et le fait que Shandar habite littéralement l’appartement d’en face l’arrange énormément. « Pas du tout. Je cherchais justement une excuse pour faire une pause dans mes corrections. » Lui répond-il d’ailleurs, lorsque Ásvaldr se présente à sa porte et entre chez son collègue sans vraiment expliquer la raison de sa venue. Enfin, la raison doit être plutôt évidente, de toute façon. Et vu l’odeur de la pièce, Shandar n’a pas l’air de l’avoir attendu pour commencer les réjouissances.
« Exactement ce que je suis en train de faire présentement. » Répond Shandar à sa question tout en lui mettant sous le nez la cause de cette odeur, ce qui tire un sourire amusé à Ásvaldr. Dire qu’ils doivent avoir l’air présentable devant les élèves. Enfin, après tout, Shandar est le professeur de potions, s’il y en a bien un qui peut se laisser aller à des mélanges… originaux, c’est bien lui. « Sinon je peux toujours te préparer une décoction de lavande et de valériane, si tu préfères une méthode plus classique. Mais vu ta tête, je dirais que non. Qu’est-ce qui t’arrive ? » Ásvaldr secoue la tête sans s’arrêter de sourire alors que son collègue fait glisser un fauteuil jusqu’à lui. Il se laisse tomber dedans en soupirant. Il allait devoir mentir, mais ça ne le dérangeait pas spécialement. Non pas qu’il ait envie de dissimuler la vérité à Shandar, mais il n’a surtout pas envie de s’expliquer. Et puis, il doute que son histoire intéresse son ami.

« Ravi de t'être utile. Ça travaille dur, je vois. » Lance-t-il tout en désignant la pile de copies sur le bureau de l’enseignant. Il ne va pas lui jeter la pierre, ce n’est clairement pas la partie qu’il préfère dans son métier. « Et non merci pour la méthode classique, je n’en suis pas encore à devoir prendre de la tisane nuit tranquille. » Ironise-t-il, même si en réalité, il n’a jamais été du genre à dire non à une petite tisane avant de dormir. Mais il a une réputation à tenir. « Et toutes ces copies à corriger me filent un mal de crâne. La plupart sont vides de toute cohérence et je suis quand même obligé de les lire jusqu’au bout. Tu sais ce que c’est. » Ce qui n’est pas un mensonge, pour le coup. « Tu partages ? » Dit-il en lançant un regard qui se veut totalement innocent à Shandar.


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Shandar Blomgren
Shandar Blomgren
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TW : prise de drogue

« Ravi de t'être utile. Ça travaille dur, je vois. » Shandar se met à rire. Avec Ásvaldr il est inutile de faire semblant qu’il se tue à la tâche, ce dernier ne serait pas dupe. De toute façon, il est bien trop tard pour qu’il puisse corriger quoi que ce soit efficacement. Même si, en réalité, peu importe l’heure, il n’est jamais très concentré sur cette tâche qu’il juge ennuyeuse à mourir.
« Et non merci pour la méthode classique, je n’en suis pas encore à devoir prendre de la tisane nuit tranquille. » Pour ça, il croit moyennement son collègue. Il ne sait pas vraiment pourquoi, mais il peut très bien imaginer Ásvaldr dans un fauteuil avec bonnet de nuit sur la tête, des charentaises et une tisane entre les mains.
« Tu devrais, celles que prépare Toni sont excellentes. » Il lui glisse cela avec une pointe de malice, mais ce n’est que la pure vérité. Toni est sans doute la personne la plus douée qu’il connaisse pour manier les plantes ‒ avec lui-même, cela va de soi.
« Et toutes ces copies à corriger me filent un mal de crâne. La plupart sont vides de toute cohérence et je suis quand même obligé de les lire jusqu’au bout. Tu sais ce que c’est. »
Le maître des potions hoche la tête avec un soupir las. Ça, il ne le sait que trop bien. Et plus le temps passe, plus les corrections le frustrent. Heureusement qu’une poignée de ses élèves sont là pour relever le niveau et égayer quelque peu les trop longues heures qu’il passe à annoter leur travail.
« Malheureusement oui. Ce n’est pas exactement ça que j’avais en tête, quand j’ai décidé de devenir prof. » Il jette un regard en coin à la pile de parchemins qui trône toujours sur son bureau, telle une monstrueuse tour de Pise prête à s’effondrer sur lui. Ce serait sans doute plus simple à gérer s’il ne s’y mettait pas toujours au dernier moment, mais en dix ans de carrière il n’y a pas eu une seule fois où il a eu hâte de corriger des copies.
« Tu partages ? » Shandar se contente de lui adresser un sourire entendu et de lui tendre le joint. Comme s’il avait la moindre chance de dire non. De toute façon, vu ce que Toni fait pousser dans ses serres, ils auraient probablement de quoi fournir au moins la moitié du royaume.
« Tu me connais, toujours là pour aider un ami dans le besoin, lance-t-il sur le ton de la plaisanterie. Cela dit, je le pense vraiment. Si jamais tu veux en parler. »
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Ásvaldr Baardsen
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« Tu devrais, celles que prépare Toni sont excellentes. » Lui lance Shandar et Ásvaldr ne peut s’empêcher de laisser échapper une petite grimace. Oui, ça, il est au courant de la qualité des… mélanges de Toni, et pas uniquement de ses tisanes. Peut-être qu’il devrait passer lui dire bonjour aussi, un de ces jours. Il a toujours eu des bons rapports avec Toni, qu’il pourrait presque considérer comme une sorte de tante, il la connaît depuis aussi longtemps qu’il puisse se souvenir, elle a toujours été là quelque part lors des nombreuses réunions de famille auxquelles Ásvaldr a bien pu participer depuis sa plus tendre enfance.

« Malheureusement oui. Ce n’est pas exactement ça que j’avais en tête, quand j’ai décidé de devenir prof. » Ásvaldr hausse les épaules, mais au fond, il est bien d’accord. On lui a toujours vanté le fait d’être professeur à Durmstrang comme l’un des métiers les plus stimulants, satisfaisants, un but que de nombreux sorciers cherchaient à atteindre… Mais pour lui, c’était une expérience comme une autre. Et il ne soit pas rester dans cet établissement pendant cinquante ans, non merci. Il faut dire qu’il a l’habitude de ne pas trop se rendre compte des privilèges et des portes que son nom peuvent lui ouvrir. Pour lui, c’est normal.

Shandar finit par lui tendre le joint avec un petit sourire et Ásvaldr ne se fait pas prier pour le prendre. Quelqu’un d’autre que lui se serait sûrement senti un peu gêné de débarquer chez son collègue comme ça, mais ils se connaissent assez avec Shandar pour qu’il ne se demande pas s’il le dérange. De toute façon, il se dit que si les gens ont un problème avec lui, ils n’ont qu’à le lui dire.

« Tu me connais, toujours là pour aider un ami dans le besoin. Cela dit, je le pense vraiment. Si jamais tu veux en parler. » Ásvaldr laisse échapper une nouvelle grimace en expirant la fumée. Parler ? Est-ce qu’il a vraiment envie d’en parler ? Il y aurait tellement de choses à expliquer, c’est définitivement trop compliqué. Sa situation chez les Enfants… Il a beau se dire qu’il n’a pas honte, qu’il essaye simplement de se protéger, il faut bien qu’il se rende à l’évidence : s’il n’en a parlé à personne parmi ses amis proches qui ne font pas partie de l’organisation, c’est qu’il y a bien une raison. La dernière chose qu’il souhaite, c’est de se faire juger à ce sujet. Même s’il comprendrait pourquoi.

« Oh non, je suis clairement trop sobre pour en parler, et même, je crois que parler ça n’a jamais résolu les problèmes, » dit-il avec un petit rire en prenant une nouvelle bouffée avant de tendre de nouveau le joint à Shandar. Non, clairement, parler n’aidera rien, à part le stresser encore plus, de savoir que son secret est partagé par quelqu’un d’autre. Même si ce quelqu’un est Shandar, qui n’ira clairement pas le dire à qui que ce soit d’autre. Mais comment expliquer le bordel dans lequel il s’est mis… C’est facile de penser que tout va bien, que ce qu’ils font est raisonnable, quand on est entourés uniquement de personnes qui pensent la même chose. Mais il suffit d’un regard extérieur pour se rendre compte d’à quel point ce que vous faites est… Questionnable. « Clairement ce soir j’ai juste envie d’oublier que j’ai des copies à rendre et des trucs à faire et de laisser tous mes problèmes à mon moi de demain, qui je l’espère aura une immense gueule de bois. » Il y a sûrement des plantes pour l’aider à faire passer ça de toute façon. C’est bien pratique d’avoir des potionnistes dans ses connaissances. « Enfin, sauf si tu as d’autres plans, évidemment, » rajoute-t-il sans vraiment le penser. Il espère ne pas avoir l’air trop nerveux. Et à bien y penser, il doit bien avoir une ou deux bouteilles dans sa chambre qu’il a confisqué à des élèves ces dernières semaines.


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Shandar Blomgren
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« Oh non, je suis clairement trop sobre pour en parler, et même, je crois que parler ça n’a jamais résolu les problèmes, » Rétorque aussitôt Ásvaldr avec une grimace et un petit rire qui semble un peu trop nerveux pour être sincère. Le maître des potions hausse les sourcils. S’il n’était pas particulièrement intrigué par les déboires de son ami avant ça, il doit bien reconnaître que la réaction d’Ásvaldr pique un peu sa curiosité.
« Tu as déjà essayé ? Il paraît que ça fait du bien. Enfin, si l’on en croit les psychomages. C’est peut-être juste une combine pour nous faire acheter leurs forfaits de thérapie. » Au moins, ses services à lui son gratuits, en plus de proposer un traitement de qualité tout droit sorti des serres de Toni.
« Clairement ce soir j’ai juste envie d’oublier que j’ai des copies à rendre et des trucs à faire et de laisser tous mes problèmes à mon moi de demain, qui je l’espère aura une immense gueule de bois. »
Shandar sourit, l’air approbateur. Il n’aurait pas dit mieux lui-même. S’il pouvait payer quelqu’un pour corriger ses copies à sa place, il regretterait certainement moins souvent d’être devenu professeur à Durmstrang.
« Enfin, sauf si tu as d’autres plans, évidemment, » Il secoue la tête. Non, il n’avait rien de mieux de prévu ce soir et aurait probablement fini ainsi avec ou sans la présence de son collègue. Il n’est définitivement pas la voix de la raison quand il s’agit de faire face à ses problèmes de manière saine, mais après tout ce n’est pas la raison qu’Ásvaldr est venu chercher ici.
« Eh bien, je peux sans doute t’aider pour la gueule de bois, à défaut d’autre chose, dit-il, tout en sortant d’un placard deux petits verres et une bouteille de gin à l’éclatante couleur framboise. Un verre ? »
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