magic dances in firelight (topic commun)

Serment le : 23/11/2022

Enfin le marché de Yule ! Même si leur stand avait connu un petit succès l'année d'avant, Einar appréhendait leur retour sur le marché. Mais jusqu'à présent, tout se déroulait pour le mieux : sachant à quoi s'attendre, iels avaient préparé au mieux et à peine installé-e-s qu'iels avaient déjà fait quelques ventes. Séraphin avait même décrété qu'iels auraient besoin de son aide et restait dans les parages pour les remplacer lorsque la fatigue se faisait sentir ou qu'iels avaient envie d'une boisson chaude.
Pour le moment, Einar savoure l'instant d'accalmie alors que tous les regards sont tournés vers le bûcher et que l'ambiance se teinte de l'excitation du moment. Il a un rire joyeux lorsque les flammes atteignent le sommet du bouc avant que le cri joyeux d'Alfhild ne retentisse : « Le Jólakötturinn est venu ! Regarde ! Ooooh ! ». En effet, il découvre avec stupeur la créature alors que des étincelles viennent se poser sur lui, et qu'un frisson le traverse. Ce n'est pas très différent de quand il a des visions, et il essaie de refréner la panique alors que des voix étranges semblent lui chuchoter un nom. Alors que le Chat disparaît, il s'efforce de respirer calmement et de se calmer. Myr se blottit contre ses jambes en essayant de le réconforter elle aussi comme elle peut.

Lorsqu'il se sent mieux, il se tourne à nouveau vers leur étal, devant lequel se trouvent quelques curieux. Une sorcière vêtue de sombre, une capuche masquant la quasi totalité de son visage se tient notamment là. Einar pose son regard vers elle un instant avant que son attention soit détournée presque malgré lui. Il sursaute presque lorsqu'elle demande : « Pour la discrétion, que me conseillez-vous ? ». Il cligne des yeux, se reconcentre sur elle et sourit, se souvenant qu'il est en situation de vente et qu'il faut faire bonne figure. Venceslas apparaît soudain, débordant d'énergie et s'adresse à elle avec enthousiasme : « Ouuuuh vous êtes à l'endroit parfait pour ça ! »

Einar pousse un léger soupir, touché par l'intervention. Lorsque le jeune homme s'éloigne, il se rapproche d'Alfhild « Je m'en occupe, tu peux y aller si tu veux » propose-t-il avant de se tourner vers la passante : « Pour la discrétion ? J'aurais tendance à vous proposer ces deux options ». Il lui désigne deux amulettes simples, mais plutôt efficaces avant de préciser : « Nous pouvons les laisser en pendentifs ou les adapter sous forme de bracelet, selon votre préférence. ». Il lui désigne la première en expliquant tranquillement sa composition : Algiz, pour le changement favorable, la positivité, la confiance et la victoire, associée à des pierres spécifiques pour renforcer ses effets. Puis il se tourne vers la seconde option « Celle-ci a une approche un peu différente. Avec Þurisaz, on appelle le dieu Thor, pour son aide et sa protection face à des épreuves. Ce qui, compte tenu d'aujourd'hui, serait peut-être le plus adapté ? Les statues de Julbock représentent les boucs qui tirent le char de Thor. Un clin d’œil à cette journée en quelque sorte » ajoute-t-il avec un sourire.

Il se tait enfin et recule d'un pas pour la laisser réfléchir tranquillement, en profitant pour balayer la foule du regard à la recherche d'un visage familier.

Résumé:

Serment le : 14/11/2021

Magic dances in firelight

tc commun - 22 décembre 2023

Perdue dans la contemplation passive du stand et l'ambiance douce de la soirée, Alfhild ne remarque pas la silhouette qui s'approche de l'étal. A moins que ce ne soit le sort de discrétion de la sorcière qui la rend particulièrement invisible à l'attention de la Mørk facilement distraite. Un pied hors de la réalité elle sourit doucement en songeant au chocolat chaud qu'elle aimerait bien déguster quand une voix trop proche d'elle la fait largement sursauter. « Pour la discrétion, que me conseillez-vous ? » Son corps se redresse et ses yeux cillent plusieurs fois devant le visage et la silhouette qui se tient devant elle. Impressionnée par cette entrée spectaculaire ses iris arrondis regardent à droite et à gauche par réflexe tout en acceptant de plus en plus que la femme ce soit juste matérialisée devant elle sans être arrivée par l'une ou l'autre de ces directions. Toute à sa surprise, Alfhild ne remarque Venceslas que lorsqu'il prend à son tour la parole pour vanter le choix du stand de la première sorcière : « Ouuuuh vous êtes à l'endroit parfait pour ça ! » Elle rigole doucement, retrouvant par la même occasion l'usage de la parole et le contrôle de son corps. « Prends ton temps je reste dans le coin ! Je chasse les étincelles. » Elle ferme sa bouche ouverte sous la surprise précédente et détaillé avec un peu plus de curiosité admirative la femme enveloppée d'une large cape sombre. Elle a presque l'impression de la connaître, sans parvenir à poser une identification claire sur les traits glissés dans l'ombre du vêtement. Mais Alfhild ne s'attarde pas à détailler plus longtemps la sorcière convaincue que sa mémoire des noms lui fera défaut de toute façon, et que si elle veut de la discrétion, la dévisager n'est probablement pas un comportement approprié. Au même moment Einar s'approche à son tour avec un large sourire : « Je m'en occupe, tu peux y aller si tu veux ». La jeune Mørk lui rend son sourire tout en approuvant d'un signe de tête reconnaissant. Elle parvient juste à lui glisser un : « Merci, je reviens vite promis ! » avant de s'effacer pour laisser la place à son ami qui s'élance déjà dans une description parfaite et enthousiaste de ce qu'iels ont à lui proposer pour la discrétion.

En quelques pas elle passe derrière le stand pour attraper son sac de cuir et retrouver Vence posté sur le côté. « Tu as vu toutes ces étincelles ? C'était magnifique ! J'ai rien compris au sort du Jólakötturinn maks je suis sûre qu'il demandait des gratouilles sur les oreilles. » Elle pouffe de rire en glissant malgré tout un regard chargé d'envie vers la silhouette arrondie de l'énorme chat qui semble attendre patiemment quelque chose, ou avoir simplement oublié la foule qui l'entoure. « Un chocolat chaud ça te dit ? Je crois qu'Angelo a un stand par là-bas ! » Son enthousiasme enfantin est palpable dans ma façon qu'elle a de se hisser sur ses pointes de pieds et les sourires qui se succèdent dans une valse ininterrompue. D'un geste vif elle désigne des stands sur leur droite desquels de larges odeurs sucrées se dégagent.

Hors rp:

Serment le : 15/01/2024

Magic dances in firelight

Göteborg • 22 décembre 2023 • soirée

Yule fait partie de mes fêtes favorites. Comment ne pas être contaminé par la joie des retrouvailles familiales ? L'enthousiasme des adelphes qui se retrouvent et des grandes réunions de tous ces êtres liés par un même sang mais séparés par les quotidiens de leurs vies ? Enfant j'adorais ces moments de chaos, de vie fulminantes entre les départs et les arrivées de chaque branches des Amundsen avec leurs lots d'odeurs et de drames. J'adorais épier les regards en coin, ceux qui parlent sans rien dire, les mains et les saluts soigneusement évités, les accolades qui claquent dans les dos des autres. Ce mélange me remplissait de joie et d'une énergie pure qui me faisait souvent réprimander vertement par Li-Zhu agacé par mes déplacements trop rapides d'un groupe à un autre. Je cherchais à saluer tout le monde, à e faire connaître d'eux, à les entendre dire que j'avais grandi, à les entendre connaître mon prénom et me donner l'existence que je cherchais. Aujourd'hui plus encore qu'avant je prends un plaisir certain à revenir pendant cette période de fête et admirer le chaos qui s'en dégage. C'est savoureux. Ça a un goût de bataille et des éclats de conquêtes. Peut-être même que j'y prends encore plus de plaisir depuis que j'en ai manqué quelques unes à cause de missions en mer.

Je suis venu seul, à peine rentré de notre dernière manœuvre, je n'ai commencé ma permission que cette après-midi et j'ai besoin de la foule compacte et multiple pour me perdre un peu et glisser dans un retour au calme plus que mérité. La mission n'a pas été de tout repos. Attendant ma crêpe, le dos au brasier, je ne tourne la tête vers celui-ci que lorsqu'un frémissement parcours la foule autour de moi. Juste a temps pour capter le chat immense qui fait éclater un sortilège au-dessus de nous et un pincement des entrailles contracté mes muscles dans un spasme incontrôlé. Le cœur s'emballe, et ça m'agace de le constater. La dernière bataille est encore vive et la mémoire du corps est à fleur de peau. Je détourne le regard fuyant les étincelles probablement spectaculaires mais qui rappellent plus les explosions des sorts qu'autre chose à mes yeux, et me reconcentre sur le crêpier avec l'air de quelqu'un qui trouve le temps long. Il sourit, avec l'air de celui qui s'excuse. Et mon air devient plus agacé, le sien se tord vers le sourire crispé et Bølga grogne de faim. Soudain un murmure filtre dans mes oreilles, des images s'imposent à mes pensées et le cerveau s'affole une nouvelle fois. Je plisse des yeux avant de froncer du nez en voyant mes voisins de queue réagir eux aussi. Je devine qu'il doit s'agir d'une farce de Chat et j'attrape ma crêpe qu'on me tend, enfin.

J'avale une première bouchée à peine après avoir payé dans un éclat gourmand. Le goût du sucre chasse la dureté des traits, claquant un sourire en coin sur mes lèvres. Je fais quelques pas sans regarder devant moi, trop occupé à dévorer la crêpe, quand je manque de trébucher sur un animal. Un chien plus précisément, un jeune chien au vu du comportement enthousiaste de celui qui se jette presque contre les jambes dans un léger aboiement amical. Instinctivement la lèvre se retrousse dévoilant la canine lupine dans un sursaut de sympathie partagée. J'ai toujours aimé les chiens, étonnamment. Moins quand ils ont les yeux rivés sur mon reste de crêpe. Reste que je remets prestement en hauteur en sécurité de mon bras droit. Le gauche étant fermement collé le long du corps, la main. En boule dans la poche de mon pantalon. Un bras encore douloureux de cette fameuse dernière bataille. « Va te chercher la tienne au lieu de reluquer la mienne. » Le ton est railleur avant que mes yeux ne suivent la laisse pour tomber sur celui qui tient l'autre bout. « Jasper ? Qu'est-ce-que tu fous avec un chien en laisse ? » J'ai toujours aimé les chiens, mais j'ai toujours détesté les laisses. Étonnamment.

Spoiler:

Serment le : 10/05/2020

Sa tradition à lui, c'est de goûter à toutes les traditions. Il l'a fait toute sa vie durant, et il a recommencé en pénétrant dans le monde magique. Depuis qu'il a reçu la lettre, qu'il a rencontré l'émissaire, qu'il a été témoin d'un sortilège, qu'il a marché le long de boutiques magiques, Gaston se fait un devoir d'être présent à toutes les célébrations traditionnelles dont il entend parler. C'est ainsi le troisième Yule qu'il passe dans cette société sorcière qui veut de lui sans vraiment l'accueillir - un statut transfuge dont il a l'habitude, dont il s'accommode sans grande difficulté. Il laisse la colère aux plus jeunes. Lui, il se contente de se balader d'étal en étal. Il a déjà avalé une crêpe quand il achète un dragon en pâte d'amande ; il a déjà acheté un pin's mouvant au stand queer quand il s'arrête devant la fresque du climat d'une certaine Audhumla. Il hoche la tête, appuyé à sa canne, et tente de recroiser les informations avec celles qu'il a appris dans le monde moldu, au fil des ans.
Tout pris qu'il est dans sa contemplation réflexive, fouillant sa grande mémoire et ses nombreux souvenirs, il met un moment à remarquer que l'attention de la foule s'est déplacée. Il avait bien remarqué le feu de joie du Julbock du coin de l’œil, sans comprendre l'obsession des sorcier.e.s pour cet élément si destructeur. Mais c'est seulement quand une étincelle se pose sur son épaule et lui chuchote à l'oreille qu'il lève la tête et remarque le gigantesque félin qui domine le marché. “Oh.” Knoppe ricane, à ses pieds, mais elle non plus n'était pas si attentive que cela, occupée qu'elle était à déguster son propre dragon aux fruits secs. Elle se redresse sur ses deux pattes arrière et renifle les étincelles qui parviennent jusqu'à elle, mais rien ne se passe, pas de murmure, pas d'image mystérieuse, pas d'énigme. Elle bouderait presque, si elle n'avait pas celle de Gaston sur laquelle se rapatrier faute de mieux.

résumé:

( into the unknown )

all that i know lies within emotion, words remain unspoken – lead me through the dark. all that i see came to me in colours, lasted for a moment – lead me through the dark.

Serment le : 01/08/2019

cadeaux de yuleDoomsday

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Serment le : 17/03/2020

Concentrée sur les deux têtes blondes de l'autre côté du stand, Chao-Xing ne s'attendait pas à l'intervention du jeune @Venceslas Lund. Elle pivote lentement vers lui et le dévisage, mémorise ses traits. Pas une menace, chante une voix dans son esprit, en boucle jusqu'à ce qu'elle la croit, encouragée par Smite qui volette gaiement au-dessus de la couronne de cheveux noirs de l'inconnu. Xi observe l'interaction entre ce jeune homme et la petite blonde (@Alfhild Mørk), de l'autre côté du comptoir – une Mørk, devine-t-elle immédiatement, et elle rehausse sa vigilance en conséquence. Mais son collègue intervient et, en observant le trio, la ténébreuse Amundsen s'illumine. Ce ne sont que des enfants, joyeux, innocents.
Un sourire fleurit sur ses lèvres, sous sa capuche, et tout son corps se détend ostensiblement tandis qu'elle s'accoude au stand pour écouter le troisième acteur de la jolie danse (@Einar Bråthen). « Pour la discrétion ? J'aurais tendance à vous proposer ces deux options. Nous pouvons les laisser en pendentifs ou les adapter sous forme de bracelet, selon votre préférence. » Elle l'écoute lui présenter ses deux choix et observe les objets. Le premier lui parle davantage, initialement. L'esthétique en est sobre et les effets directs.
Pourtant, la mention de Thor dans la présentation du second retient son attention. Elle laisse ses doigts glisser sur les Julbock et Clarice gronde de plaisir. « Celui-là. En bracelet, s'il vous plaît, jeune homme. » Elle lui offre un sourire chaleureux et son poignet gauche. Délicatement, elle retrousse sa manche et révèle son bras nu. Un frisson la traverse – mais pas de peur, celui-là. Ce n'est que l'air frais de la soirée hivernale qui lui caresse l'épiderme.

Jeu 21 Mar 2024 - 1:38

Séraphin est en retard. Encore entrain de taper furieusement un message sur son téléphone qui peine à le faire parvenir à son interlocuteur, il essaye de ne pas rentrer dans les gens. Rien n’est encore réalisé, mais le jeune sorcier commence à voir le début du tunnel. Encore une personne à convaincre et ils pourront vraiment parler de productions musicales. Deux chocolats chauds dans une main et son téléphone dans l’autre, il slalome comme il peut entre les couples te les familles. Pris dans son rôle de manager jusqu'à la dernière minute possible malgré les promesses faites plus tôt dans la semaine.
Il manque de se prendre une famille alors qu’il envoie son dernier message en croisant les doigts. Il aurait dû être là il y a de cela une heure, mais la réunion s’était étendu comme d’habitude et Séraphin n’était pas de ceux qui abandonnent.
Einar lui pardonnerait, un sourire taquin et quelques paroles d’excuses, ainsi qu’une offrande de chocolat chaud et l’incident serait oublié. L’important c’est qu’il avait conclu le deal, Séraph’. C’est avec un sourire satisfait qu’il laisse son téléphone se perdre au fond de ses poches à quelques mètres du stand. Il arrive comme un conquérant et profite de la cliente pour se glisser derrière Einar. C’est un regard beaucoup doux qu’il pose sur le sorcier, un regard doux qu’il réserve pour lui et qui en inquiéterait plus d’un. Même le premier concerné loupe son expression, trop occupé sur sa cliente pour faire attention à lui. Son secret était en sécurité. Il se glisse à la place d’Alfhi le plus silencieusement possible et attend la fin de la transaction. « Tu t’en sors comme un chef au final. » Il le savait Séraphin qu’une fois lancé dans sa passion Einar n’aurait pas de soucis à se faire sa place « Je t’ai ramené un chocolat, pour te donner des forces. »

Serment le : 23/11/2022

Einar se détend lorsque la femme à l'étal accepte ses explications et opte pour l'option plus saisonnière. Il s'empresse de fixer les derniers charmes sur le bracelet avant de lui tendre l'objet. Il marque un temps, surpris, lorsque la cliente lui présente directement son poignet mais l'attache sans trop de difficulté avant de lui sourire poliment. Le jeune homme lui annonce le prix conseillé avant de préciser « C'est un prix conseillé, qui permet de nous rémunérer, mais nous avons aussi un prix solidaire pour les personnes ayant besoin. Celleux qui peuvent donner un peu plus permettent de remplir une cagnotte dans laquelle les personnes moins aisées peuvent piocher lors de leurs achats ». Le discours sort avec fluidité et une certaine pointe de fierté - iels l'ont beaucoup répété avec Alfhild et les deux amix tiennent vraiment à ce système. Alors qu'il continue la transaction, il sent une présence se glisser près de lui et sourit intérieurement. Il n'a pas besoin de se retourner pour savoir de qui il s'agit – il commence à reconnaître la magie du sorcier.

Quand il se retourne enfin, Séraphin est installé à la place d'Alfhild et ils échangent un sourire. « Tu t’en sors comme un chef au final. Je t’ai ramené un chocolat, pour te donner des forces. – Comme un chef, je sais pas, mais c'est plus facile que l'année dernière en tout cas. Merci... » répond-t-il tranquillement en attrapant le gobelet avant de s’asseoir à côté de lui. Einar laisse son épaule venir s'appuyer contre celle de Séraphin et lui adresse un sourire timide avant de prendre une gorgée de la boisson chaude. « Et merci d'être venu, ça me fait plaisir ». Il mesure d'autant plus ses mots qu'il sait que depuis quelques mois, le manager des Lucky People n'arrête pas. A peine sorti de l'Institut qu'il s'est jeté à corps perdu dans la gestion de leur groupe –avec un succès indéniable, puisque ce dernier connaît un succès croissant. Einar quant à lui regrette de ne plus pouvoir le voir autant et même si la perspective de terminer ses études lui donne une sorte de vertige, il se dit qu'une fois Durmstrang derrière lui, il pourra au moins voir Raph' plus souvent. Et jouer de la musique. Évidemment.

Alors qu'ils discutent doucement, leurs têtes penchées l'un vers l'autre, l'attention d'Einar est soudain attirée par un vieil homme qui se tient non loin de l'étal et les observe. Il se tend légèrement, presque par réflexe, avant de réaliser que l'homme en question a un sourire très doux et ne semble absolument pas hostile. Timidement, il lui rend son sourire, légèrement interrogateur, comme pour lui signaler qu'il est disponible si besoin.

Récap: