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attention à l'arb...Laisse tomber (Markus)
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Markus Falkenberg
Markus Falkenberg
LÆRERTEAM Den som talar mycket säger sällan vad som är bra
Markus FalkenbergI don't want to be a hero.
(c) Shiya et Renegade
Nom(s), prénom(s) Markus, prénom qui renvoie au dieu romain de la guerre. Il aurait préféré une appellation plus pacifique, plus douce. Falkenberg. Un nom qui ne vient pas seul, un nom qu’il porte avec fierté, comme on porte un chapeau démodé par crainte de le regretter si on le jette.   Âge, date et lieu de naissance Il est âgé de trente-neuf ans. Il est né le 16 août en Norvège, dans le sud de la Scandinavie. Origines Norvégiennes du côté de ses deux parents. Nature du sang Pur et il s’en balance totalement. Province Svalbard Statut civil et orientationIl est réputé pour être volage, alors qu’il ne l'est pas. Il a aimé tous ceux qui ont côtoyé son lit, sans leur dire. Un homme a déjà fait palpiter son cœur, mais c’est plutôt rare. Métier ou études Il est professeur d’art du combat magique à Durmstrang et auror à temps partiel. Il aime ces deux sphères de sa vie, même s’il préfère vagabonder dans les rues qu’enseigner. Double Andy Samberg Trigger-warnings Mort, blessures.  
Patronus Un bouvier bernois.Baguette 26 cm, bois de charme, poil de centaure, très souple.Amortentia Une odeur de résine, d’eucalyptus et de forêt. Miroir du Riséd Il se voit dans une petite maison au fond des bois ; il ne parvient pas à voir plus loin. Ses rêves ont été trop étouffés, trop ligotés et il ne sait plus ce qu’il veut vraiment. Épouvantard Un classique, qui l’effraie pourtant terriblement : ses sœurs décédées, assassinées par sa faute.

Fylgia Un ours noir d’Amérique, un siamois et un putois.  Il apprécie ses trois formes, mais il lui demande généralement de prendre la première ; un siamois affectueux qui recherche les caresses des étudiants, ce n’est pas très crédible lorsqu’il enseigne, et un putois...Faut-il vraiment préciser?

Alignement Pro-régence. Davantage par facilité et par habitude que par réelles convictions : son cœur le porte plutôt vers les sans-noms.

Famille Rigmor et Morten Falkenberg ont donné Åsgeir comme prénom à son grand-père, un type plutôt costaud et barbu, qui s'est marié à Eivor Svendsen. Une femme frêle et délicate, qui a toutefois survécu suffisamment longtemps pour donner naissance à son père, Birger, dont le sobriquet renvoie à la protection. Plutôt mal choisi, quand l’on songe que Birger Falkenberg ne s’est toujours soucié que de protéger sa propre personne et ses finances. Il a épousé Hedvig Skadi, dans un mariage superficiel sans amour, qui unissait puissance, intérêts mutuels et attrait physique. Les deux idiots se sont reproduits : ils l’ont eu en premier, puis ses trois sœurs, Iris, Konstance et Odine. Est-ce qu’il aime ses parents? Ils ont maintenant passé la soixantaine, souffrent de rhumatisme et prennent leur thé avec un nuage de lait ; il ne peut décemment pas casser du sucre sur leur dos. Il se contenterait d’affirmer qu’ils lui ont donné ce qu’ils croyaient pouvoir lui donner, et qu’ils lui ont enlevé ce qu’ils croyaient pouvoir lui enlever. Rien de plus, rien de moins.      

Allégeance Lærerteam. Pendant sa scolarité, il appartenait au clan de Skjerme.

Particularité magique Il a hérité du don de la famille et est métamorphage. C’est sa mère qui l’a remarqué la première : ses cheveux rougeoyaient à chaque grande manifestation de joie. Il a eu du mal à contrôler cette part de lui, trop impulsif, trop prompt, trop proche de ses sentiments. Il n’est parvenu à vraiment maîtriser ses transformations que vers l’adolescence, en même temps qu’il apprenait à éteindre tous ses excès émotionnels. Sa particularité lui était aussi utile pour camoufler certaines de ses gaffes ; à défaut de parvenir à prendre l’apparence complète de quelqu’un, il modifiait parfois ses traits pour ne pas être associé à l’individu qui avait cassé un vase ou qui avait raté une marche dans l’escalier. Il l’utilise encore parfois dans ce but, mais il l’emploie principalement dans le cadre de son travail, lorsqu’il camoufle au moins partiellement son identité. Il dérape encore, occasionnellement : il a une meilleure maîtrise de lui-même, mais lorsque ses émotions lui échappent, ses yeux et ses cheveux changent rapidement de couleur, ce qui est plutôt chiant.  

Trivia Se tient éloigné de tout ce qui touche à la politique – A menti à la direction de Durmstrang, en affirmant bosser comme auror le vendredi, mais profite plutôt de cette journée pour aller se promener dans des endroits variés –  Se retrouve constamment dans des situations improbables : il s’est pris jusqu’à maintenant à la tronche soixante-treize portes, quatorze coups de poing qui ne lui étaient pas adressé, un vélo et deux saumons. - Est doué en combat, malgré sa maladresse, mais pourrait accidentellement renverser son café sur le type arrêté.
MaladroitIntelligentDistantFroidAimablePeu égoïsteCourageuxEspiègleImpulsifIntègre
derrière l'écran  attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1510892118
Markus Falkenberg
Markus Falkenberg
LÆRERTEAM Den som talar mycket säger sällan vad som är bra
HistoireLet me go, I don't wanna be your hero, I don't wanna be a big man
Trente-neuf ans
Lettre:

« Vous vous enfermez encore dans votre bureau? Vous devriez sortir un peu Falkenberg, prendre l’air… » Il ne lui répond pas, mais lui jette un bref coup d’œil. L’iris pâle s’assombrit brusquement, en même temps que sa chevelure se teinte d’un noir incandescent. Son collègue toussote et reprend : « Ou pas d’air. Bonne soirée. » Il disparaît rapidement au bout du couloir, forme imprécise qui n'a plus d’importance.

Markus se tourne pour entrer dans son bureau ; il se prend la porte, qu’il a oublié d’ouvrir. Il ne jure pas, ne soupire pas, ne réagit pas. Il se masse simplement le front, glisse la clé dans la serrure, tourne la poignée, et referme derrière lui. Lentement, il se dirige jusqu’à son fauteuil, devant l’âtre allumé, et s’y laisse choir.

Il desserre sa cravate, sans retirer son veston. Il ne dit rien, pas un mot, rien du tout, pas même à son chat qui le guette sans oser s’avancer.

Il est muet, figé, glacé.

Ce soir, son cœur refuse de battre normalement.
Ce soir, il a mal.

Les souvenirs sont douloureux et trop nombreux. Ils s’assemblent, se mélangent, se séparent et se confondent, avec des éclats de voix et des explosions d’images. Il la revoit, dans ses transformations physiques successives, il se revoit, dans des années qui se sont écharpées avec précipitation.

Et sa voix, son parfum, son contact… Ses mains tremblent. Il ferme les yeux, comme si ce geste était suffisant pour effacer des images qui n’existent que dans sa tête.

Le geste n’est pas suffisant.

Les souvenirs sont les plus puissants et il accepte de perdre cette lutte.

Huit ans

« Ne nous fait pas honte, cette fois.
-Compris.
-Et contrôle mieux ton don. Si tes cheveux prennent encore une teinte pivoine pendant le dîner, je serai affreusement gênée. »

Il retient un rictus amusé, tout en sachant qu’il ne devrait pas l’être. Du haut de ses courtes jambes, il arque le dos et regarde droit devant lui, avec une assurance qu’il ne possède pas. Il n’est jamais parvenu à avoir confiance en lui, trop conscient d’être un maladroit, un problème, un enfant qui ne fait que décevoir ses parents. Il essaie fort, très fort pourtant, d’être à la hauteur de leurs attentes.

Vainement.

Il a cette pression familiale pour être quelqu’un alors qu’il n’est personne. Il a cette pression pour réussir, quand il ne rêve que de galopades dans la forêt et de promenades nocturnes. Il est une tête brûlée, une tête sauvage, une tête inventive, une tête qui rêve et qui s’envole. On dit de lui qu’il est constamment sur les nuages, mais il sait bien que c’est faux : il est partout ailleurs, dans les prés, dans les rassemblements joyeux, dans les chants et les festivités, dans la beauté sous toutes ses formes. Il aime créer, imaginer, penser, errer, aimer, oui, tout aimer. Les animaux, la nature, les gens, et même les méchants. Trouver les qualités dans les défauts, les perles dans les vices et l’or dans les immondices, c’est ce qu’il préfère.

Mais on ne le laisse pas faire. On le refrène. Il est le plus vieux de la famille et il est aussi le seul mâle. Il y a cette pression, l’horrible pression, qui courbe ses épaules tout en les redressant, qui lui fait pencher cette tête tenue haute, qui fait tressaillir sa peau dorée. Alors il se fait docile, il fait une croix sur ses idées, il met un cadenas sur son cœur aimant. Il dit adieu à ses champs, à ses créatures de rêve, aux fêtes imaginés. Il joue au fils parfait.

Il noue une cravate à sa tenue et prêt à recevoir les invités, il sort à l’extérieur.

Il ne croise pas d’invités, mais plutôt un putois.

Treize ans
Lettre:

Ils révisent ensemble leurs notes pour l’examen de demain. Distrait, il pose sa tête sur son épaule, tout en tapotant sa baguette sur ses genoux. Il lui arrive des trucs invraisemblables et absurdes, mais lorsqu’il a sa baguette en main, tout va bien. Lorsqu’il lance des sortilèges, il est précis. Lorsqu’il contre une attaque, il ne rate pas son coup – il a seulement brisé quelques fenêtres jusqu’à présent. Il se sent léger, heureux, paisible. Et puis, il a Elsa avec lui. Sa meilleure amie.

Elsa qui fait sourire les fleurs, Elsa qui fait pleurer le soleil, Elsa qui illumine les nuages, Elsa fantasque et fière, Elsa furieuse et guerrière, Elsa la forte, Elsa la faible, Elsa qui promet monts et merveilles, Elsa aux nattes rousses et aux yeux clairs, Elsa qui rit comme si elle voulait faire trembler le tonnerre, Elsa qu’il aime, en toute douceur, fraternellement, Elsa qui lui a promis qu’elle sera encore là à ses quarante ans. Elsa qui le couvre, lorsqu’il rencontre un chat sauvage trop affectueux ou lorsqu’il trébuche sur un caillou. Elsa qui raconte des salades à sa mère pour expliquer le nez qu’il s’est cassé parce qu’il n’a pas vu l’arbre devant lui ou pour justifier qu’il a oublié son livre dans une flaque d’eau.

Depuis qu’ils se connaissent, ils traînent toujours ensemble. Elle n’est pas bien née, mais il s’en fout. Et il a bien fait comprendre à ses parents qu’elle devait être l’exception dans leurs règles, s’ils voulaient qu’il fasse des efforts pour être un fils convenable.  Ils ont accepté et ne font aucun commentaire, lorsqu’ils la voient dans les parages. Mais pour combien de temps? Du haut de ses treize ans, il sent trop bien que les batailles gagnées ne garantissent pas qu’il remportera la guerre.

Quinze ans
Lettre:

« Tu sais que ta famille est remplie d’enfoirés, Markus?
- Tu sais que je suis obligé de te balancer un sort pour cette phrase, Hans?
- T’oserais pas. Vous êtes tous des lâ… »

La phrase n’est pas achevée. Le gosse s’écroule sur le sol, immobile, alors que Markus abaisse sa baguette. Les quelques curieux lui jettent un coup d’œil en coin, sans intervenir directement. Il aura probablement des problèmes avec les professeurs pour le sort lancé, mais il s’en soucie peu. Il a fait ce qu’il devait faire, rien de plus. On doit toujours défendre sa famille, qu’importe le prix…Même si la famille en question ne mérite pas toujours d’être défendue. C’est son rôle, pas vrai? Les Falkenberg d’abord, le reste ensuite.

Ses pupilles se teintent d’un voile de pitié alors qu’il passe à proximité de son adversaire. Il lève le sort, sans s’excuser. Il a parfois l’impression de n’être qu’une statue figée. Pas de personnalité, pas de qualités, pas de défauts trop apparents. Un croquis dessiné par un autre, sans intérêt. Ses parents l’ont façonné et il n’a pas tenté de redéfinir qui il est. Il suit le courant, il fait ce qu’on attend de lui, il étouffe ses rires, ses blagues, sa douceur, sa joie de vivre. Il se sent parfois plein d’une envie de courir loin, il se sent parfois plein d’une envie de sourire, de chanter, de chahuter. Il se retient. C’est ce qu’il fait le mieux.

Vingt ans

Lettre:

« Je t’aime, Markus.
- Frøydis.
- Je sais, tu vas dire que tu n’es pas un type pour moi, que je pourrais trouver mieux, mais c’est toi que j’aime.
-Je ne suis pas un type pour toi et tu pourrais trouver mieux. »

Et pourtant, il l’aime aussi. Il aime sa voix qui goûte le sel et le sapin, il aime ses traits anguleux et son visage fin, il aime sa bonté, sa générosité et son amabilité. Il aime ses gestes le matin, après la nuit commune, entre des vêtements froissés et un premier café. Il aime tout, mais ne peut rien aimer.

« Je ne t’aime pas, Frøydis…C’étair clair dès le début. Je ne suis qu’un amant. Un ami, à la limite, mais rien de plus.
- Je ne te crois pas.
-Je ne te demande pas de me croire. »

Il aimerait pouvoir lui dire je t’aime aussi. Il ne le peut pas. Il est fait pour la lutte, il n’existe que pour la gloire de la famille. Rien d’autre.

Il ne sait que se contenir, se retenir, ne rien dire, se mentir, s’oublier, s’oblitérer, se contrôler, encore, toujours.

Étouffer.

Respirer, pour mieux reprendre le même chemin. Se lier les mains, serrer les lèvres, bloquer les mots, se dominer, rester maître de soi. Ne perds pas le contrôle, Markus. Vient un moment où l’on s’est tellement effacé qu’on ne sait plus ce que l’on tente de contenir.

Vingt-cinq ans

Lettre:

Ses pieds touchent le sol en même temps que retentissent les exclamations enthousiastes de ses coéquipiers. Ils atterrissent un à un, sourire aux lèvres, ébouriffés par le vent et enflammés par le triomphe. Il est heureux, envahi par cette énergie brûlante qui glisse dans les veines après un effort éprouvant. Ses yeux ont pris une teinte d’un bleu ardent, sans qu’il ne l’ait même remarqué. Ils brillent comme un ciel d’été, comme un ciel de bonheur et d’éternité, comme lors d’une journée où l’on croit que rien de mal ne peut nous arriver. Markus n’a jamais su camoufler sa joie et n’y parviendra probablement jamais.

S’il voit bien le joueur de l’équipe adversaire s’approcher de lui, il ne se méfie pas. Il a serré les lèvres pour se maîtriser, pour ne pas trop montrer son exaltation, mais tout le trahi, de ses joues colorées d’un rose enfantin jusqu’aux racines de ses cheveux, qui prennent presque des allures d’arc-en-ciel. Le type qui doit mesurer deux mètres le toise avec une satisfaction visible, avant de finalement se pencher à son oreille :

« Profite de ta victoire, Falkenberg. J’en ferai une aussi, ce soir… »

Il suit son regard jusqu’aux estrades, apercevant Elsa, qui regarde avec intérêt l’homme avec lequel il parle. Elle lui avait bien parlé la veille d’un type, qui lui plaisait bien, et qu’elle avait invité à venir en catimini dans son dortoir après le match…C’était donc celui-là? Ses sourcils se froncent, son sang bouillonne, sa peau rougit davantage. Éprouve-t-il de la colère, comme le prévoit sans doute son adversaire? De la jalousie? Va-t-il se servir de cette batte qui repose sur son épaule pour asséner un foudroyant coup au géant qui insinue très clairement qu’il va se taper sa meilleure amie?

Il tente de se contenir. Il serre les poings, inspire, arque son dos, pince les lèvres. Camoufler ses émotions, ne pas tout montrer, demeurer neutre… C’est plus fort que lui, plus fort que ses bonnes intentions. Il lève – littéralement – les yeux vers l’homme goguenard et, sans plus se contenir davantage, laisse tomber sa batte sur le sol. Son rire éclate au milieu des célébrations, tonitruant, incontrôlable.

Il a imaginé le mec qui tente de rentrer subtilement dans le dortoir d’Elsa, en se planquant derrière une plante ; pieds qui dépassent, tronc recouvert de feuilles vertes et tête qui apparaît largement. Il adorerait assister à ce spectacle : sa meilleure amie devra absolument lui raconter comment elle est parvenue à faire rentrer secrètement ce géant dans son dortoir.

Trente-trois ans

Lettre:

« Monsieur…? Votre arcade sourcillère, elle est… »
« Restez concentré sur votre baguette, Stevenson.  

Lundi matin, huit heures. Stevenson semble hésiter, mais obéit et se concentre sur le sortilège cuisant qu’il est sur le point de lancer à son partenaire. Markus soupire, tout en l’observant attentivement. Il sait très bien ce que son étudiant allait déclarer. Son arcade sourcilière est fendue, parce qu’il y a eu une bagarre, l’autre soir au pub. Il n’y participait pas, mais il a eu la chance de se prendre à la tronche le verre à bière lancé par l’un des adversaires alors qu’il allait s’interposer. Rien de très glorieux.

« Monsieur…? Vos phalanges, elles sont…?
- Restez concentré sur vos sortilèges, Stevenson. »

Mercredi après-midi, treize heures. L’auror camoufle ses mains dans les poches de son blouson, tout en errant dans sa classe, l’œil attentif. Il bossait à l’extérieur de Durmstrang la veille, et tout s’est plutôt bien passé. Ils ont fait une descente avec des collègues, qui s’est clôturée par plusieurs arrestations. Le problème ne s’est présenté qu’au moment de son départ : il est tombé accidentellement dans un puit peu profond qu’il n’avait pas vu, alors qu’il s’apprêtait à quitter les lieux de l’intervention.  Rien digne d’un professeur.

« Monsieur?...Vos lèvres, elles sont…?
- Restez concentré sur le mouvement que vous effectuez, Stevenson. »

Vendredi, dix-huit heures. Il pince les lèvres, même s’il sait ne pas pouvoir camoufler la coupure qui orne l’une d’elles. Le rappel de sa nuit passée auprès d’une agréable personne aurait pu être satisfaisant, s’il n’était pas tombé en bas du lit au pire des moments. Rien digne d’un amant.

« Monsieur…? J’ai obtenu mon diplôme. Merci.
- Soyez heureux dans ce que vous faisez, Stevenson.»

Un sourire, bref, qui camoufle l’émotion sincère d’un homme qui tente de ne rien montrer. Parce que dans ces mots parfois bourrus, dans cette attitude fermée, il y a ce cœur toujours prêt à explorer, cette douce affection pour tous ses étudiants, cet amour porté même sur les criminels qu’il arrête et dont il aimerait comprendre le motif des actions. Il a toujours été un tendre, malgré le masque, et ne sera probablement jamais rien d’autre.

Trente-neuf ans

Lettre:

Il a interdit l’accès à son bureau, en prétextant une migraine.

Il n’a pas appuyé son front contre ses bras, n’a pas ouvert une bouteille de rhum pour noyer son chagrin, n’a pas pleuré, n’a pas crié, n’a lancé aucun objet, n’a frappé personne, n’a lancé aucun sort.

Il n’a rien fait.

Il est demeuré immobile, assis dans son vieux fauteuil, sans bouger.  Il fixe sa photo sur le dessus de la cheminée, il fixe sa photo dans son âme, il fixe sa photo dans tous les souvenirs qui affluent sans qu’il ne puisse les contrôler.

Ses pupilles sont d’un noir de ciel de tornade, ses cheveux ont la même teinte. Ses mains ne remuent pas, sa bouche ne se crispe pas. Son torse se soulève au rythme de ses inspirations à un rythme régulier, sa mâchoire est détendue, sa nuque est souple.

Le siamois à ses côtés ne parle pas ; il respecte son silence, ce silence tétanisant qui est trop plein, ce silence qui est pire que les mots.

Il ne change pas de position. Il a l’impression que s’il bouge, s’il craque, s’il cède, tout s’écroulera. Tant qu’il reste fort, tout tient encore.

Tant qu’il reste fort, elle est encore là.
Vanja Brynjolf
Vanja Brynjolf
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
rebienvneue à la maisoooon attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1510892118
pk l'histoire a l'air si triste wesh, je veux pas la lire frogy

(me suis permis d'éditer ton histoire pour ajouter les balises manquantes avant que tout le forum soit cassé attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1721194138 attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 2879786002)


life if beautiful - - I know that it hurts sometimes, but it's beautiful Workin' every day, now you bleedin' through your cuticles Passin' through a portal as you're just sittin' in your cubicle
Sebastian Prince Amundsen
Sebastian Prince Amundsen
TRØBBEL För att nå toppen av trädet måste du sikta mot himlen
Rebienvenue attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1887480256
Beaucoup trop efficace attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 197795259
Je lis ta fiche très vite attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1031591426 Et liens attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1887480256attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 3771232680
Ozymandias Mørk
Ozymandias Mørk
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
ok ce personnage est beaucoup trop adorable attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 3142966241  attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 3748692772
et l'histoire ???? ça va pas du tout, j'étais pas prêt pour les feels frogy

re bienvenue à la maison attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1510892118


all your faith, all your rage, all your pain, it ain't over now /// it's the cruel beast that you feed, it's your burning, yearning, need to bleed through the spillways of your soul.
Vigga Mørk
Vigga Mørk
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
Félicitations, tu es validé.e !Doomsday
à propos de ta fiche J'aime beaucoup Markus attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 3503528440 il m'inspire un ciel pluvieux mais à travers lequel passe encore quelques rayons de soleil (idk if u see what I mean) bref, rebienvenue chez toi attention à l'arb...Laisse tomber (Markus) 1809789749

bienvenue dans le groupe LAERERTEAM Ton personnage fait officiellement partie des sujets du Royaume de Scandinavie sorcière, étudiant.e, professeur.e ou résident.e de Göteborg, il ne lui reste plus qu'à honorer sa nouvelle couleur et son alignement. Tu trouveras ci-dessous des liens qui te seront utiles au cours de la suite de ton aventure sur Doomsday. Bon jeu !

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