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Stanislas Anae Jensen
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Ozymandias Mørk
Nayir Forslöf
Stanislas Jensen
7 participants
Stanislas Jensen
Stanislas Jensen
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
Stanislas Anae JensenCITATION AU CHOIX
Trigger-warnings Violence verbale - Violence physique - Discriminations
(c) Hiatus
Nom(s), prénom(s) Jensen, Stanislas Anae Âge, date et lieu de naissance 43 ans, 15 mars 1980, dans la région de Darraðrbjarg Origines Scandinaves Nature du sang Sang-mêlé Province Darraðrbjarg et Göteborg Statut civil et orientation Célibataire - Pansexuel Métier ou études Fondateur de la SAJ & Co, société financière qu'il a fondé il y a maintenant plus de 15 ans. Il y tient plus qu'à la prunelle de ses yeux. On pourrait presque dire qu'elle est sa raison de vivre DoubleLeonardo Dicaprio
Patronus Un toucan Baguette Bois d’ébène, ventricule de dragon 26,4 cm, légèrement flexible Amortentia Le doux parfum de sa mère, une odeur de whisky tourbé et une odeur qui ne cesse de lui rappeller son assistant sans qu'il comprenne pourquoiMiroir du Riséd Sa belle et chère maman qui le serre à nouveau dans ses bras et l'embrasse tendrement comme elle avait l'habitude de le faire Épouvantard Etre entraîné au fond d’un immense lac et s’y noyer tout en étant dévoré vivant.

Fylgia Un toucan Ariel, Dena. S’il a été assez dérouté lors de son apparition, il s’y est assez bien accommodé. Peut-être parce que sa fylgia prend la même forme que son patronus, il a immédiatement ressenti un lien fort qui l’unissait au toucan. Étonnamment, ils sont très complémentaires et s'entendent à merveille. Dena possède un caractère calme et apaisant. Elle sait trouver les bons mots pour atténuer les colères de son hôte et, même lorsque celui-ci s’en prend à elle, elle sait garder son calme et n’entre pas dans son jeu . C'est la seule forme qu'ait pris son fylgia jusqu'à présent.

Alignement Sans-nom. Depuis sa découverte du monde de la magie et surtout du sort infligé à sa propre mère par sa famille maternelle, Stan voue une haine sans bornes aux sang-purs. Les “sang-de-purins” comme il se plaît à les appeler. Son harcèlement dans les premières années de sa scolarité n’a rien arrangé par la suite. Principalement par vengeance et soif de justice pour sa mère, Stan fera tout ce qui est en son pouvoir pour renverser le règne des sang-purs qui dure depuis bien trop longtemps. Pour lui, les vrais élus ne sont pas les sang-purs, ce sont les nés-moldus. Qui parmi eux peut se targuer d’avoir été choisi personnellement par la magie ? Aucun. C’est un simple héritage, contrairement aux né-moldus que la magie a jugé dignes de toucher de son pouvoir.

Famille Stan n’avait que sa mère comme véritable famille. La famille du côté de son père n’a jamais manifesté le moindre intérêt pour lui, quand à sa famille maternelle, bien que son grand-père ait tenté plusieurs approches pour le placer entre ses griffes, le petit garçon qu’il était alors s’est vite libéré de ses serres acérées en lui faisant comprendre à quel point il abhorrait cet homme et tout ce qui pouvait venir de lui. Il a fini par laisser tomber lorsqu’il a appris que Stan préférait rester en compagnie des cracmols et des né-moldus plutôt qu’avec ceux de son rang. Depuis il n’a plus aucune nouvelle de lui ou de quiconque d’autre.

Côté amour et relations, ses conquêtes se bornent à des relations sans lendemain. Dans un premier temps parce qu’il se considérait trop jeune pour s’engager dans un mariage et qu’il avait encore toute la vie devant lui, plus tard parce qu’il a fermé son cœur à toutes formes d’émotions au moment de la mort de sa mère.

Aujourd’hui, la personne qui se rapproche le plus d’une famille c’est son assistant, Aylen Williams, avec qui il travaille depuis de nombreuses années et qui ne l’a jamais laissé tomber malgré les années, les épreuves et son foutu caractère. Il est la seule personne qui lui apporte un semblant de relations humaines saines. S’il venait à le perdre d’une manière ou d’une autre, Odin seul sait ce qui pourrait arriver.

Allégeance Après avoir parcouru les nombreux livres traitant de l’école et des différents clans dans la grande bibliothèque de sa propriété, Stan a décidé de prêter allégeance à Odin, le dieu des dieux. Sa soif de justice pour sa mère et tous ceux dans le même cas a trouvé écho dans les descriptions qui étaient faites du grand dieu nordique. S’il n’est pas des plus croyant et encore moins pratiquant, il lui arrive parfois de faire appel à la force et au courage d’Odin. Un peu comme on fait appel à une entité par réflexe et sans vraiment chercher à avoir une réelle réponse.

Particularité magique Nope. Stan est un sorcier comme les autre.

Trivia Stan est le fondateur et directeur de la société financière SAJ&Co. C’est un grand bâtiment situé dans le centre-ville de Göteborg partagé en deux parties. L’une est réservée aux employés et clients moldus, l’autre cachée derrière un tableau pivotant, ne s’ouvre qu’avec le bon mot de passe et est réservée aux sorciers.

Il arrive souvent que le matériel électrique rencontre des problèmes de fonctionnement dû aux interférences magiques qui traversent les différents espaces. Bien qu’ils aient ordre d’utiliser la magie avec modération, les sorciers ont souvent du mal à se séparer de leurs baguettes. Les sorciers et les moldus disposent de postes informatiques et sont donc tenus de maîtriser un minimum la technologie moldue.

Tout sorcier d’origine moldu ou de sang-mêlé est le bienvenu au sein de la SAJ&Co. Pour ce qui est des sang-purs, disons qu’il est préférable pour vous que le directeur ne l’apprenne pas. A moins que vous ne disposiez d’un passe-droit du directeur lui-même après avoir prouvé votre valeur auprès de lui.
IntelligentArrogantSûr de luiEgocentriqueSociableAlcooliqueCharismatiqueMéprisant (envers ceux qu'il n'aime pasBienveillant (pour ceux qu'il prend sous son aile)RancunierFrancImpulsif
derrière l'écran Tagadda / Asgeir, je reviens avec un nouveau bébé Stanislas Anae Jensen 1376595387 et j'ancre un peu plus mes petites racine dans la clairière DD Stanislas Anae Jensen 2206732289
Stanislas Jensen
Stanislas Jensen
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
EnfanceNuage de lait et bisous magiques
Bien le bonjour à vous mes chers amis. Si vous êtes en train de lire cette fiche, je présume que c’est pour découvrir l’homme qui se cache derrière le géant de la compagnie SAJ & co. Installez-vous bien confortablement, le voyage est sur le point de commencer.

Je suis né dans un tout petit village au cœur de la région de Darraðrbjarg, élevé par ma très chère mère, Eline Ingrid Hagen, cracmolle de son état. Je ne peux parler d’elle sans mentionner une partie de sa propre histoire. Pour ceux qui ne seraient pas intéressés, je vous autorise à sauter cette partie et à passer à la suite.

Ma mère était issue d’une vieille famille de sorciers, elle avait tout pour devenir une grande sorcière et contribuer à l’expansion de la famille Hagen. Oui elle avait tout, sauf une chose. Une seule. Elle ne possédait aucun pouvoir magique. Et pour une famille telle que celle des Hagen, ambitieuse et prête à tout pour se faire accepter des puissantes familles sorcières de scandinavie, avoir une fille cracmolle était la pire tare qui soit.

Ma mère a donc grandi dans une grande propriété, sorte de maison de vacances familiale en pleine campagne, éloignée de tout, même de sa propre famille. Il ne fallait surtout pas que l’on sache que la famille Hagen avait une telle aberration dans ses rangs. Ils ont fait croire au monde sorcier que leur fille était morte d’une maladie infantile. Rien de mieux pour supprimer définitivement ce problème gênant.

En soit, elle n’a pas été malheureuse. Ses précepteurs, sa nounou et tous ceux qui s’occupaient d’elle ont fait preuve de bien plus d‘attention envers elle, que sa propre famille ne lui en porterait jamais. Ce qu’elle redoutait le plus, c’était les visites de ses parents qui venaient tous les trois ou quatre mois, faire semblant de prendre de ses nouvelles. Le regard dégoûté de son père et celui angoissé de sa mère ne cessaient de lui rappeler sa différence et la déception qu’elle incarnait pour ces derniers. Lorsqu’ils n’étaient pas là, cependant, la petite Eline vivait une vie des plus normales.

Elle était dotée, sinon de pouvoirs magiques, d’un nom assez prestigieux connu dans le monde sorcier comme moldu. C’est là que mon père entre en jeu. Lui était un homme totalement banal, un moldu, issu d’une petite famille bourgeoise scandinave. C’était un homme très ambitieux. Je crois avoir, malheureusement, ou heureusement, hérité de ce trait de caractère. Il savait de source sûre, que la fille d’une famille très puissante vivait dans cette maison. L’on disait qu’elle avait une santé fragile et que c’était pour cette raison qu’elle ne sortait jamais.

Il n’avait pas la moindre idée de ce à quoi elle pouvait ressembler, de toute façon cela lui importait bien peu. Tout ce qui l’intéressait était de faire partie de cette famille que l’on disait si puissante et surtout si riche. Un jour, il a fini par entrer en contact avec mon grand-père. Ils ont trouvé des intérêts communs dans l’utilité qu’ils pourraient faire de ma mère et ont conclu un arrangement. D’un côté mon grand-père serait enfin débarrassé du fardeau de ma mère, de l’autre mon père aurait la possibilité d’effectuer une grande ascension sociale qui ne pourrait lui être que bénéfique. Mon grand-père se rendit donc, accompagné de mon père, dans la propriété familiale annoncer la « bonne nouvelle » à ma chère mère. La malheureuse n’eut d’autre choix que de se taire et d’accepter son sort. Le mariage fut prononcé quelques mois après, en très petit comité. Seuls mes grands-parents maternels étaient présents. En guise de cadeau de mariage, mon grand-père leur offrit la propriété. Ma mère ne revit jamais sa famille.

Nous en arrivons à présent à ce qui vous intéresse le plus, moi. Je suis né environ trois ans après ce mariage arrangé - pour ne pas dire cruel. C’était un mardi, le 15 mars 1986. Mes parents, ma mère surtout, étaient plus que ravis de ma venue au monde. Je fus aimé, choyé, gâté par ma chère et tendre mère et battu et sans arrêt rabaissé par mon méprisable père. Ce sale bonhomme persuadé qu’il valait mieux que ma mère et moi. Je ne savais encore rien à cette époque de la magie et de cet autre monde auquel j’appartenais. Mon enfance a été partagée entre la joie des moments passés avec ma mère et l’horreur des épisodes de violence de mon père. Je pense qu’il est important de préciser que mon père ne s’en prenait pas uniquement à moi. Ce qui me révoltait doublement.

Le jour de mes 8 ans, mon père, exaspéré par un de ses collègues de travail, s’est rendu dans ma chambre pour détendre ses nerfs. Je m’étais caché dans un coin, il ne m’a pas vu. Il s’est alors rendu dans celle de ma mère. Je ne me rappelle pas exactement de ce qu’il s’est passé ensuite. Je me souviens simplement de cette pensée « Non pas maman, pas encore ». Je revois mon père voler à travers la pièce alors qu’il levait son poing sur elle. Le choc et la terreur sur le visage de mon père, le soulagement et le sourire de ma mère. Mon père s’est enfui, lâche comme il était. Il nous a tout laissé. J’ai appris quelques années plus tard qu’il était mort dans un accident de voiture. Tant mieux. J’espère qu’il a souffert. A partir de ce moment, ma vie et celle de ma mère s’est considérablement améliorée. Nous avions une gigantesque propriété pour nous tous seuls et plus de geôlier pour nous terroriser.

Après l’épisode de mon père, ma mère m’avait tout expliqué sur notre monde, sur la magie, sur l’école de sorcellerie Durmstrang. J’avais hâte de m’y rendre pour découvrir tout cela de mes propres yeux. Elle m’a également parlé de sa famille et de ce qu’ils lui ont fait subir. J’ai instantanément décidé de les haïr.

Notre petite vie à deux s’est révélée des plus agréables. J’adorais passer du temps avec ma mère, parler de tout et de rien avec elle, jouer dans le jardin. Elle, adorait me voir pratiquer la magie, elle était si fière de moi. Seulement quelques mois après le départ de mon père, ma vie avait complètement changée. Ce fut la meilleure période de toute mon enfance.

Après la découverte de mes pouvoirs, ma mère a envoyé un hiboux à l’école Durmstrang pour m’inscrire dans le registre. C’est elle qui s’est occupée de m’apprendre les bases de la lecture, l’écrire, la géographie, l’histoire et tout ce qui pourrait m’être utile plus tard. Concernant la magie, elle m’a enseigné toutes les bases théoriques.

L’année de mes onze ans, après avoir fait mes achats de fournitures en compagnie de ma mère, c’est le cœur serré et les larmes aux yeux que je l’ai abandonné pour embarquer à bord du Navire magique au port de Göteborg.

Nous avons à présent survolé la plus grande partie de mon enfance. J’espère que vous êtes toujours avec moi et que vous n’avez pas encore abandonné ! Il est maintenant temps de passer aux choses sérieuses, ma scolarité.

Ha Durmstrang ! J’étais si impatient de m’y rendre, de commencer à étudier la magie, de me balader dans les couloirs, de me faire de nouveaux amis. Grâce aux différents livres se trouvant dans l’immense bibliothèque de la propriété, je savais presque tout sur l’école de magie qui allait bientôt devenir ma deuxième maison. Je n’ai pas mis longtemps avant de décider du clan que je choisirais lors de ma cérémonie d’allégeance. Le clan Styrke m’est apparu comme une évidence.

Après la cérémonie, je rejoignis mes nouveaux camarades et entamais la conversation avec mes voisins. Je fus sidéré par les propos que pouvaient tenir certains. Comment pouvait-on se sentir supérieur à quelqu’un simplement parce qu’on avait un soit disant « sang pur » ? Je rétorquais cette question à mon camarade de gauche dont j’avais oublié le prénom, qui me regarda comme si je venais de lui lancer du pus de Bubobulb à la figure. Ce fut une des plus grandes erreurs de ma vie. J’ai honte de le dire mais, à partir de ce moment, je dû subir les pires choses de la part de certains de mes camarades.

Dans un premier temps, je n’eu droit qu’à de petites remarques désagréables. Personne ne connaissait mon nom - je n’avais eu d’autre choix que de conserver le nom de mon infâme père - et ne savait donc de quelle famille sorcière j’étais issu. Souhaitant probablement éviter tous conflits pouvant remonter jusqu’aux oreilles des différents responsables de famille, les médisances n’ont pas été trop violentes.

Mais les semaines suivantes, après avoir fait l’énorme et naïve erreur de parler des origines moldues de mon père et du statut de cracmolle de ma mère, je dus subir des choses bien pires que des mots. N’ayant plus peur de subir quelconque remontrances familiales, mes “camarades” s’en sont donnés à coeur joie.

On me forçait à manger ou à boire des choses dont je n’oserais même pas faire la mention, on me frappait simplement pour le plaisir. Tous les soirs je retrouvais mon lit dans un état épouvantable, mes draps éparpillés aux quatre coins de la chambre, mes affaires sans dessus- dessous…

Tous n’étaient heureusement pas comme ça, mais les élèves avec qui j’aurais éventuellement pu m’entendre avaient trop peur des représailles si jamais ils étaient pris en train de me parler. Autant vous dire que ma première année fut un véritable calvaire. A côté de ça, je restais tout de même un bon élève. En même temps, il aurait été difficile de faire autrement, étant donné que je passais le plus clair de mon temps à la bibliothèque, le seul endroit où je ne courrais presque pas de risque.

Durant les vacances scolaires, j’avais trouvé le courage de parler à ma mère de ce qui se passait avec mes camarades, qui, horrifiée, voulut écrire au directeur et me changer d’école. Mais je n’allais pas les laisser gagner n’est-ce pas, ces sales sang-de-purin ? J’avais tout autant ma place qu’eux au sein de Durmstrang. J’ai donc pris mon courage à deux mains et je suis reparti pour une deuxième année. Les premiers mois ont été identiques, sinon pires. Seule amélioration notable, j’encaissais un peu mieux les coups. Et puis, après tout ce que mon père avait pu me faire subir, j’étais doté d’une certaine résistance à la douleur et à l’humiliation.

Je commençais toutefois à montrer des signes de rébellions, je ne me laissais plus faire gentiment. Mes camarades ont donc employé des moyens plus drastiques qui n’ont cessé d’attiser ma haine et ma colère. A cette époque, les seules choses que je pouvais faire était de les attaquer verbalement en remettant en cause leur statut de sang. Ayant passé beaucoup de temps à la bibliothèque, j’avais trouvé le temps de me renseigner sur les familles de chacun d’eux. J’éprouvais un malin plaisir à énumérer les différentes tares familiales des uns et des autres. Mes démonstrations firent perdre le sourire à plus d’un et les horreurs redoublèrent. Mais j’avais touché un point sensible. Je terminais ma deuxième année avec d’excellents résultats et rentrais enfin chez moi soulagé, pour deux mois de répit.

Nous en arrivons à présent à ma troisième année scolaire. Comme les deux années précédentes, les maltraitances reprirent de plus belle, et les maigres défenses que j’avais pu constituer ne m’étaient malheureusement plus d’aucune utilité. Contrairement à mes camarades, je n’avais pas beaucoup changé. Eux, en revanche, avaient grandi et gagné en force. Les coups que je recevais devenaient de plus en plus durs à supporter. J’avais déjà fais beaucoup de progrès en magie depuis ma première année, je connaissais des sortilèges que nous ne devions aborder que l’année suivante, mais cela n’était pas suffisant pour effrayer un tant soit peu mes adversaires. Je décidais donc qu’il était temps de prendre les choses en mains et d’apprendre à me défendre correctement.

Je ne compte plus les heures que j’ai passé hors de l’école, la plupart du temps dans la forêt bordant les alentours de l’établissement, à m’entraîner à lancer toutes sortes de sorts. Mes principaux cobayes furent les animaux et insectes habitant les environs. Je finis par maîtriser une grande quantité de maléfices et de sortilèges et, quelques mois plus tard, je décidais qu’il était temps de faire une petite démonstration à mes très chers camarades.

En rentrant dans la salle commune, je vis le groupe habituel se lever et s’avancer vers moi. Je les ai gentiment évités et suis monté dans ma chambre. Je vous épargnerais les détails sur les évènements qui ont suivi. Sachez juste que ma vie s’est considérablement améliorée depuis ce jour. Et c’est à ce moment-là que j’ai compris que pour gagner, il ne fallait pas lésiner sur les moyens et surtout, que tous les coups étaient permis. Mes camarades avaient à présent peur de moi, ce dont je n’étais pas peu fier. Pour moi, ils n’étaient plus que des insectes insignifiants et méprisables.

Je passais donc le reste de ma scolarité respecté et craint par la plupart de mes camarades. Je passais mon BOUCS avec brio, puis mon DAIM. A la fin de ma huitième année, je décidais qu’il était temps pour moi de découvrir le monde. Ne sachant pas vers quel métier me tourner, j’entrepris de le découvrir à travers mes voyages. J’étais également intrigué par ce monde moldu que la population sorcière semblait ignorer au mieux ou rejeter totalement.
Stanislas Jensen
Stanislas Jensen
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AdultanceBienvenue dans la cours des grands
Nous allons maintenant entamer la dernière partie importante, celle de ma vie d’adulte.

J’ai été dans presque tous les pays d’Europe, une partie du continent africain et de l’Amérique latine, et j’ai vécu un temps aux États-Unis. J’y ai beaucoup appris, notamment dans le monde des affaires, avant de revenir en Scandinavie vers l’âge de 22 ans. Ma mère étant restée là-bas, je m'en voulais de ne pas avoir passé beaucoup de temps avec elle.

Bien évidemment, j’étais présent pour les moments importants comme Noël ou son anniversaire, je lui téléphonais souvent - j’avais découvert cette technologie moldu absolument merveilleuse et l’avait fait installer chez elle - lui envoyait de nombreux cadeaux, mais je la voyais relativement peu.

C’est une des raisons qui m’ont poussé à revenir. J’avais en quelque sorte le mal du pays et ma mère me manquait. J’ai trouvé un emploi dans la finance, au sein d’une entreprise moldu. Mes pérégrinations à travers le monde m’avaient donné une certaine préférence pour le mode de vie moldu. Le monde magique - peu importait le pays - restait bloqué dans un modèle archaïque qui ne correspondait pas à mes idéaux.

J’y suis resté un peu plus d’un an, le temps de parfaire mon expérience, avant de me lancer seul dans la création d’une entreprise, une société financière, la Jensen & co, mon bébé. Les débuts n’ont pas été faciles mais j’avais la chance de connaître les bonnes personnes, lesquelles m’ont apporté un soutien qui m’a permis de me faire une petite place dans le monde des affaires. Il m’a tout de même fallu attendre quelques années avant de me faire un véritable nom. Cette entreprise est tout pour moi. J’y ai consacré toute ma vie et c’est grâce au travail qu’elle m’a fourni que j’ai pu tenir le coup lors de l’évènement le plus tragique que j’ai connu dans ma vie, la mort de ma mère.

Ma mère est tombée malade deux ans après mon retour en Scandinavie. Une maudite tumeur au cerveau… J’ai fait tout ce que j’ai pu pour la sauver, j’ai fait appel aux meilleurs médecins moldus et aux meilleurs guérisseurs, mais aucun d’eux n’a pu l’aider. J’ai cru devenir fou. J’ai vu son état se dégrader petit à petit, je l’ai vu revivre des moments insupportables de son enfance, oublier qui elle était, oublier qui j’étais… Sans elle, je n’étais rien. Elle était tout pour moi. C’est pendant cette période que j’ai commencé à boire. Régulièrement je veux dire. Encore plus régulièrement que ce n’était déjà le cas si vous préférez. Ça m’aidait à oublier que ma mère n’était plus ma mère. Ça m’aidait à penser à autre chose…

Un an plus tard, ma mère disparaissait et je me retrouvais complètement seul. Je n’avais aucun véritable ami, je n’avais toujours compté que sur ma mère, elle était la seule personne en qui j’avais confiance et maintenant elle n’était plus là... Je lui ai rendu les plus beaux hommages qu’un fils puisse rendre à sa mère, mais je ne suis pas sûr que cela ait été suffisant au vu de tout ce qu’elle m’avait apporté.

Les années qui suivirent furent les plus difficiles de mon existence. J’étais quasi continuellement sous l’effet de l’alcool. Je buvais matin midi et soir. Je ne savais plus ce que sobriété signifiait. Heureusement que j’avais mon entreprise pour m’occuper. Je n’y ai jamais passé autant de temps que durant cette période. Je ne voulais plus retourner dans notre maison, dans cette immense propriété où j’étais seul, sans elle. Qui me rappelait tant de souvenirs. Il m’arrivait très souvent de dormir au bureau ou même, de ne pas dormir du tout.

Le point positif de tout ça, c’est qu’avec tout le travail que j’ai accompli, ma compagnie a pris une ampleur considérable sur le marché, c’est à ce moment-là que j’ai décidé de changer son nom et de la rebaptiser la SAJ & co. C’est aussi pendant cette période que j’ai commencé à me lancer dans des affaires quelque peu douteuses. Mais après tout, je n’avais rien à perdre. J’ai commencé à avoir des rapports avec des personnes très peu fréquentables et à tremper dans toutes sortes de combines.

Aujourd’hui, je suis relié à tellement de réseaux, que moi-même je serais incapable de dire ce qui dépend de moi, ce dont je suis commanditaire avec exactitude. Fort heureusement, il est très peu probable que l’on parvienne à remonter jusqu’à moi et la SAJ & co. J’ai tout fait pour nous protéger moi et mon entreprise. Je sais que ma mère ne serait pas très fière de moi. Mais il faut dire que ce genre d'affaires à tendance à rapporter gros, parfois plus que les revenus que peuvent générer la SAJ & co. C’est vous dire à quel point ça peut être intéressant. (Si vous êtes intéressé, n’hésitez pas à me contacter).

Aujourd’hui j’ai réussi à remonter la pente, même si ça n’a pas été facile. Le chemin a été dur et semé d’embûches, mais je dirais quand j’ai réussi à trouver un certain équilibre dans ma vie. J’aime organiser de nombreux galas et fêtes, parfois dans mon immense demeure - ceci me permettant de ne pas laisser le lieu se dégrader faute de m’y rendre régulièrement - ou dans des salles de renoms où viennent profiter de mon hospitalité les grands noms de la communauté moldu et parfois sorcière. J’évite toutefois d’y inviter la gangrène des sang-purs - sauf pour quelques faibles exceptions. Oui, ça peut-être considéré comme de la discrimination. Et entre nous, laissez-moi vous assurer que je n’en ai cure.

Je pense que j’ai fait le tour des moments les plus importants de mon existence. Vous me pardonnerez pour les trop nombreux détails et l’atroce longueur de mon discours. J’ai souvent tendance à me laisser emporter. Si vous avez eu le courage de tout lire de bout en bout, je vous félicite. Un petit cocktail est organisé dans la salle d’à côté, si vous voulez vous y rendre, je vous y accueillerais avec grand plaisir !
Nayir Forslöf
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TRØBBEL För att nå toppen av trädet måste du sikta mot himlen
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Ozymandias Mørk
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re bienvenue Stanislas Anae Jensen 1542468671 et bonne rédaction de fiche Stanislas Anae Jensen 3076121147


all your faith, all your rage, all your pain, it ain't over now /// it's the cruel beast that you feed, it's your burning, yearning, need to bleed through the spillways of your soul.
Fredrikke Mørk
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Rebienvenue ici Stanislas Anae Jensen 362035032 Stanislas Anae Jensen 1376595387
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Nyx Adelsköld
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UKJENT Alla vill ha välstånd, men få vet hur de kan njuta av det
Rebienvenuuuuue Stanislas Anae Jensen 1887480256Stanislas Anae Jensen 1887480256

J'ai vraiment hâte d'en découvrir plus Stanislas Anae Jensen 1031591426
Et puis c'est pas si courant de voir notre cher Leo Stanislas Anae Jensen 1562835871
Freyda Stavanger
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Ce serait probablement un peu étrange de ma part de te souhaiter la (re)bienvenue sur un forum que tu connais mieux que moi, alors disons simplement que je suis curieuse de découvrir bientôt plus en détails ce nouveau personnage !!
Magni Hammarskjöld
Magni Hammarskjöld
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Rebienvenue à toi !

J'ai hâte de découvrir ce nouveau personnage Stanislas Anae Jensen 1073100977
Bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Stanislas Anae Jensen 3581621498



Although I felt like giving up It's not the road I chose
Stanislas Jensen
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Merci tout le monde ! Stanislas Anae Jensen 1376595387 Stanislas Anae Jensen 3488002258
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