Patronus C’est sa fille Vanja, qui lui demandait régulièrement de le faire apparaître, tellement elle aimait son patronus dans son plus jeune âge. Tellement elle trouvait qu’il lui convenait bien. Un ours. Enorme. Effrayant. Mais qui semble toujours avoir un petit sourire sur sa gueule lorsqu’il est appelé pour faire plaisir à la cadette. Un patronus qui s’est retrouvé face à un miroir un jour avec la première forme qu’avait pris sa Fylgja, pour le plus grand plaisir de sa fille. Qu’elle n’avait pas été sa merveilleuse surprise que de voir l’écran de fumée devenir Ours. Baguette Chataignier plus que variable, bien trop sensible à ses états d’âme, à ses sautes d’humeur et à ses changements d’attitudes d’après Viktor, mais ne pourrai jamais s’en séparer. Crin de Sombral, assez ironique quand on y pense. Dure comme du vieux chien, et longue comme son bras.  Amortentia Le parfum de sa femme. Le parfum de ses cheveux. Et une vague odeur d’écaille de dragon ? Il a toujours été très nul pour décrire les odeurs. Mais celles-ci, malgré les noms qu’il ne peut leur donner, ils les reconnaitraient entre mille. Miroir du Riséd: Sa famille. Tout autour de lui. Chacun ayant sa main posée sur son large dos. Épouvantard Sa famille. Tout autour de lui. Chacun ayant une main ensanglantée posée sur son frêle dos.

Fylgia Ours Brun d'Europe. C'est la première forme qu'elle a prise. Sous un accès de colère, cette fumée, cet écran de fumée, qui le suivait partout, a soudainement rugis de ce cri d'ours déjà bien connu grâce au Patronus. Il s'était mis - un de ces rares moments - en colère contre Vanja qui ne l'écoutait pas, plus. Et tout d'un coup : l'ours. Qui n'avait pas rugi contre Vanja, mais contre lui, tonitruant, dans sa tête, dans le couloir. Qui avait rugi contre lui, le faisant comprendre que sa colère ne devait être. Le lien, déjà bien fort, s'était alors alourdit, forcit, depuis ce jour. Et puis, il devait la remercier, pour avoir fait réapparaitre le cri, l'expression, ravie, sur le joli visage de sa Vanja.

Un autre jour de colère, mais cette fois sur les Mork, pendant un repas de famille dans lequel il s'était incrusté, était apparu un Boutefeu Catalan. Quelle ne fut pas sa surprise, quand il l'a vit prendre forme tout doucement, au-dessus de sa tête, ses ailes amenant un vent de plus en plus réel et sa gueule crachant un feu tout aussi vrai. Il avait alors ris. De bon cœur. Et s'en été allé. Sans en demander plus. Il avait fait l'effet qu'il voulait. Ce fut Lotte cette fois, qui cria, ravie, de cette nouvelle forme.

En ce moment, il sent sa Fylgja se trémousser, se bouger, d'une nouvelle manière. Il sait, qu'elle ne va pas tarder à prendre une troisième forme. Il a hâte de la découvrir. (renard bleu.)

Alignement Sans Nom. Il ne le crie pour l'instant pas sous tout les toits. Sa femme est au courant et semble vouloir le rejoindre. C'est un peu sa fille, à force d'en parler, qui l'a convaincu.

Famille Une famille qu’il a toujours abhorrée. Toujours mis à part parce qu’il ne pensait pas comme eux. L’autoritarisme puant et la manière stricte d’élever les enfants l’a toujours rebuté. Il n’a jamais aimé leur attribution aux ténèbres et le fait de jouer avec les gens, le monde, pour pouvoir assouvir leurs besoins et surtout leurs envies de grandir, d’atteindre les sommets, toujours plus hauts, toujours plus difficilement atteignable. Qu’elle ne fût pas son soulagement quand apparut devant lui sa future femme, Lotte Brynjolf, qui lui fit découvrir un monde où il pouvait, enfin, être lui-même, où il pouvait enfin, venir en aide aux autres, où il pouvait enfin, aimer la lumière. Pourtant, la provenance de son sang le met toujours mal à l’aise, surtout lorsqu’il rencontre le reste de la famille. Il se sent toujours un peu à l’écart. C’est peut-être pour ça qu’il donne tant d’amour à ses enfants. Pour qu’aucun ne se sentent aussi mal à l’aise que lui a pu se sentir dans son plus jeune âge.

Mais il s’est fait la promesse de revenir, un jour ; revenir parmi les Mork. Pour leur montrer. Leur faire comprendre. Combien ils sont dans le tort. Combien ils sont dans le flou. Que l’avenir c’était les Brynjolf et tout ceux qui s’alliaient à eux. Que le passé, c’était eux.

Allégeance Allégeance tout d’abord à Trobbel. Une allégeance qui lui pèse tant elle n’est pas en accord avec son être. Puis enfin, une association qui lui va bien, celle avec Styrke. Pour qui son cœur résonne beaucoup plus. Toutes ces idées qui entourent ce clan, les divinités affiliées, faisaient vibrer son âme. Les Conquérants se devaient de faire partir des Styrke, il le savait, il le sentait.

Particularité magique C’était tombé sur lui. Le gène aléatoire avait décidé de venir en lui, sur toute la famille. La première fois, juste quelque mois après que sa magie soit arrivée en lui, cela lui avait fait très peur. Malgré tout, il a grandi pour mieux apprécier sa malédiction, qu’il voit maintenant plus comme un don. Régulièrement, il se balade dans les cimetières et demandent aux personnes à ses côtés si elles veulent savoir comment vont leurs morts. Et la plupart d’entre eux sont reconnaissants de le savoir. Et c’est grâce à cette reconnaissance qu’il a appris à aimer son don. Il sait qu’il y a une autre Hemskot dans la famille, mais n’a jamais voulu s’approcher d’elle.

Trivia
Aime se balader dans les cimetières d’animaux. Les esprits morts des animaux étant beaucoup moins farouches et vindicatifs comparé à ceux des humains. Ceux des humains ont toujours des regrets, des idées de vengeance, des idées sombres et noires. Rien de mieux que d’avoir l’esprit d’un chien courir vers vous, vous traverser et vous regarder alors avec une incrédulité écrite sur la gueule, telle que Viktor ne puisse s’empêcher d’en rire, à chaque fois.

N’entretiens plus aucune relation avec la famille Mork depuis son mariage avec Lotte. Est pourtant toujours abonné à leur newsletter. N’hésite pas à s’inviter au repas de famille, sans Lotte qui les exècre au plus haut point, pour gêner, pour angoisser.

Aime fumer des cigares, au grand dam de ses enfants. Lotte aime le style que cela lui donne. Fume des cigarettes le reste du temps.

Est recouvert de tatouages mais n’aime pas les montrer, il préfère les garder pour lui et les personnes qui le connaissent dans son intimité. Les montre seulement quand il sait que cela pourrait faire peur. Ses enfants se sont déjà amusés, même encore maintenant d'ailleurs, à les colorier.

Il a choisi la nécromancie pour pouvoir utiliser son don de la meilleure des manières et pour faire comprendre au monde qu’il n’y a rien de sacré dans la mort, qu’elle fait juste partie de la vie.

Sans Nom, il a décidé de créer une bande de curieux pour en découvrir un peu plus sur les nouveautés de la magie : les Citagazze.