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Joy fills my lungs with air ( Topic commun)
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Ása Strandgaard
Ina Falkenberg
Jasper Strandgaard
Ozymandias Mørk
Magni Hammarskjöld
Sebastian Prince Amundsen
Venceslas Lund
Alfhild Mørk
DOOMSDAY
13 participants
Venceslas Lund
Venceslas Lund
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
Il jette un coup d'oeil en arrière pour s'assurer qu'elle va bien, Alfhild, et qu'elle n'est pas surchargé de toutes les paroles qu'il lui envoie, puis son sourire, sa démarche sautillante et son attitude générale lui font immédiatement oublier ce sursaut d'inquiétude, son large sourire toujours en place. Ça faisait longtemps qu'il n'avait pas souri autant, le Lund, mais il a l'impression que depuis l'annonce du Festival il ne fait que ça. « Je veux touuut faire en même temps ! » Il glousse, hoche la tête parce que, bien sûr, lui aussi il veut tout faire, tout tester et si possible avec la jeune femme.   « Mais d'abord le feu d'artifice ! Ça va être chouette avec la réflexion du lac. Eh ! D'ailleurs, j'ai vu sur le prospectus qu'il y a une légende ? J'ai jamais entendu parler du lac Mjörn avant. Tu sais des choses ? Racooooonte ! Et oh ! J'ai entendu parler d'un jeu où on peut gagner des trucs drôles ? Et d'un camping ? » Il hoche vigoureusement la tête à chaque réflexion de la blonde - lui aussi s'est dit pareil avec la réflexion, ça va être un spectacle haut en couleur, c'est sûr. Les questions s'enchaînent, il les enregistre plus ou moins, ricane à certaines et quand il y a une pause dans l'interrogatoire, il s'apprête à répondre à celles dont il se souvient quand une main se pose sur son bras. Dans la foulée, la main d'Alfhi' quitte la sienne et il cille rapidement, confus de l'enchaînement avant de reconnaître la voix qui s'adresse à lui.
« Je t’ai cherché au stand. Comment t’as réussi à avoir ta soirée ? »  Son sourire revenu sur ses lèvres, il se retourne vivement vers la jeune femme,  « Ása !» » Il salue joyeusement alors qu'elle se tourne pour se présenter à Alfhild. Il secoue la tête pour nier un quelconque dérangement, mais c'est la blonde qui reprend la parole, lui tirant un gloussement approbateur avec le commentaire sur les cheveux de la jeune femme, « Alfhild, ravie de te rencontrer. Tu as des cheveux magnifiques. Tu nous a coupé dans notre élan vers la plage, je voudrais tester le doux du sable. » Elle enchaîne rapidement, « Mais à trois on aura encore plus d'élan. Tu viens avec nous ? » Immédiatement, Venceslas acquiesce vigoureusement. A trois iels ne pourront que mieux s'amuser c'est évident et comme elle reprend leur route avec autant d'enthousiasme qu'avant, il lui emboîte le pas, attrapant doucement la brune pour l'entraîner avec elleux.   « J'ai proposé de faire du bénévolat au stand d'herboristerie. C'est comme ça, que j'ai réussi à subtiliser Vence à son dur labeur ! » La plage est là, les chaussures de Vence disparaissent dans la foulée pour mieux fouler le sable, profiter de sa douceur, « Wah ! Tu avais raison ! Siiii doux ! » Un rire et il réplique,  «Tu vois, je savais que ça te plairait ! » Il fait joyeusement, se tournant vers Ása pour enchaîner,  « Alfhi' vient souvent me voir à la boutique quand elle est en ville, tu la croiseras, tu verras elle est géniale ! Je crois que les plantes de l'arrière boutique l'aiment beaucoup.» Même s'il n'est pas censé lui montrer l'arrière boutique mais, hé, il y a après tout une des caches des Sans-Noms la-dedans. Il se tourne vers ladite Alfhi' pour enchaîner,  « Ása c'est ma nouvelle collègue, Evald l'a embauchée pour qu'on puisse mieux fonctionner cet été !» Il prend un ton plus bas, l'air de rien, « Et c'est une amie, elle m'a beaucoup aidé quand ça devenait… Assez chaud dans ma vie.» Il ne peut pas s'empêcher de glousser à sa propre métaphore avant de soudainement claquer des mains, beaucoup trop heureux d'être entouré de gens qu'il aime à un évènement pareil.  « J'ai vu un serveur là-bas, j'vais nous chercher à boire, j'arriiive !» Et il file, pieds nus dans le sable, bousculant des gens sans vraiment y faire attention alors que le premier sifflement des fusées retentit. Oh, oui, il faudra qu'il raconte ce qu'il sait de la légende
@Ása Strandgaard  @Alfhild Mørk

Spoiler:
Einar Bråthen
Einar Bråthen
SKJERME Förtroende som beviljas utesluter inte uppmätt misstro
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La journée d'installation a été intense. Entre sa découverte du lieu et toutes les personnes rencontrées, Einar se sent un peu dépassé. Il appréhende aussi les cours de musique qu'il va donner durant le festival –quelques heures par-ci par-là, histoire de gagner un peu d'argent. Après avoir bu d'une traite son cocktail, il s'est éloigné de la foule pour s'installer au bord du lac au calme. Un début de mal de tête a pointé son nez alors qu'il essaye de refouler les premières visions induites par toute cette agitation. Après quelques minutes de silence, les premiers Näcken ont osé sortir leur nez de l'eau et ont commencé à jouer de leurs violons sous le regard fasciné du musicien. Il avait entendu parler de ces êtres d'eau, peut-être lu quelques textes sur elleux en cours, mais les voir en vrai, à l’œuvre, c'est tout autre chose. Il faudra absolument qu'il reviennent avec son violoncelle pour voir si les créatures aquatiques accepteraient de jouer avec lui ! Il applaudit poliment à la fin du dernier morceau et les Näcken disparaissent subitement lorsqu'une voix se fait entendre :  « Regarde ce que j’ai gagné. Le gérant m’a dit que c’était des bracelets de l’amitié. ». Einar se retourne avec un sourire et la voit agiter deux bracelets tressés. « Par contre c’est con, je sais pas trop à qui le donner.Si un nom me vient en tête je te tiendrai au courant !» plaisante-t-il avant de lui tendre son poignet, sur lequel elle vient glisser un des bracelets. « Ils sont beaux, merci Ina ! » murmure-t-il en faisant jouer son poignet pour observer le petit cercle tressé, touché qu'elle ait pensé à lui pour le donner. « Faudra qu’on y retourne tout à l’heure, je crois que je peux rejouer. - Moi j'ai perdu… Un super premier jour ! » il grommelle avant de rire. Ina s'assoit à côté de lui et demande : « Qu’est-ce que tu fais là, tout seul dans ton coin ? T’as demandé ton cocktail gratuit ? Pas ouf. ». il rit à nouveau devant sa grimace et hoche la tête « Non j'ai testé, c'était pas mal ! Mais j'avais besoin d'une pause, le festival est assez… intense. » Il ne précise rien de plus,  conscient qu'elle sait et comprend. l soupire et se penche en arrière pour regarder le ciel. « Je regardais les Näcken jouer, mais tu leur as fait peur. Peut-être qu'iels ressortiront d'ici les feux d'artifices. Ce sera pas mal à voir d'ici. Il y aura les reflets sur l'eau ça va être sympa… » il sourit vers le ciel « Je suis content d'avoir accepté de venir ! »

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Ása Strandgaard
Ása Strandgaard
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Son sourire ne quitte plus ses lèvres à partir du moment où elle trouve son ami, contente d’avoir finalement pu tomber sur lui par hasard. « Ása !» s’exclame-t-il en la voyant, visiblement heureux lui aussi. A ses côtés, la jeune femme blonde la regarde avec intérêt, ce qui la déstabilise un instant. « Alfhild, ravie de te rencontrer. Tu as des cheveux magnifiques. Tu nous a coupé dans notre élan vers la plage, je voudrais tester le doux du sable. Mais à trois on aura encore plus d'élan. Tu viens avec nous ? » Puis avant qu’Ása n’ait pu prononcer le moindre mot, elle est repartie, la laissant bafouillante, flattée de son compliment. Vence lui tend la main, qu’elle attrape avec soulagement, ayant peur sinon de les perdre à nouveau entre tous les corps qui se dirigent vers la plage. « J'ai proposé de faire du bénévolat au stand d'herboristerie. C'est comme ça, que j'ai réussi à subtiliser Vence à son dur labeur ! » « Bien joué, il aime pas trop négocier, » lui crie Ása, ne trouvant pas le courage d’ajouter plus avec le bruit qui les enveloppe. Iels arrivent rapidement sur la plage et voyant son ami se débarrasser de ses chaussures et Alfhild les orteils déjà profondément enfoncés dans le sable, elle les imite et prend ses sandales à la main, le contact du sable doux lui arrachant un nouveau sourire. Elle dépose Eskil par terre, la foule plus dispersée et il fait immédiatement quelques tours sur lui-même, content également d’avoir retrouvé le sable. Une plage de lac en Scandinavie est loin de celles qu’elle a connu aux Philippines dans son enfance mais la sensation la ramène quand même immédiatement à ces moments, même si elle a connu d’autres plages depuis, la lune brillant avec la même intensité au-dessus d’elle. « Wah ! Tu avais raison ! Siiii doux ! » s’exclame Alfhild en se tournant vers Vence. « Tu vois, je savais que ça te plairait ! » Il se tourne alors vers Ása, qui bouge le sable du pied un sourire distrait aux lèvres, impressionnée elle aussi de ce qu’iels ont réussi à accomplir. « Alfhi' vient souvent me voir à la boutique quand elle est en ville, tu la croiseras, tu verras elle est géniale ! Je crois que les plantes de l'arrière boutique l'aiment beaucoup. Ása c'est ma nouvelle collègue, Evald l'a embauchée pour qu'on puisse mieux fonctionner cet été ! Et c'est une amie, elle m'a beaucoup aidé quand ça devenait… Assez chaud dans ma vie.» Il ne mentionne pas le fait qu’iels viennent de se retrouver, après presque trois ans de silence et elle lui en est reconnaissante, n’ayant aucune envie de ressasser ça à cet instant. Elle hoche la tête en regardant Alfhild. « N’hésite pas à passer si tu es à Göteborg, c’est moi qui suis à la boutique pendant le festival, » lui explique-t-elle.  « J'ai vu un serveur là-bas, j'vais nous chercher à boire, j'arriiive ! » Et sans un mot de plus, Vence les laisse, bousculant plusieurs personnes sur son passage. Ása se retourne vers Alfhild, curieuse de continuer d’avoir une conversation avec elle. Mais alors qu’elle s’apprête à lui poser une question, le premier feu d’artifice éclate au-dessus d’elle et elle lève les yeux, émerveillée. « Vence va tout rater, » glisse-t-elle à Alfhild après plusieurs secondes, amusée du timing de son ami.  

Spoiler:


you see the sea breathe in shuddering breaths and look to his lover lit by the sun’s rays, and you’ll think this is the true story. the true love. not between icarus and the sun, but between something of the sky and the depth of the sea.
Freyda Stavanger
Freyda Stavanger
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https://thedoomsday.forumactif.com/t2276-freyda-stavanger#48059https://thedoomsday.forumactif.com/t2277-freyda-o-be-yourself-everyone-else-is-already-taken#48101


Si quelqu'un avait un jour douté de leur lien de parenté, il lui aurait suffi d'un coup d'œil aux trois femmes Stavanger qui dévisageaient le festival avec de grands yeux émerveillés pour comprendre son erreur. La même expression d'enchantement presque enfantin était dessinée sur le visage de Freyda, et des jumelles Sierra et Astrid.
A l'admiration évidente suscitée par le cadre, l'ambiance, bref, par l'essence même du festival, s'ajoutait chez Freyda la joie sauvage de partager ce moment avec ses deux filles. Elle leva son verre, cocktail aux effluves savoureuses, et gratuit, ce qui ne gâchait rien, portant un toast :

« A nous ! »

On l'avait connue plus volubile... la faute à toute cette émotion qui venait mettre un joyeux bazar dans ses idées.

Ce ne fut qu'un peu plus tard que Freyda nota une sensation étrange. Elle, qui s'était pourtant montrée raisonnable en optant pour le mocktail, se sentait un peu chose. Elle continua de déambuler au milieu de la foule, quelques pas en arrière des jumelles qui rattrapaient le temps perdu à grands renforts de rire et de discours enfiévrés... si on pouvait appeler "déambuler" le fait de se vautrer royalement dans l'herbe. Pour la consoler, certain.e.s diraient qu'un moment de maladresse était le lot de chacun.e mais elle était, de par son métier, habituée à jouer les équilibristes toute en élégance et agilité. Manquer de grâce à ce degré de ridicule n'était pas son genre.
Le verre, qu'elle avait réussi à sauvegarder au cours de sa chute, lui échappa à son tour des doigts...

* Mes doigts !!?! *

... qui avaient perdu leur caractère délié pour n'être plus que des ...
Freyda dut cligner deux fois des yeux pour s'assurer qu'elle ne voyait pas trouble.
Des palmes. Elle avait des palmes à la place des mains... et, au vu de ses sensations, ses pieds aussi s'étaient métamorphosés. Pas étonnant qu'elle ait chu aussi lamentablement !
Elle ne possédait certes pas une éducation magique conventionnelle, mais il ne fallait pas avoir trois APSICs, cinq CHIENs ou n'importe quel diplôme supérieur, pour comprendre qu'elle venait d'être ensorcelée. Et très peu de doute subsistait dans son esprit quant au fait que le blâme était à porter sur le fameux cocktail. Offert par la Coopération qu'iels disaient.

Ayant retrouvé la verticale, et finalement plus amusée qu'agacée (bien qu'ennuyée d'avoir vu disparaître Astrid et Sierra de son champ visuel), Freyda songea que si certaines boissons étaient "épicées", c'était une façon comme une autre d'animer la soirée.
Tout en guettant les silhouettes de ses filles parmi les innombrables sorciers.ères présent.e.s pour l'inauguration, ses yeux tombèrent sur un homme de dos, visiblement lui aussi victime du sens de l'humour des organisateurs.trices : ses cheveux venaient de virer au violet !

Maladroitement (essayez donc de déambuler avec des pieds palmés), Freyda s'approcha de ce compagnon d'infortune qui lui tournait le dos :

« Sympathiques, ces petits effets secondaires, non ? », lança-t-elle, en anglais.

Bon, à noter pour la prochaine fois : attendre la fin d'un feu d'artifice (magnifique soit dit en passant) avant d'essayer de communiquer.

Spoiler:
Ina Falkenberg
Ina Falkenberg
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« Si un nom me vient en tête je te tiendrai au courant ! » Elle lui attache le bracelet avec un sourire, note qu’il a l’air touché, ce qui ne fait que lui faire d’avantage plaisir de lui donner. « Ils sont beaux, merci Ina ! » Elle le pousse légèrement avec son épaule, comme pour lui dire qu’il n’a pas besoin de la remercier. « J’ai menti, je suis tout de suite partie te chercher en les gagnant, » admet-elle, le nez froncé, regrettant un peu d’être aussi niaise. Elle ne compte ses amis proches plus que sur les doigts de la main, et Einar a définitivement mérité cette place, l’ayant accompagné en Irlande les mois précédant. « Moi j'ai perdu… Un super premier jour ! » « Fallait être plus doué, qu’est-ce que tu veux. » Elle goûte son cocktail, fade à son goût. Elle sait qu’elle peut faire bien mieux. « Non j'ai testé, c'était pas mal ! Mais j'avais besoin d'une pause, le festival est assez… intense. » Elle hoche la tête, ne relève pas mais comprend le sentiment, l’ambiance étant frénétique pour ce début de festival. « Je regardais les Näcken jouer, mais tu leur as fait peur. Peut-être qu'iels ressortiront d'ici les feux d'artifices. Ce sera pas mal à voir d'ici. Il y aura les reflets sur l'eau ça va être sympa… Je suis content d'avoir accepté de venir ! » Elle lui sourit à nouveau, puis regarde le ciel aussi, sombre et parsemé d’étoiles. « Moi aussi je suis contente. Merci de m’avoir proposé de venir donner des cours avec toi, c’est une bonne idée. » Elle n’a pas encore eu l’occasion mais il l'a convaincue de donner des cours de piano à l'un des ateliers du festival. Une bonne distraction pour se calmer les nerfs, ses premiers matchs approchant à grand pas. « On peut rester ici, je peux toujours aller nous chercher des verres si tu veux. Et je vais me taire alors, peut-être que les Näcken reviendront, » ajoute-t-elle en chuchotant. Elle se tait, finit son cocktail en silence avant de planter le verre vide dans le sable et regarde le ciel à son tour, profitant du calme qui les enveloppe, le bruit des festivités plus lointain, étouffé. Le premier feu d’artifice fuse et explose au-dessus d’elleux, les illuminant de rouge et d’or, les étincelles ensorcelées formant des dessins appliqués dans le ciel. Le bruit a définitivement dû faire fuir les Näcken mais un sourire immense lui couvre le bas du visage, alors qu’elle observe avec attention la suite du spectacle, toujours en silence. Prise d’un sentiment saisissant de gratitude, elle pose la tête sur l’épaule de son ami, les yeux levés vers les cieux, heureuse d’être là avec lui.

Spoiler:


i'm only whatever you make me
and you make me more and more a villain every day. well, if you're a hater, then hate the creator, it's in your image i'm made.
Jasper Strandgaard
Jasper Strandgaard
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Le commentaire d'Aksel sur ses cheveux gêne incroyablement Jasper, l'empêchant définitivement d'ignorer les réactions de son corps face à la seule vision - de loin, en  plus - d'Ozymandias. Et son regard fasciné, son sourire ravi, n'aide pas vraiment alors il saisit l'enfant par les épaules et le tourne vers le lac, là où les fusées explosent, se reflétant sur le miroir d'eau qu'il représente, dévoilant des formes incroyables. Clairement les artificiers savaient ce qu'ils faisaient, profitant largement de l'effet miroir pour accentuer leur spectacle. « Un jour je t'expliquerais peut-être mes couleurs, mais pour le moment regarde plutôt le feu ! » Aksel essaie de protester, il le sent à la tension des épaules sous sa main mais, comme prévu, la vision des couleurs se mêlant dans le ciel lui tire une exclamation fascinée et il se détend à nouveau, victime de son manque de capacité à rester concentré. C'est mal de sa part de profiter ainsi d'une faiblesse de son neveu, mais il en va de sa tranquillité d'esprit : Il n'a pas la moindre envie de discuter de ses émotions et ressentis au beau milieu d'une foule, merci bien.
Il s'apprête à se laisser aller lui aussi à l'admiration du spectacle - est-ce que les lumières forment l'apparence de créatures ? Fascinant. - quand une voix retentit dans son dos, un accent étranger, des mots étrangers mais une voix qui lui semble connaître un peu ?  Et il se retourne, sourcils froncés. Il n'a pas tout compris - la langue plus le feu rend la communication compliquée - et son regard fixe la femme avec curiosité. Ses yeux posés sur ses cheveux le tendent un peu mais son attention est vite captée par les palmes qu'elle a à la place des mains. Qu'est-ce que …? Est-ce que c'est une demi-sirène ? Mais elle est hors de l'eau, là, elle n'est pas censée avoir encore ses attributs ? Surtout qu'elle a l'air complètement sèche. « Excusez-moi je n'ai pas - » Il porte la main à son oreille dans le mouvement universel de : J'entends rien de ce que vous me dites. Une série de fusée explose à la suite et un bref silence s'installe juste après, Jasper en profitant immédiatement : « Qu'est-ce qu'il se passe ? Vous êtes une demi-sirène ? Mais vous n'êtes pas censées… Je vous connais non ?» Il est persuadé de la connaître, mais le monde, la luminosité, l'alcool - et les palmes - l'empêchent de mettre un nom sur la femme.

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Nayir Forslöf
Nayir Forslöf
TRØBBEL För att nå toppen av trädet måste du sikta mot himlen
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joy feels my lungs
with air
15 juillet 2024 (topic commun)

C'est une sensation inhabituelle, peu agréable. Une sensation qui lui donne l'impression que son costume n'est pas ajusté comme il le faudrait, une sensation qui le pousse à se racler la gorge trop régulièrement, à déglutir difficilement, à regarder vers sa droite à intervalles trop réguliers. Une sensation qui fait s'agiter Nur, qui abandonne ses habituelles écailles au profit de sa forme féline. Le petit chat sphinx trottine derrière lui, zig zague entre les pieds des humain.e.s, s'aventure parfois trop près de @"Yazhu Admunsen" et Nayir lui envoie des regards noirs. Il voudrait qu'elle soit sur son épaule, à murmurer des mots réconfortants à son oreille, plutôt qu'à un mètre quatre-vingt-dix de lui, au sol.

Une fois n'est pas coutume, Nayir est mal à l'aise et il le vit mal. Parfaitement vêtu d'une longue jupe bleu nuit où dansent les astres, brodés de fils d'or, et quelques voitures volantes rutilantes, d'une chemise gris anthracite et d'une cape enchantée pour parfaitement tomber à ses chevilles, il peine à trouver pied dans son rôle du jour : il est fiancé et parade sa nouvelle épouse à son bras. Mais elle ne lui a pas accordé un regard franc, pas un mot au-delà des cérémoniels contraints devant leurs parents respectifs. Il a beau s'évertuer à être charmant, il sent son sourire se figer exponentiellement pour ce public difficile : non pas la foule autour d'elleux, mais bel et bien la seule Yazhu.

Iels prennent place au premier rang d'il ne sait quelle niche de luxe ; Nayir n'a pas même pris la peine de faire attention au chemin dessiné pour elleux par leurs familles. Il réclame un verre alcoolisé, très alcoolisé, et croise ses longues jambes devant lui en attendant que le spectacle commence. Les oreilles claniques sont trop alertes pour qu'il tente la moindre plaisanterie à l'égard de sa fiancée et il ne se sent pas le courage d'engager les mondanités, pas avec l'aura puissante de Yazhu à ses côtés, même si Nur s'efforce de ronronner sur ses genoux ; pour elle non plus, la situation n'est pas agréable, et elle n'a pas le ronron aisé.

Le duo attend donc que les feux d'artifice commencent à éclater, le bruit des explosifs et de la foule en extase noyant leurs manigances, pour se pencher vers Yazhu et Excelsior. La chatte s'étire nonchalamment vers l'autre fylgia et Nayir se penche à l'oreille de la Amundsen : « Yazhu... » Il hésite en entendant la supplication dans sa voix, peu habitué à ce registre. « Yazhu, je te promets que je n'y suis pour rien, que j'ai essayé depuis l'annonce de les faire changer d'avis. » Une fois n'est pas coutume, Nayir n'a pas l'impression d'être le roi sur l'échiquier. Il ne connait pas bien les ouvertures des pions, avance en terrain inconnu, a l'impression que le sol peut à tout instant s'ébouler sous ses pieds. A situation exceptionnelle, solution d'urgence : la sincérité est sa dernière arme.

Lui ne rêve que d'une chose, sous les feux d'artifice colorés : que face à l'adversité nouvelle, il ait au moins une alliée, plutôt que d'être réduit et de la réduire au rang de victime d'une saga familiale où iels ne seraient que des notes de bas de page.

résumé:


Freyda Stavanger
Freyda Stavanger
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C'était déjà un exploit que l'homme aux cheveux violets se soit retourné. Il aurait fallu que Freyda songe sérieusement à jouer à la loterie magique, si, en plus, iels avaient réussi à communiquer de manière fluide et sensée.
De son discours un peu décousu, elle ne saisit que quelques mots au vol. "Sirène" étant celui qui accrocha particulièrement son oreille et se fraya un chemin parsemé de doutes, d'interrogations jusqu'aux tréfonds de sa psyché. Tout en faisant fondre le semblant de sourire qui parait son visage.

Sirène. Elle n'avait pas envisagé une seule seconde que la métamorphose partielle dont elle était victime puisse ... aller plus loin. Mais à l'évocation de la créature aquatique, un malaise intérieur commença à prendre racine. Une sirène, version intégrale. Voilà qui serait bien moins amusant.  Des mains palmées, pourquoi pas, mais la panoplie complète, hum, sans façon.
Elle ne sentait pas progresser la transformation, néanmoins.  Peut-être cela dépendait-il du nombre de gorgées avalées ? Dans le doute, et sans réfléchir une seconde à l'étrange spectacle qu'elle pouvait offrir à Mr Purple, elle déversa le contenu de son gobelet sur le sol.
Bien évidemment, sa légère hypocondrie ne se satisfit pas de ce seul sacrifice. Freyda avait beau s'en défendre, il lui semblait ressentir des frémissements parcourir la couche intérieure de son épiderme. Et son imagination bien trop galopante commença à lui dessiner des scénarios extravagants de transformation intégrale. Oh, elle aurait très probablement un certain style, ainsi métamorphosée, à moins que... Éclair de panique : la mutation incluait sans aucun doute l'apparition de branchies, qui rendait l'air ambiant irrespirable. Or, Freyda aimait bien respirer.
Quelle solution lui restait-il, alors ?
Ne pas affronter la suite des événements seule.
Dans un de ces instants de fébrilité où le cerveau se mettait en stand-by, Freyda s'empara de la main de son auto-proclamé compagnon d'infortune et l'attira dans une course d'obstacles (slalom entre festivalier.ères, saut par-dessus un sac échoué sur le sol, etc) qui aurait mérité sa place aux Jeux Olympiques moldus. La ligne d'arrivée ? Le lac, dans lequel elle se jeta avec enthousiasme, plutôt qu'avec élégance, lâchant Mr Purple au dernier moment.
Il pouvait bien lui pousser pléthore de branchies, elle serait safe pour vivre l'éventuelle suite de la transformation.

L'eau froide dut lui éclaircir les idées, car, alors qu'elle rejoignait la surface dans une gerbe de gouttelettes, et que son regard accrochait celui de son infortuné binôme, sa mémoire finit par lui envoyer un flash de reconnaissance.

« Oh ! »

Salve !

« Strandgaard. Salut. »

Un sourire éclatant quand, à l'intérieur, Freyda hésitait joyeusement entre la figue et le raisin.

Spoiler:
Alfhild Mørk
Alfhild Mørk
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Joy fills my lungs with air

15 juillet 2024



« Tu vois, je savais que ça te plairait ! » Et comment que ça lui plaît ! Elle est épatée que Vence la connaisse si bien, tout en étant complètement conquise par l'ensemble de ce qui s'illumine devant ses yeux éblouis. « Alfhi' vient souvent me voir à la boutique quand elle est en ville, tu la croiseras, tu verras elle est géniale ! Je crois que les plantes de l'arrière boutique l'aiment beaucoup. Ása c'est ma nouvelle collègue, Evald l'a embauchée pour qu'on puisse mieux fonctionner cet été ! Et c'est une amie, elle m'a beaucoup aidé quand ça devenait… Assez chaud dans ma vie.» Elle écoute la voix sautillante de son ami faire des présentations plus amples des deux jeunes femmes, et la Mørk reporte son attention sur la brune aux boucles si délicates qu'elles lui semblent être une forme de mousse de nuit. Elle hoche la tête en signe de compréhension, tout en se balançant doucement sur ses pieds, incapable de résister à l'envie de faire glisser ses orteils dans le sable fin et de jouer avec, dansant à moitié dans la foule. Elle pouffe avec Vence, quand il évoque la période chaude de sa vie. « N’hésite pas à passer si tu es à Göteborg, c’est moi qui suis à la boutique pendant le festival, » A nouveau, la sorcière hoche la tête, un large rire sur les lèvres, ne sachant pas encore si elle aura l'occasion d'aller à la boutique en ville en journée au vu de ses heures de travail au musée, et encore moins si elle osera y aller seule en sachant qu'elle y trouverait la jolie Ása comme seule interlocutrice. Avant qu'elle n'ait pu ajouter la moindre chose, Vence s'échappe lançant rapidement :  « J'ai vu un serveur là-bas, j'vais nous chercher à boire, j'arriiive ! » Qui attire l'attention d'Alfhild versa foule, mais sans apercevoir le serveur mentionné. Seule Dreymir lance une nouvelle trille excitée avant de s'envoler plus haut, faire un cercle rapide et de relancer sa mélodie quand la première fusée lumineuse se dresse dans un sifflement au-dessus du lac. Alfhild tape prestement des mains, se dressent sur ses pointes de pieds pour mieux profiter du spectacle avant d'ouvrir les bras en grand au premier son d'explosion, et de les ramener vers elle quand elle entend la voix de l'amie de Vence lui glisser un « Vence va tout rater. » Et en effet, le jeune herboriste n'est pas encore revenu avec les boissons annoncées. Alfhild le cherche une nouvelle fois du regard, avant d'être à nouveau distraite par une autre fusée lumineuse qui déverse un bleu électrique en cascade d'eau au-dessus des spectateurs. « Wah ! Tu as vu ça ? C'est magnifique ! Je suis sûre qu'il s'est simplement arrêté en chemin pour regarder. On pourrait aller à sa recherche mais, avec ma chance, on se retrouverait jamais. » Elle pouffe doucement, avant de pousser une nouvelle exclamation de joie en montrant une nouvelle fusée encore plus extraordinaire que la précédente. « Oh ! Tu as vu, on aurait dit un oiseau non ? Ou un dragon ? Tu as déjà vu des dragons toi ? Quoi c'était un peu petit pour un dragon. Et là ? Une askafroa ? C'est si beau. » Sa voix se fait plus douce, plus rêveuse, alors qu'elle se laisse envahir par son imagination au gré des changements de couleur et de forme qui se déverse en étoiles brillantes au-dessus du lac.



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Jasper Strandgaard
Jasper Strandgaard
GÖTEBORG Livet är en kamp, ​​du måste förbereda dig för striden
Aksel, conscient que l'attention de son parrain n'est pas du tout sur les - pourtant magnifiques - feux d'artifices qui décorent le ciel de milles couleurs fini par se retourner, observant avec une curiosité sans borne la femme qui semble vouloir parler à l'adulte. Et puis ce qui a frappé le plus vieux frappe finalement le plus jeune qui fronce les sourcils un peu confus, « Parrain, pourquoi elle a des palmes ?  C'est une Strandgaard ? » Tout aussi confus que son filleul et cherchant toujours à savoir où il a bien pu apercevoir cette personne, il tourne un regard rapide vers l'enfant, secouant légèrement la tête en signe de négation. Non, clairement pas une Strandgaard, il le saurait. Il garde toujours un oeil malgré lui sur les Demi de sa famille. Avant qu'il ait pu reprendre la parole, et sous le regard incrédule des deux sorciers, la femme renverse tout à coup son gobelet sur le sable, le liquide s'imprégnant rapidement à travers les grains, faisant s'exclamer Aksel immédiatement: «  Eeeh mais fallait me le donner si vous n'en vouliez plus madame !» « Aks' !» Souffle tout de suite Jasper, « Mais quoi, c'était un parasol rouge, y avait pas d'alcool !» Faîtes confiance à cet enfant pour repérer ce genre de détail, songe le métamorphomage plus amusé qu'autre chose.
Tout de même un peu inquiet des réactions étranges de cette personne, il entame un mouvement de recul, portant sa main sur l'épaule de son filleul pour l'entraîner un peu plus loin… Du moins, ça, c'était l'objectif de base. Parce que dans les faits ça ne se passe pas tout à fait de cette manière, et avant qu'il n'ait pu réagir, elle lui a mis la main dessus et l'a entraîné dans la course la plus bizarre qu'il ait eut à vivre depuis un long moment : Une femme palmée qui galope tant qu'elle peut à travers le sable, tirant derrière elle un sorcier aux cheveux mi-violet de son crush, mi-vert sombre de l'inquiétude qui commence à monter, qui lui même tire derrière lui son filleul qu'il a refusé de lâcher et de laisser seul dans la foule. Ou bien c'est l'inverse, et c'est Aksel qui s'est agrippé à lui quand il s'est fait entraîner, allez savoir. Dans tous les cas, après avoir manqué la chute une bonne dizaine de fois et s'être fait maudire au moins tout autant par les festivalier.ères qu'iels ont bousculé au passage, iels finissent par s'arrêter net au bord de l'eau alors que la femme, elle, y plonge sans une once d'hésitation. Et pourtant, elle doit pas être chaude à cette heure-ci.
Immédiatement il se retourne pour vérifier que son cadet va bien, mais celui-ci est trop occupé à rire pour pouvoir lui répondre, ce qui rassure malgré tout le parrain aux tendances un peu angoissées. Visiblement, la course a été très amusante aux yeux de l'enfant et il peut même l'entendre marmonner qu'il faudra absolument qu'il raconte à Aren comment il s'est fait kidnapper par une sirène au beau milieu du festival. Levant les yeux au ciel d'un air blasé - et pleinement rassuré - il se retourne vers la cause de tout ce remue-ménage, décidé à enfin comprendre ce qu'il se passe. La cause en question émerge de sous la surface dans une gerbe d'eau fraiche et leurs regards se croisent, et enfin il la remet. D'ailleurs, au vu de son exclamation, ça doit être réciproque : « Strandgaard. Salut. »  Cillant de reconnaissance, il secoue un peu la tête, « Stavanger …? » Il lâche, un peu incrédule. « Donc ça ne vous suffit pas de pénétrer dans une zone de fouille interdite au public, il faut aussi que vous essayez… Je ne sais même pas ce que vous avez essayé de faire. Et pourquoi vous avez des palmes ?» Parce que, au vu de sa réaction, ça n'est apparemment pas quelque chose de commun chez elle. Du moins, il espère, parce que son quotidien doit être drôlement rythmé, sinon.

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